L'Homme Propose , DIEU Dispose.

Est-ce sa l'Amour ?

Cheryl : putain arrête de faire semblant je vous ait vu .

- mais de quoi tu parle je ne comprend rien à ton charabia .

Cheryl : je ne voulais pas le croire mais je t'est vu de mes propres yeux .

- attend deux seconde tu vas te calmer .

Cheryl : tu comprend pas que sa me fait mal PUTAIN ÇA FAIT MAL .

- ne me crie pas dessus nous sommes dans la rue .

Nous sommes juste au bord de la route et je ne sais pas de quoi il me parle votre pote là .

Cheryl : Sepho c'est à moi que tu fais sa ?

- je vais m'énerver maintenant si tu ne me dit pas de quoi tu parle .

Cheryl : tes potes sur d'après toi Ago et Marion m'ont dit que pendant la pause tu est aller chez Sergeo et à 13h je vous voir rentrer ensemble tout souriant .

- c'est que des mensonges je ne suis jamais aller chez lui .

Cheryl : arrête de mentir .

- regarde moi dans les yeux j'ai l'air de quelqu'un qui raconte des conneries ?

Il n'arrive pas à me regarder .

- je t'assure que je ne suis pas aller chez lui . Tu m'a vu sortir avec Benny et les filles pour aller manger . Quand on n'est revenu , Sergeo et moi on s'est croisé au portail et nous sommes rentrer ensemble.

Il ne dit rien et j'ai l'impression qu'il n'a pas envie de me croire .

- t'a quoi même putain ta quoi ?

Cheryl : JE SUIS JALOUX .

Là c'est comme si je reçois un boom au coeur va y je peux pas expliquer ce sentiment .

Cheryl : oui je suis jaloux c'est ce que tu voulais entendre n'est-ce pas ? Je suis jaloux quand tu parle à Sergeo , je suis jaloux quand tu rigole avec Ago , je suis jaloux quand Marion s'approche de toi . Je suis jaloux de tous les mec qui te font la coure.

Il lâche tous ses mots en me fixant droit dans les yeux putain je vous dit même pas ce que je ressens sur le moment .

Va y c'est comme si j'ai plus de bouche, je deviens toute silencieuse .

Cheryl : je sais pas pourquoi ni comment mais c'est ce que je ressens et il fallait que je te le dise.

Je ne dis toujours rien .

On se fixe une minute dans les yeux silencieusement sans que personne ne dise quoi que ce soit va y on oublie la route et c'est comme si nous étions que tous les deux et qu'il n'y avait personne d'autre que nous .

J'interromps ce beau moment en regardant mon téléphone et il est 19h .

- putain j'ai jamais duré à l'école de la sorte mon père va me tuer .

Cheryl : je te raccompagne .

- je vais emprunter là.

J'arrête des taxis mais apparemment aucun taxi n'est disposé à m'envoyer au 40 ce soir .

Cheryl : marchons un peu tu trouveras un taxi devant .

On marche et la causerie reprend son cours normal comme s'il n'y avait jamais eu de dispute .

On arrive là où je dois emprunter et il est temps de se séparer .

Il me regarde et au fond je sent qu'il a envie de m'embrasser.