Chapitre 7 : Mr le ministre

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-Tu as appris avec qui tout ça...

-N'ose plus jamais me repose cette question, menace Sigma.

Sigma et Sirius avaient de nouveau divagué, eux deux essoufflés dans le lit de l'homme :

-Il faut qu'on arrête, déclare t'elle.

-Tu as déjà dit ça la dernière fois...soupire Sirius en passent ses mains sur son visage.

-Parce qu'on le doit. En tout ça a Poudlard, tu peux rêvé

Sirius la regard au coin de l'œil alors que celle ci comme à chaque fois évitez son regard. Il sourit, ce sourire qui lui appartenait, puis s'assoit sur le bassin de sa soeur ce qui fait descendre la couverture qui couvrait son corps :

-Je t'aime de tout mon cœur, pourquoi on devrais arrêter. On s'en fous complément du regard des autres. Annonce Sirius.

-Mais ça va pas...et puis...non c'est tout.

-Et puis ? Tu es en train de me dire que tu ne m'aime pas...

-Tu es l'homme que j'aime le plus au monde, coupa Sigma en le regardent enfin dans les yeux.

Eux deux se sourit et s'embrasse à pleine bouche, entre ses lèvres, il poursuit :

-Il y a quelqu'un d'autre ?

-Roooh...

Ronchonne t'elle en le poussant sur le côté. Elle avait clôturé la conversation, ces petites sortie de route étaient leurs secrets commun.

...
Dans une pièce allumée par le bougie, le premier ministre était seul. Enfin sigma était la, a le regarder dans un coin sombre de la pièce :

-Fudge ! Dit t'elle avec joie.

Le ministre avait lâcher sa plume, respirer longtemps. Il avait reconnu sa voix, il peu ressentir de la gêne et de la honte, d'être l'associé d'une si terrible meurtrière.

-Mrs Black ! Excusez moi de ma familiarité, mais qu'est ce que vous faite la ?

Sigma s'assoit sur le bureau à côté de l'homme, et joue avec la plume :

-Une proposition...

-Une proposions !? Mais...je pense que j'ai déjà été très généreux pour votre part Mrs Black.

-J'aimerais...ne plus être en cavale, et que les enfants en âge vont à Poudlard. Poursuit la femme sans prendre en compte l'intervention de Fudge.

Fudge hausse les sourcils :

-C'est impossible...

-Rien n'est impossible, et si je serais vous j'accepterais.

-C'est une menace ?

-Un fait, avoir des enfants d'une télé puissance en liberté est beaucoup trop dangereux. Ils doivent apprendre la magie comme les autres sorciers...

Fudge se lève et part regarder à la fenêtre le regard sombre :

-Ce ne sont pas des sorciers normaux.

-Tout comme moi, j'ai payé ma scolarité. Je peux très bien payé.

Fudge se retourne et la regard dans les yeux, il était maintenant beaucoup plus intéressé par la proposition :

-Ah ! Voilà ! On parle maintenant de la meme langue ! Sigma s'approche de lui doucement, pour lui chuchoter. Et puis, j'ai élevé ses enfants, aucun d'eux n'aime dumbledore...

Ma jumelle [en cour d'écriture] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant