Le gentleman et son majordome

Chapitre 1

Lorsque l'on a annoncé à Lewis qu'il allait se marier dans deux mois à une femme qu'il ne connaissait absolument pas, sa réaction n'a pas été des plus raisonnable.

En gros il était déçu.

Mais on ne peut pas changer les sentiments des hommes si facilement. Peser le pour et le contre, lui, il s'en fichait.

- garçon !
Nous sommes dans un salon, les fenêtres se mesure jusqu'au plafond, de grands canapés ont été placés au milieu et c'est là que ce trouvait un jeune homme.

Il a la peau brune et des yeux aussi noir que la nuit, on voit un serviteur accourir pour subvenir aux besoins de son maître.

- oui monsieur ?

- un autre verre de ce nectar !
Le serviteur prend délicatement le verre entre ses mains et sort de la pièce.
Il revient quelques minutes plus tard avec un verre plein dans la main.
- monsieur...
L'homme en question prends le verre et verse le liquide dans son gosier.

- monsieur ?

- Que me voulez- vous ?

- mademoiselle Jayer vous cherche. Puis-je la faire entrer ?
À ses mots Lewis se redresse brutalement et Acquiesce en guise d'approbations.

Une femme entre dans la pièce, elle est vêtu d'une robe fuchsia et d'un nœud de la même couleur dans les cheveux.

- Mon fils chéri ! Comment ce fait-il que j'ai du attendre dix minutes avant d'entrer ? Bon ! Quoi qu'il en soit, j'ai une nouvelle à annoncé !

Voyant la perplexité de son fils, la dame continue.

- tu vas te marier ! Tandis que la femme est folle de joie, Lewis est déconcerté.

Lewis avait déjà eu des tentatives de mariage mais toutes échoué à cause de son caractère de merde.

Mais peut-être que ça allait changer, enfin c'est ce que se disait sa mère.

- Mère ! Dit-il d'un ton sec.

Le femme le regarde de haut en bas.
- Oui mon fils ?

- Avez-vous vous donc pensez à mes sentiments dans cette affaire ? Je suis un des principal concernés.

- eh bien mon fils, durant ses 7 dernières années, je n'est fait que penser à toi !
En 7 tentatives, tu as eu 6 mariage échoué ! Sept mariages ! Je ne souhaite plus comprendre tes sentiments !

L'homme concerné, n'ayant plus d'arguments, se tu.
- Bon ! C'est pas tout ça mais je vais jouer au croquet moi ! On se voit au dîner, mon tendre fils !

Et dans un claquement de porte, elle s'en alla. Laissant son fils perdu, lui qui signifia à son serviteur de partir et s'avachit sur un des canapés.

Sa tête martelait, il n'avait aucune envie de se marier, et encore moins avec une femme qu'il ne connaissait pas d'un pouce.
Sa mère avait déjà tenté de le marier avec sa meilleure amie mais la pauvre femme mourut trois jours avant le mariage.

Que pouvait-il bien faire ? Il ne voulait pas faire ce que les autres voulait. Il n'était pas comme ça.

À chaque mariage, c'était la même question qui venait à lui et à aucun autres moments.
Devrait-il faire des enfants ?
Il détestait ça, les enfants. Ça criait par tout, c'était salissant et d'aucune utilité.
Mais il y serait obligé et il le savait. Et qui était-elle ? Lewis n'en avait aucune idée.

Peut-être faudrait-il la rencontrer ? Même avec autant de mariage, aucune de ses femmes n'avait été à son goût. Mais peut-être que sa allait être différent ? Il l'espérait en tout cas.

Quelques minutes plus tard, il avait décidé, mariage ou pas mariage, il devait rencontrer cette femme.

Alors, il sortit dans le jardin et alla voir sa mère.

- Ooooh cela fait bien longtemps que tu n'es pas venu me voir dans mon terrain de jeux !

- Maman, il faut que je la vois, cette fille.
- oh seigneur ! Il est déjà folle d'elle !

- Quand est-ce que je pourrais la rencontrer ?
- Je ne sais pas... disons dans une semaine ?
Il faut leur parvenir la nouvelle !

Lewis avait oublié ce détail, le fait que nous ne pouvions pas se rendre chez les gens sans
leur permission.

Il s'en alla, plantant sa mère sur place et retourna à ses appartements, malgré qu'il soit très très loin du jardin.

Une fois revenu dans ses appartements, le jeune homme se ressaisit et se rendit compte qu'il allait devoir attendre encore une semaine avant de voir cette femme. Il espérait que ça allait passer vite.

*****

Le jour de la rencontre, Lewis s'est levé au aurores, la tête en fusion et des palpitations dans l'entièreté du corps, il s'était habillé et avait fait sa toilette et était parti pour le château des Gatrer.

Le chemin était long, autant à cause de la route mais aussi à cause du stress de rencontrer la femme avec qui il devait finir sa vie.

Un petit peu de temps après avoir commencé le trajet on peut distinguer les tours du château, puis petit à petit se dévoile le château en entier, c'est un château magnifique et très grand.

Une fois la calèche arrêté, Lewis en sortit et attendit sa mère qui sortait elle aussi.

La-dites femme sort en trébuchant sur la marche, mais se rattrapant sur une barre du carrosse.

Ils marchèrent ensemble jusqu'à l'entrée, bien que cela durèrent un long moment car le chemin était enfaite un jardin énormément grand, il y avait de multiples fleurs, créent des arc-en-ciel suivant le chemin vers le château.

Le silence, qui durait depuis le petit matin persistait, Lewis tripotait sa chemise et n'arrêtait pas de cligner des yeux, conclusion : il avaient l'air d'un débile bourgeois.

Que de questions qui se chamboulait dans la tête de Lewis. Devant la fille, fallait-il dire bonjour ou enchanté ? Devait-il se présenter ou laisser sa mère le faire ? Et puis pourquoi se marier ? Il était trop mature pour ce genre de gaminerie ! Et pourquoi faire des formalités ? Il ne connaissait même pas sa future épouse ! Peut-être qu'il aurait du apporter des fleurs... trop tard pour relater le passé !

Le temps que Lewis est un conversation avec lui-même, ils étaient déjà arrivés et le stress monta jusqu'au cou de Lewis.

La mère toqua à la porte de sa grosse poigne et quelques secondes plus tard, une servante ouvrit la porte et les invita à entrer.

Ils entrèrent dans un immense salon, deux énormes escaliers arrondis se trouvaient dans les deux extrémités de la pièce. Entre eux deux se trouvaient plusieurs canapés et une cheminée. Enfant, Lewis croyais qu'il était me plus riche de la terre. Eh bien si il avait vu cette maison, il aurait vite changé d'avis.

Sur les canapés se trouvait les propriétaires du château, donc ce qui devait être la futur mariée ( parce que tout les autres avaient l'air super vieux) était sur un canapé devant eux.

Mais Lewis ne s'attarda pas sur elle lorsqu'il vit une personne beaucoup plus importante.

Oui cupidon avait travaillé ce jour là mais il avaient tiré comme un merde...
Maintenant Lewis comprenait ce qu'était l'amour, et il ferait tout pour le protéger.