Chapitre 9 : un imprevu dans notre imprevu

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Le temps est glaciale, en effet depuis hier soir il neige. Depuis hier soir ma chambre est gelée, comme mon cerveau quand il a appris la nouvelle, il a décidé de ce mettre sur off. J'essaye en vain de trouver le bouton on mais quelque chose m'en empêche. De la tristesse, du déni, de la solitude...

Ma cousine est morte, hier matin, assassiné de sang froid. Froid, comme dehors, comme la neige, comme la pluie, comme moi. Je fais preuve d'une remarquable froideur avec tout le monde depuis hier soir.

Quand j'ai appris la nouvelle je me suis effondrais en pleurant au sol, Thomas m'a relever et me parlais mais j'étais comme dans un monde parallèle je n'entendais rien. J'ai juste sentis John m'agrippai et me montais dans ma chambre. Mes souvenirs reste dans l'ensemble très flous.

Il ne reste plus personne de la famille de Treville. Personne sauf moi. Tout le monde est mort, me laissant, seule, moi et mes démons. Il ne me rester plus que ma cousine. Et la voilà maintenant morte.

Quelqu'un toque à ma porte et essaye d'ouvrir. Mais malheureusement pour cette personne la porte est fermer. J'entends un long soupire et quelque chose ou quelqu'un glisser le long de la porte.

-« c'est moi Alice...c'est John...ouvre moi »

John, oui John m'a rendu visite hier quand j'ai appris la nouvelle et le soir pour s'assurer que je mange bien. J'avance vers la porte d'un pas hésitant et lui ouvre. Ce dernier ce relève surpris et me sourit. Je le prends dans mes bras et délicatement j'éclate en sanglot.

-« il y a quelqu'un qui aimerait te voir, je vous laisse cinq minutes »

Je me détache de John et lui sourit, ce dernier sort et je pars m'assoir sur mon lit. Des pas fort résonnent dans la pièce. Ce n'est pas Thomas où John ni Arthur.

-« bonjour Alice »

Oh non...c'est Micheal, depuis l'accident de là dernière fois je ne l'es pas revu. Et cela ne m'avais pas manquer évidemment. Je me relève brusquement et me recule. Lui avance. Je continu de reculer mais mon dos touche la fenêtre. Micheal se rapproche de plus en plus jusqu'à poser ces mains sur mes hanches.

Malheur. Il faut que je trouve une solution pour partir et vite. Crier ? Partir en courant ? Ce dernier rapproche ça tête vers moi et me regarde d'un sourire malsain. Puis il me chuchote doucement à mon oreille droite.

-« ne t'inquiète pas elle n'a pas souffert, je m'en suis moi même charger »

Je...hein...quoi ? C'est lui qui as ? Ma cousine est morte par sa faute ?

-« ne t'inquiète pas tu es la prochaine, le meilleur pour la fin, la dernière de la famille de Treville »

Il veut me tuer ? Sans m'en rendre compte je pleure. Beaucoup, bruyamment ce qui alerte John qui rentre dans la pièce. Micheal ce sépare de moi. Et j'arrive enfin à respirer. Ce qui a durer dix secondes m'a parut une éternité.

-« je suis désolée Micheal elle est encore en état de choc, je suis sûr que la balade que tu lui a proposer lui fait plaisir mais je pense qu'elle a peur de sortir »

-« c'est pas grave on prendra le temps qu'il faut, hein Alice ? »

Je ne prends pas la peine de répondre. Les garçons quittent la pièce mais laisse la porte ouverte. John n'est donc pas au courant ? Il pense que Micheal veux m'emmener faire une promenade ? Où il essaye de m'amadouer depuis le début ?

J'entends des pas dans le couloir. C'est Micheal ? Il revient pour me tuer ? Je pleure, je suis à la limite de m'évanouir. Je ne sens plus mes jambes.

-« t'es sur que ça va Alice ? »

Sans m'en rendre compte je tombe à genoux en me tenant le gorge. Je n'arrive plus à respirer, c'est bloquer. Une odeur de cigarette et de whisky vient à mes narines. La personne qui m'a parler est thomas, il pause ces mains sur mon menton et me relève la tête.

-« Alice respire...»

Je pleure de plus belle. Mes poumons me brûlent, ma gorge aussi, il faut que je lui dise ? Que son cousin veut ma mort ? Même peu être son frère ? Est ce que je peux faire confiance en thomas ?

-« il veut me tuer ! »

Thomas souffle et pause son regard dans le miens. Ces yeux bleus océans me donne froid. Comme le temps dehors. Comme la neige. Comme ma mort.

-« non personne ne veut ta mort Alice »

-« IL VAS ME TUER ! »

Dit-je cette fois ci en criant. Assez pour que Thomas ce lève et ferme la porte de la chambre. Il revient vers moi, me porte et me pose sur mon lit. Je m'assois devant lui et regarde le vide. Le vide...le néant, comme ma vie actuellement.

-« qu'est ce que tu racontes ? »

-« Micheal »

Thomas s'assoit lui aussi sur mon lit et soupire.

-« explique moi Alice sinon je pourrais pas te protéger »

Je tourne la tête en sa direction et le regarde.

-« parce que maintenant tu tiens à moi ? »

Il tourne à son tour sa tête. Il encre ces yeux dans les miens.

-« je n'aurais jamais dû dire ce que j'ai dis l'autre jours »

-« quelle partie de conversation ? »

-« celle où j'ai dis que tu comptais pas pour moi c'est pas vrai, c'est pour ça que j'ai besoin de savoir pourquoi et comment Micheal veut te tuer putain ! »

-« c'est lui qui as tuer ma cousine, il veut me tuer moi là dernière de la famille de Treville »

Thomas se lève, pour se laisser glisser contre le mur dans un long et bruyant soupire.

Cigarette à la main il fixe encore un point à l'horizon

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Cigarette à la main il fixe encore un point à l'horizon.

-« je m'en charge »

Les paroles qu'il dit me rassure, énormément. J'entends encore des bruits de pas dans le couloir. C'est pas possible je dois rêver. Et même si ce n'est pas un rêve il y a Thomas pour me protéger. Je vais finir par devenir folle avec toute ces histoires...

Mais à l'instant où je relève les yeux vert ma porte mon pire cauchemar ce trouve devant moi. Lui. Lui devant ma porte de chambre. En face Thomas assis. Les deux ce défiant du regard. Qui vas l'emporter. Qui vas être le plus fort. Qui vas être le plus intelligent.

-« Thomas...»

Le début de la fin 🥃 { PEAKY BLINDERS  }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant