😌🔞 LE TRIO 🔞😌
Chap. 1
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Quelque part à POG (Port-Gentil) au Gabon, Afrique centrale.
Je rentrais du travail, en fin d’après-midi. Il était déjà 17h30 passé. Il restait moins de 30 minutes avant le couvre-feu de 18h00-6h00 du matin, une mesure décrétée par le gouvernement gabonais l’épidémie de Covid-19. Et pourtant, il n’y a moins de 5 cas de personnes testé positives qui ont signalé à Libreville par les autorités. Ici à POG, il n’y a pas un seul cas. On comprend mal ce couvre-feu controversé que nous imposé par les autorités gabonaises dans le cadre des mesures de lutte contre le nouveau coronavirus qui, soit disant, vient de Wuhan (ville de Chine) où l’épidémie a commencé il y a un mois, avant de se propager dans le monde entier.
A cause ce fichu couvre-feu bidon, la ville (POG) n’est plus animée comme avant. A l’heure où je roule, les commerces, les bars, et les bons coins qu’on fréquente l’après-midi sont déjà fermés. Les rues sont désertes façon tout le monde s’est enfermé chez soi pour se confiner. Que ya quoi même pour justifier ce putain confinement là ? En regardant autour de moi, je vois quelques gens sont encore dehors. Certains marchent. D’autres cherchent le taxi pour rentrer chez eux avant 18h00 par crainte d’une arrestation par les forces de l’ordre qui font plus dans le désordre et le racket des taxis.
Cet heure-là la circulation routière est très fluide car il n’y a pas beaucoup de voitures et des taxis sur les routes. La majorité des automobilistes sont déjà chez eux à cette heure. Arrivé au carrefour Léon Mba, je roule lentement en tournant sur la droite en suivant un taxi dans le sens carrefour Léon Mba à Tobia. Le taxi devant mon véhicule s’arrête au tournant, m’obligeant à m’arrêter juste derrière lui un instant. Je tchuipe d’agacement en voyant qu’il s’est arrêté sans se garer pour me laisser passer. Il s’est garé devant deux filles cherchant un taxi. De ma position, je peux voir les deux filles en question.
Elles semblent dans la majorité. Toutes les deux sont coiffées avec des rastas mi long et lâché au vent. Je les regardais distraitement avant de les détailler. Je remarque très vite qu’elles ne sont pas mal et assez jolies. L’une des deux filles est de petite taille et fine. De teint très clair, métisse, elle a une paire de lunette de soleil levée au-dessus de son front et sur ses cheveux courts marron clairs qui sont tressés. La couleur de ses cheveux est assez inhabituelle pour des cheveux de filles. Elle porte un petit top blanc moulant sa petite poitrine aux seins ronds. Son top s’arrête à quelques centimètres en dessous de sa petite poitrine, en laissant son ventre plat découvert.
Je remarque vite que cette petite métisse a un petit cul rebondi bien emballé dans le short jeans taille haute qu’elle porte et qui montre la moitié de ses cuisses jaunes (teint très clair) bien en évidence. Bref elle n’est pas mal. L’autre fille à ses côtés je ne la vois totalement mais elle semble la plus âgée des deux. Elle a sur la tête des rastas longs qui lui tombent dans le dos. Elle a une peau au teint clair comme la petite métisse. Elle a une corpulence moyenne. Elle est un peu ronde et un peu grande de taille. Elle est vêtue d’un petit t-shirt à manches.
Le bas de son haut est attaché au milieu de sa grosse paire de seins. Cela laisse son ventre découvert. Elle porte en bas un pantalon jeans. Ce qui me frappe c’est la forme de son bodje (postérieur). Elle a un cul bombé que je vois ça de loin en voyant la petite metisse de profil. La vue de son gros cul attire davantage mon attention sur elle. Physiquement, je la trouve « bonne » et « bien foutue » avec ses gros seins et son cul rebondi. Je me demande qu’est-ce que ces deux jolies filles métisses font là sur la route à cette heure. En plus il n’y a visiblement plus de taxis qui circulent à l’approche de l’heure du couvre du feu.
Sous une impulsion, j’avance lentement mon véhicule vers les deux filles après le démarrage du taxi qui était garé devant elle. Je m’arrête à leur niveau de façon les voir par la fenêtre la portière du côté passager à l’avant de mon véhicule. Je me gare pile à côté des deux filles métisses immobiles. Elles attendaient sur le trottoir que je les dépasse pour qu’elles puissent stopper un taxi. Je reste garé à leur niveau et je klaxonne vite pour attirer leur attention sur moi. Histoire de leur faire comprendre que je me suis arrêter pour elles et leur faire signe de venir à me voir.
