😌🔞 TRIO 🔞😌
Chap. 9
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Je décolle ma bouche du cou de Géraldine. Celle-ci commençait à haleter. Je souris de satisfaction en la regardant sous mon emprise. Je profite que nous soyons assis côte à côte pour passer mon bras droit derrière son cou et sa tête, en le posant sur le dossier du canapé. Je pince mes lèvres en la regardant avant de lui poser une question qui me traverse l’esprit à cet instant.
Moi : C’est lourd ?
Je la questionne en jetant un coup d’œil à ses seins. Géraldine baisse les yeux et suit mon regard sur sa poitrine. Elle sourit et lève les yeux pour me regarder en face. Je vois qu’elle a compris ma question.
Géraldine : Oui. Un peu.
Je me rapproche un peu plus d’elle et je plie mon bras droit passe derrière son cou pour descendre ma main droite sur sa poitrine. De ma main droite, j’empoigne son sein droit et le soupèse. Géraldine baisse les yeux sur sa poitrine et regarde mon geste. Voyant qu’elle laisse faire, je touche son autre sein avec main gauche et je le soupèse. Je suis aux anges à ce moment où je me vois en train de toucher ses lolos. Géraldine me le permet quelques secondes avant de repousse mes mains de ses seins. Elle ne semble pas gênée par mon audace. Cela semblait plutôt l’amuser et lui plaire.
Moi : Tu as un enfant ?
Géraldine : Non. Pourquoi ?
Moi : Parce que tes seins sont gros comme s’ils avaient le lait
Géraldine : Hum
Moi : Ils ont vraiment l’air laiteux.
Je regarde ses seins à cet instant avec un sourire et un air rêveur. Je remarque que ses tétons sont plus visibles. Ils se sont dressés et pointent à présent à travers le tissu de sa robe moulante couvrant la poitrine. Sous impulsion à la vue de ses lolos, je parle instinctivement pour dire ce que j’ai sur le cœur à cet instant.
Moi : Je donnerais tout pour pouvoir fourrer ma bite entre tes seins.
Géraldine : Hein ?
Elle me regarde avec stupeur. Je me rends compte que j’ai parlé en exposant ma pensée de pervers.
Moi : Pardon ! C’est euh… Une façon de te parler d’un de mes fantasmes.
Géraldine : Hum
Elle me regarde agréablement surprise, en souriant. Je me rends compte que je viens de lui dire l’intéresse. Alors je commence à lui parler un peu de mes fantasmes. Je lui que j’aimerais coucher avec une fille dans ma voiture de service au bord d’une route déserte en plein jour ou en pleine. J’ajoute en disant que le sexe en plein air me tente et que j’aimerais baiser à la plage du Cap Lopez devant la mer. Géraldine me regarde avec stupeur et la mine amusée. Elle m’écoute avec beaucoup d’attention en souriant.
Devant son regard intéressé et souriant, je lui avoue que j’aimerais coucher avec deux filles en même temps. Surtout les voir se gouiner sans retenue devant moi. Je lui dis que ça me plaire de la regarder tout en me branlant lentement devant elle. Géraldine s’étonne en me fixant quand elle m’entend parler de branler devant deux gouines en action. Puis, elle rigole en me traitant de dingue. Je rétorque que je suis sérieux. Je lui assure que ça me plairait beaucoup. Surtout de voir ses deux gouines me sucer la bite en même temps. Elle me regarde et secoue la tête négativement en souriant de joie.
Géraldine : Toi là tu es fou. Je jure.
Sur ce, elle rigole un peu. Je lui souris en parle sans détours.
Moi : Plus on est fou, plus on rit et s’amuse.
Géraldine : Humm
Elle me regarde d’abord avec méfiance. Puis en souriant. C’est à ce moment que je décide d’attaquer. Je pose ma main gauche sur sa cuisse gauche à moitié sortie de sa robe par la fente de la robe sur coté de cette cuisse. En s’asseyant la robe courte moulante de Géraldine s’était retroussé. Si bien que la fente sur le côté de sa cuisse allait bien en haut du coté de ladite cuisse à proximité du côté de la fesse. Géraldine sourit au contact de ma main sur la partie découverte et exposée de coté de sa cuisse gauche.
