Kelsea Blake, une jeune blonde vénitienne et ses yeux vairons âgée de 30 ans. Depuis 3 ans, elle est tout les jours accompagnée de Tyson, un chien loup noir.
Hormis la présence de son chien, elle s'est senti seule durant ses dernières années. Alors...
Voici le second chapitre qui j'espère vous plaira. J'ai changé la description de l'histoire et j'ai décris Kelsea, n'hésitez pas à jeter un coup d'œil sinon vous saurez au fur et à mesure. N'hésitez pas à voter, à commenter. Je vous souhaite une bonne lecture 😊.
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KELSEA BLAKE
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DEUX SEMAINES PLUS TARD,
- Boom ! Ça, ça vaut au moins 100 points.
- La ferme. Grogne l'arbalétrier.
- Fais pas la gueule Dix', t'es pas un monstre. Enfin, pas encore. Ris-je.
Je suis depuis ce matin à la chasse avec ce cher Daryl Dixon. Je viens de planter ma flèche dans le cœur d'un opossum et comme vous pouvez le constater, je le taquine pas mal. C'est mon passe-temps favori.
Alors que je retire la flèche et met l'animal dans le sac prévu à cette effet, je remarque une cabane en relevant la tête. On avait la même avec mon père, elle était à des heures de marches de notre maison mais était prévu pour nos week-end de chasse. C'était vraiment chouette.
- Dix' regarde ça.
Alors que je pointais l'endroit du doigt, Daryl posé contre un arbre, sors une clope prêt à la fumer. Non mais il peux pas attendre deux minutes ? Je lui met une petite frappe sur le bras et lui remontre.
- Pourquoi tu m'frappes ?Demande-t-il avant de voir.
- On va aller jeter un coup d'œil, imagine ce qu'on peux trouver dedans.
- Après ma clope !Dit-il prêt a l'allumer.
- Non. Alors bouge ton cul.
Je souffle sur la flamme de son briquet et avance avec Tyson, toujours à mes pieds. J'entend l'arbalétrier grogner des injures en mon encontre mais je laisse passer parce que je suis trop curieuse de découvrir cette cabane.
Je m'avance avec de pas léger et une fois à côté, je regarde à travers les fenêtres. Je me tourne vers l'homme grognon et lui fait signe de deux. Il hoche la tête et nous contournons la cabane, une fois devant la porte, je prépare mon arc, lui son arbalète et je lui hoche la tête avant qu'il ouvre la porte. Je n'eut pas le temps de tirer ma flèche, qu'il lance son couteau dans le crâne du deuxième avant de me regarder.
- 1000 points pour moi, on dirait.
Cette homme vient de me narguer ouvertement avec son petit rictus et il en est fier en plus.
