Francesca Caviglia x Federico Paccini
Federico a disparu du jour au lendemain, sans prévenir personne, laissant sa copine toute seule. Mais ou est-il passé et pourquoi est-il partie ?
Suivons les recherches de Francesca et ses amis...
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Violetta : Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
Leon : Moi aussi, d'un amour infini.
Violetta : Je suis venue t'annoncer que les filles m'ont offert ça.
Leon : Ah, c'est cool.
Moi : Tu y vas avec elle ?
Leon : Vous êtes sérieuses ?
Camilla : Tu nous prends pour qui ?
Leon : Vous êtes les meilleures.
Camilla et moi : On sait, merci.
Leon me fait un clin d'œil.
Camilla : Allez, à plus les amoureux. Encore bon anniversaire, Violetta.
On partit au restaurant-bend.
Serveur : Bonjour.
Moi : Bonjour, ce sera comme d'habitude, s'il te plaît ?
Serveur : Bien sûr.
Ils nous servirent nos jus de pomme.
Camilla : Bon, alors, t'as trouvé un endroit pour répéter pendant la fermeture du studio ?
Moi : Oui, au Jam & Roller.
Camilla : D'ailleurs, qui vient avec nous pour voir la petite ?
Moi : Leon, Violetta et Maxi, les autres ne peuvent pas.
On passa la journée tranquillement, et le soir, on rejoignit Violetta chez elle.
Camilla : Hello !!!!
Violetta : Vous tombez à pic, je vais vous raconter ma journée. Venez, on monte.
On se met directement en pyjama.
Camilla : Nous, tout ce qu'on veut savoir, c'est si vous vous êtes embrassés.
Moi : Camilla.
Camilla : Bah quoi ? C'est vrai, non ?
Moi : Oui, c'est vrai. Alors ?
Violetta : Oui.
Camilla et moi : Hiiiiii !!!!!!
Moi : Bon, allez, raconte.
Violetta : D'abord, il m'a accueillie avec un immense bouquet de mes fleurs préférées. Puis, il m'a emmenée dans un endroit magnifique, décoré de guirlandes lumineuses et de pétales de roses.
Moi : Waouh, c'est romantique !
Violetta : Totalement ! Il avait préparé un pique-nique avec tous mes plats préférés, et on a passé des heures à discuter et à rire.
Camilla : Leon sait vraiment comment créer une ambiance.
Violetta : Et ce n'est pas tout ! Après le pique-nique, il m'a emmenée faire une balade romantique. C'était magique. Et à la fin, il m'a offert un magnifique collier. Vous ne devinerez jamais à quel point il est beau.
Camilla : C'est vraiment le petit ami parfait !
Violetta : J'étais aux anges, les filles. Je ne pouvais pas rêver d'une meilleure après-midi.
Moi : On dirait une scène de film romantique !
Violetta : C'était comme un rêve. J'ai de la chance d'avoir Leon à mes côtés.
Moi : Vous êtes vraiment trop adorables.
Violetta : Dis-moi, Fran, est-ce que je peux te poser une question ?
Moi : Dis-moi.
Violetta : Qu'est-ce que tu ferais si on le revoyait ?
Je perds mon sourire.
Moi : ... Je ne sais pas.
Camilla : Moi, je l'étranglerais.
Violetta : Camilla.
Camilla : Quoi, Camilla ? C'est vrai, j'ai vu ma meilleure amie détruite, je ne vais pas lui faire de cadeau.
Moi : Je pense qu'il faudra qu'on parle pour connaître les raisons...
Camilla : Si on le voit, tu prendras le temps que tu voudras, mais moi, je lui demanderais s'il voulait un jour nous revoir.
Violetta : Ne dis pas ça, je suis sûre que oui quand même.
Camilla : On n'en sait rien.
Moi : Il a dû changer de vie, trouver de nouveaux amis, de nouvelles copines...
Camilla : Pourquoi tu ne tournes pas la page ?
Moi : Parce que je ne peux pas, Camilla ! Je n'arrive pas... Malheureusement, je l'aime.
Je commence à pleurer.
Violetta : Non, ne pleure pas. J'aurais pas dû lancer le sujet.
Camilla : Je suis désolée, peut-être que je suis allée trop loin.
Moi : Non, ce n'est pas vous. Vous voulez que je vous dise quelque chose ? Leon a raison. Il m'a dit qu'il fallait que j'en parle, que j'ai le droit d'être triste ou en colère. Mais moi, je ne le fais pas, je garde tout pour moi. Je vous montre que je peux être forte, mais je craque tous les jours quand je passe le pas de ma porte. Comment peut-on aller mieux alors que la personne que vous aimez le plus au monde part du jour au lendemain ?
Violetta : Écoute, il a raison. Tu as le droit de pleurer, Francesca. Ne garde jamais tout pour toi. Tu peux nous parler, on est tous là pour toi.
Moi : Merci...
Je séchais mes larmes et changeais de sujet.
Moi : Bref, si on allait dormir, je commence à fatiguer...
