mourrir est un art, l'être humain possède des capacités d'autodestruction très élaborées, je mentirai en disant que la vie n'est point futile, l'homme se place un objectif pour finir six pieds sous terre, sans avoir atteint ses rêves les plus précieux, mais en ayant atteint ce que la société oblige à developper, je nie que la mort existe, la vie débute et ne s'arrête, qui sommes nous pour décider de l'arrêt de vie d'un être humain s'il n'est même pas jugé qu'elle ai débuté.
quand aux relations sociales, elle sont destinés, les éducations créent les type de sociétés,
pourrait-on juger le comportement d'autrui si nous ne connaissons même pas l'environnement dans lequel il a grandis ?personne ne devrai donc être responsable de ses actes s'il a vécu une édification malsaine ?
pourrais ton en vouloir a une personne, si ce n'est pas sa propre faute mais celle de ses parents,à partir de quel types de restrictions, un être devient individu à part entière responsable, et non le schéma psychique répétitif de leurs productions ancestrales ?
à partir de quand l'erreur fautive viens de l'individu et non des parents?
De quoi est constitué un être vivant pour que sont identique pourrait en vouloir à la sociétéD'ou viendrai la réelle faute si nous remontions des décennies ?
La mentalité à t-elle débuté à un certain moment, les airs voraces se sont-ils stoppés nettement ou des branches malsaines vivantes se sont construites pour donner vie aux guerres civiles d'aujourd'hui ?
je me pose question sur l'humanité et les souches psychique qui les détiennent, les sources du mentalisme, de l'autodestruction
l'éducation est la clé du développement humain au caractère propre de son imagination.J'annonce l'avant, le pendant et l'après d'un être vivant, qui se trouve dans le schéma perdu d'une société, que se passe t'il dans la conscience, je prendrai exemple sur mon histoire, un contraste intéressant durant mon parcours.
c'était un soir de pleine lune
elle rentrait tard épuisée par ses lacunes
mois de novembre,
ses mains froides, son cœur en cendres
elle ne connaît plus son chemin
elle n'avait jamais connu ce chagrin
ce n'était peut-être pas son destin
et ils diront que t'étais pas faite pour ça
que même en essayant tu n'y arriveras pas
ne leurs laisses pas croire une impuissance
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l'écriture comme vaccin
Poetryla vulgarité est bourgeoise elle est vicieuse et sournoise elle a ce mépris de classe qui fait mal vénale, sans complexe qui s'étale se cache derrière de belles familles, de belles carrières, fait son beurre sans scrupule dans la misère recueil de p...