Salam Aleykoum, je voulais t'écrire cette lettre pour mettre des mots sur ce que je ressens, sur ce que j'ai subi, sur tout cet amour avec lequel je ne sais que faire. Physiquement, t'es le gars dont toutes les filles peuvent rêver, grand, yeux bleu, algérien, un petit peu bronzé, un beau sourire, une petite barbe, Ma Cha Allah une beauté. Ton caractère comme tous les mecs de cité se comprends, dur, méchant, lunatique, blessant parfois, mais il y a des moments tu sais être hnine, toujours la blague à faire rire, toujours en train de rire. J'aurais jamais dû parler parce qu'à présent j'ai un trou béant dans la poitrine, tu me manques tellement, par Allah, hak Allah j'ai jamais ressenti ça pour un autre homme, t'es le premier ma première galère. On est pas ensemble, on le sera pas, je regrette ces moments où tu étais hnine avec moi mais comprends moi je dois me protéger, protéger mon petit coeur, au fil des années je lui avais fait une carapace que nul aurait pu casser, PERSONNE. Et puis t'es venu, t'as pris tes habitudes, ta voix rocailleuse, ton rire d'ogre... J'aurais dû peut être moins sur mes gardes, être plus hnina, tu me disais des tu me manques je te disais des je m'enfous mais maintenant je m'en mords les doigts. Mais j'avais peur tu sais, je sais que tu peux avoir la plus belle fille en un claquements de doigts, alors je me suis dis, il doit me prendre pour une proie facile alors je t'ai dais galérer mais je t'ai toujours donné une limite, je faisais exprès d'accentuer le fait que tu sois mon frère en Allah, et tu me le répétais que non tu l'étais pas et moi j'insistais encore plus. Quand j'y repense je rigole toute seule, tu me manques tellement, je donnerai tout ce que j'ai en ma possession pour te reparler juste quelques heures, entendre ton rire d'ogre résonnait et vasy zehi la fragile que je suis devenue en t'écrivant cette lettre mais c'est insoutenable. Je sais tu vas me traité de canarde, w'Allah au point où j'en suis ça me fais plus rien. Ces nuits blanches à parler de tout et de rien, des blagues par çi par là, jusqu'à que tu t'endormes, ton petit ronflement. J'ai l'air d'une psychopathe en disant ça mais je connais toutes teminiks, ton caractère, comment tu penses, comment j'ai fais pour tomber de love d'une personne comme ça. Parce que oui maintenant je me l'avoue totalement, je suis love d'un behloul comme toi. Tes trafics, tes bails, tu m'en a toujours parler ouvertement, tu m'as vraiment caché, j'essayais de tirer vers la religion mais bon visiblement ça changeais rien. Et Dieu seul sait comment t'es important à mes yeux, je regrette cette embrouille de khra parce que regarde maintenant où j'en suis arrivé. J'ai un dilemme dans mon cerveau, laisser ma fierté et revenir ou ... ET VASY MA FIERTÉ LÀ ELLE EST ÉCRABOUILLÉE DE TOUTE FAÇON. T'es venu, tu m'as fait tourné la tête fortissimo, regarde l'être faible que tu m'as fais devenir. Je pourrais me caser avec un gars là maintenant et faire le hlel mais Soubn'Allah tu veux pas sortir de ma tête, t'es là, incrusté, tu veux pas sortir. Passons, j'ai refoulé mes sentiments pendant des mois, pensant à une petite amourette mais non c'est bien plus, j'ai une seule crainte, que tu m'oublies, alors voilà je t'ai écrit cette lettre, tu peux la brûler, la jetter geh je m'enfous mais je me suis exprimée, j'ai jamais aimé une personne comme toi R, Dieu m'en soit tellement.
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Lettre à mon hob perdu.
Não FicçãoÇa seras pas une chronique seulement une lettre à l'être que j'aime, omri.