Les quatre pilier oublié

Chapitre 3 : La suite des problèmes

Mes yeux étaient fortement fermés, j’ignore pourquoi mais je ne voulais pas les ouvrir.

Mon corps était lourd et douloureux.

Le froid de mon environnement me mordait les doigts et les pieds au point ou j’avais l’impression qu’ils me brulaient pour certain et pour d’autre je ne les sentaient simplement plus.

J’étais requocvillé sur il me semble de la pierre bien plus froide que l’air qui m’entourait, je ne sentais plus mes fesses et les articulations de mes hanches était douloureuse, je n’osais pas les bouger par peur quel ne craque et que j'en perde l’utilité.

Les bruits qui m’entouraient ne m’aidait pas à me rassurer.
Dans ce noir, je n’entendais que des tintements de chaine en fer qui claquer entre elle, de temps a autres je pouvais percevoir des petits couinements et des sanglots tous ceci accompagné par l’insupportable bruit de goutte d’eau qui tomber dans une flaque.

De temps à autre on pouvait entendre des cris déchirer ce noir constant et effrayant, nous glaçants le sang.
Bien souvent une odeur âcre de fer, d’urine,de sang et de décomposition apparaissait et nous prenait la gorge et bien souvent quelque jour plus tard une odeur de pourrie venait me retourner l’estomac au point que ce mélange d’odeur me retourner les tripes, j’en venait à vomir ce qui empirait le mélange d’odeur.

Alors maintenant je me retenais de vomir même si c’était horrible et douloureux à chaque fois que mon estomac se contractait, j'empêchais que quoi ce soit remonte dans ma bouche ou du moins dans sortir.

Aujourd’hui, a par les odeurs de sang, d’humidité et de pisse il n’y avait pas celle d’un corps moisi. Les gouttes ne cesser de tomber malgré la fraicheur de cet pièces. Je luttais mais il fallait que je bouge pour essayer de refaire circuler le sang dans mes pieds et mes hanches.

Alors doucement je décide d’ouvrir un œil puis l’autre difficilement, lorsque j’ouvris mes yeux, je ne vis rien, surement parce que ma tête était plonger contre mes jambes.
Je descide alors de reléver légèrement ma tête d'une lenteur extrême de peur que si je la relève trop vite, ma nuque ce casse et que ma tête roule aux sol.

Mon corps étaient tellement froid que j’aurais pu être morte mais apparement ce n’était pas assez froid pour que ce soit le cas.
Je ne pu empêcher un couinement enraillé de sortir de ma bouche sous la douleur que le mouvement de ma tête me provoqua. Après avoir réussis a relever légèrement ma tête, je ne vis rien à par le noir, tout était noir autour de moi et il ne cessait d’avoir ces bruit de gouttes d’eau qui tomber, ses gémissemnt de douleur et cette ordeur âcre et se froid qui me brulait la gorges a chaque inspiration.

Ma vue fini par ce faire a ce noir, et dans cette sombre ambiance qui remplissait mon quotidient depuis trop longtemps, au point ou j’en avait perdu la notion du temps.
Je pu enfin discener ce corps qui ne ressemblais plus beaucoup a un corps. Mon corps douloureux était zébré de ligne rôsatre. Peut importe ce que je regarder de mon corps, les marques paraissait.

Je décider de refermer les yeux, espérant me donner du courage pour agiter mes doigts d’orteille. Ils craquent dans un son qui résonne douloureusement dans ma tête ainsi que le gémissement de douleur qui traverse la parois de mes lèvres.

Une fois les avoir bougé un peu, j'essaye de bouger mes doigts et cette fois les larmes s'ajoutent à mes gémissement ajoutant une douleurs supplémentaire car elle me brûlait  la peau, la traversant d’une lenteur extreme, je ressentait le moindre picotement sur le moindre millimètre de mes joues.

Je rouvre mes yeux difficilement car ceux-ci c'était déjà presque coller entre eux à cause des larmes. Je finis par me décourager et les laisser fermer, de toute façon rien que ce mouvement me demandai trop d’effort.