The Verity

Prologue

Neuf ans plus tôt...

Je marchais dans les rues près de mon quartier, après avoir passé une journée de merde en cours en m'ennuyant, j'avais eu un contrôle de mathématique et je suis presque sûre que j'aurais tout bon comme à chaque fois, je passais mon temps à réviser une heure a la bibliothèque et ensuite une fois que j'avais tout terminé je me précipitais pour rentrer chez moi pour ne pas laisser mon père seul plus longtemps.

Je remarquais que le ciel fondait dans une couleur orangé indiquant que le soleil ce coucher, les rues commencer à ce faire de plus en plus sombre, j'empruntais une autre ruelle qui menait droit chez moi, j'ouvris mon portail et sorti les clés de mon sac, j'insérais la clés dans la serrure et déverrouillais là porte et entrait.

J'enlevais mon manteau et l'accrocha puis je retirais mes chaussure que je déposais dans un placard et pris ensuite mes pantoufle et entrer dans la pièce principal.

- Papa, je suis rentrée.

C'était étrange

- Papa ?

Je regardais dans la pièce principale mais je ne voyais pas mon père, c'était inhabituel de sa part. J'allais vérifier dans la cuisine, mais aucune trace de mon père. La panique prit place dans tout mon corps. C'était étrange. La maison était silencieuse. Je décidais d'aller voir sa chambre, peut-être qu'il s'était juste endormi. Arrivée devant la porte de sa chambre, je levais le poings et toqua.

- Papa ?

- Papa ? Et je répétais mais rien silence complet, même pas une respiration ou un soupir.

- Papa, j'entre ! L'avisai-je d'une voix tremblante

J'ouvris doucement la porte et entrait, mes yeux se posèrent doucement sur la silhouette en face de moi, mes yeux s'élargirent. J'était abasourdie, choquée. Ça ne pouvait pas être réel. Je secouais la tête, je ne pouvais pas l'imaginer.

- N-non... non, non... C-c'est pas vrai H-hein !! Ma voix se brisa et j'éclatais en sanglots.

Ce qui était devant moi n'était pas réel... non ?

C'est mon imagination, pas vrai...?

J'essayais de me convaincre que ce n'était pas réel, que c'était juste le fruit de mon imagination... Mais je ne pouvais pas. Ce qui était devant moi l'était. On ne peut pas avoir des imagination pareilles, n'est ce pas ?

C'était juste un horrible cauchemar et j'allais bientôt me réveiller pour aller en cours, mais non, rien. Juste moi devant mon père...

J'ai fait un pas en arrière et je suis tombée sur les fesses mais je me suis souciée en aucun cas de la douleur. Juste le sentiment que j'avait en ce moment même était plus douloureux que jamais. Sans m'en rendre compte, mes yeux déversaient des centaines de larmes.