abstraite

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Les bâtiments défilaient d'une façon abstraite. Le ciel brillait de mille feu dans l'air, les couleurs s'accentuant et devenait un rougeâtre clair, si similaire qu'une cerise sur un gâteau. Je ne pouvais m'empêcher d'admirer cette beauté sous la présence de ces rayons ultraviolet qui' illuminait une petite étoile dans mon coeur. J'étais dans un bus, à côté d'une fenêtre, ou le vent airait mes pensées douteuse. Chaque secondes, chaque minutes, chaque journées; sa face ne voulait plus sortir de ma tête. Ses yeux qui t'attirait dans un nouveau monde, hors de la portée de la société. Ses délicates mains qui piochaient sur le clavier de son téléphone. Le blond qui éclaircit son expression troublée.  Il arrêta de fixer son téléphone et j'entendu sa respiration.

Oh mon dieu!

Quelle magnifiques créature, rempli d'éléments inoubliables et irréels.

Serais-ce possible d'être abstrait dans une situation pareil? J'ai du bannir mes émotions pendant ce cours temp de réflexion.

Ma station Henri Bourassa arriva a grand pas. Il eu de plus en a plus de passagers. Les pas qui résonnaient autre fois faible augmentait petits à petits.

Encore une seconde et j'obtiendrai mon désir. Ses lèvres contre la mienne, sa taille dans mes mains et son corps sur mes cuisses. Sa voix proche de moi et sa présence devant moi.
La vie pourrait finalement redevenir colorée, tellement plus que la simple vie de tout les jours.

Ah!

Claude!

Regarde-moi...

je t'en supplie!

Ses yeux me regardèrent finalement. Le ciel rougeâtre se métamorphosait. Je le fixais de près. Les flashs s'intensifièrent  sous les regards surpris des journalistes.

« JE PROPOSE DEUX MILLIARDS DE DOLLAR! »

« L'OEUVRE INTITULÉ « ABSTRAIT » RÉALISÉ PAR CLAUDE HENRI BOURASSA: VENDU À 2 MILLIARD DE DOLLARS POUR MONSIEUR CLAUDE STEVENSON! »

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