Introduction

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POV de Adeline:

Je marche doucement vers ma porte d'entrée en traînant avec fatigue mes pieds torturé par ces talons, je saisie mes clés calmement en sachant que les murs de la résidence sont fins tout en pensant à ma voisine et son nouveau née.

Après le déverrouillage de ma porte, elle fût aussitôt verrouillée lorsque je fus à l'intérieur, ma migraine croissante était entrain d'attirer la fièvre bientôt je le sais ma tête sera une véritable champs de bataille.

Je retire mes talons en soupirant de joie de ne plus être torturé de la sorte, le parquet froid rafraîchit mes muscles bouillants aux niveaux de mes pieds. Je me hâta d'aller cherché des médicaments pour lutter contre cette migraine qui formé une sorte de pression dans mon crâne.

Je pris une gobelet dans la cuisine après avoir trouvé la solution à mon problème, rapidement les médocs sont ingurgités mais ne sont pas près à faire effet rapidement. Je viens sortir le reste de pâte de la veille et décongèle un cordon bleu, je viens le faire cuire plusieurs minutes après en appréciant le doux son du crépitement de la cuisson.

J'ouvre légèrement la fenêtre en repensant à la haute qui ne fonctionne plus, je retire le cordon cuit avant réchauffé les pâtes dans poêle qui a servie à faire cuire le cordon bleu.

Une fois cuit, je me dirige vers mon téléviseur avec mon assiette et mes couverts. Je dépose mon assiette tranquillement et saisie de manière nonchalante la télécommande avant de mettre en route la télévision.

Rapidement une tonne d'information me tombe dessus... nouvelle potentielle vague du corona virus, guerre en Ukraine avec des images de bombardier, une fille tué après avoir été kidnappé en boîte de nuit... des morts... un nombre colossal de mort... nous venons pourtant d'atteindre les 8 milliards d'être humains sur terre.

Je mange rapidement mon plat et les informations que mon téléviseur sortait, je me mis alors à zappé mais que vois je? Des émissions remplis de misogyne, de sexisme neutralisé ou bien des manifestations, une annonce de station essence complètement vide...

Merde alors! C'est pas possible... je regarde alors une chaîne pour enfant mais les dessins animés sont vraiment devenu énervant, du fait et refait...

Je me rends compte que j'avais finis, je partis alors me couché après avoir remarqué qu'il pleuve. Encore une journée ennuyante... ma migraine prends de l'ampleur, bordel les médocs fonctionnent toujours pas!

Calme Adeline tout va bien, ça va passé... je m'allonge doucement sur le matela dur qui me servait de lit en écoutant l'orage grondé tandis que la pluie s'intensifier, je m'endormis en ayant l'impression que mon matelas devient moelleux avant que je sens mon corps tombé soudainement.

Je ne pouvais ouvrir les yeux ou ne serait-ce bougé légèrement, j'avais l'impression de ne plus respirer... je tombe, est-ce la mort qui m'emporte dans mon sommeil? Il n'y a plus d'air dans mes poumons, j'étouffe... j'ai l'impression d'être entrain d'essayer de respirer dans l'eau.

Soudainement je me redresse en pouvant enfin respirer, remplir mes poumons tandis que ma main était posée sur mon cœur agitée... bordel c'était quoi ça!

Il fait jour? Pourtant j'avais pas ouvert les v- je suis où? Je regarde à droite à gauche, la pièce semblait être une chambre comme dans les contes de fées... un parquet brillant, des murs peinturées d'œuvre splendide tandis que le lit était étonnamment moelleux.

Je viens alors regardé mes mains et remarque de tâches de soleil que je n'avais pas, je compris rapidement et pars alors vers un miroir à proximité...

Je me fige en voyant une femme magnifique, des cheveux châtain claire bouclé tandis que mes yeux étaient d'un vert émeraude magnifique. Je regarde mon visage qui étonnamment sans imperfections, des lèvres pulpeuses et naturellement rose.

Magnifique... je ne sais comment je suis arrivé dans ce corps mais surtout je ne sais pas qui je suis, cette femme ne semble pas être dans un problème financier ou dans une famille pauvre.

Soudainement quelqu'un toque à la porte, je me fige en entendant le son de la lourde porte et de la salutation de plusieurs dames. Je les regarde un peu surprise avant de ne plus savoir où me mettre.

- Bonjour princesse, le docteur royale arrivera dans quelque instant.

Princesse? Je me tourne alors vers la fenêtre qui se trouvé non loin de moi mais je me rendis compte que ce n'était pas une simple fenêtre mais une terrasse magnifique décoré de fleur, j'ouvre facilement avant de regardé avec admiration la vue splendide d'un jardin immense et fleurie.

- Princesse? Tout va bien? Avez vous besoin de quelque chose?

Mince... je ne sais rien de ce monde, ni des habitudes de cette princesse mais je remarque bien vite que lorsque je pose mon regard sur les femmes présentes. Elles se figent, fuis mon regard, cache leur mains, se mettent droite tandis qu'elles semblaient craindre quelque chose... plutôt quelqu'un.

- Auriez vous l'heure?

C'est la première chose qui m'est passé par la tête! Comment dois-je me conduire... je suis en chemise de nuit...

- Il est seulement 8 heures, princesse.

- Pourquoi le docteur royal vient? J'ai l'impression d'oublier quelque chose... demande je avec innocence.

- Vous êtes très malade, une forte fièvre.

- Je vois...

Cette princesse est dans mon corps, je peux le sentir... je le sais, j'en suis certaine. Je regarde les demoiselles et me dirige calmement vers ces derniers qui n'osaient bougé, je remarque un cils sur la joue d'une des femmes.

Ça me dérange, j'ai envie de l'enlever! Je me rapproche alors de cette dernière qui se mit à trembler et ferme aussi tôt les yeux lorsque je rapproche ma main, j'enlève calmement le cils avant de lui sourire.

- Est-ce que j'avais quelque chose de prévu?

- N-non princesse...

- Bien, quand arrivera ce docteur...

- Mince, la princesse s'impatiente... chuchota la plus éloignée.

C'est quoi la phrase... vous pouvez... arg! C'est pas possible ce langage me paraît si lointain, je ne suis pas à ma place ici... pourquoi je suis ici? Que va devenir mon corps, ma vie... tout ce que j'avais construit mes 25 ans d'existence...

- Vous pouvez disposer.

Après ces mots, les femmes sont directement sortis rapidement tandis que moi je viens alors fouillé de fond en comble cette chambre. Aucune note, ni livre, ni le moindre écrit de cette fichu princesse.

- Merde. Cria-je en tapant du point contre bureau.

Soudainement j'entends un déclique qui résonne dans la chambre, le mur devant moi s'ouvre et me montre une étagère pleine. Je pris un livre au hasard et vois une foultitude de note mais surtout son nom Julia Girniac.

Julia GirniacOù les histoires vivent. Découvrez maintenant