Obsession qui lancine les heures et ravage le visage, chaque minute je te cherche pour savoir ce que j'ai perdu.
Tout le temps je te cherche et personne, personne ne pourra t'avoir, fruit de l'imagination des hommes.
C'est le malheur de l'humanité, la souffrance dont nous seuls pouvons nous délivrer.
23 mars 1998