<<__Sirius Black.
Tu est une étoile dans le noir de la nuit.
Tu est ma bonne étoile, celle qui me surveille. Tu est mon phare.__>>
Lorsque que tu m'a parlé pour la première fois, je n'est pas compris. Ton sourire et tes yeux pétillent mont immobilisé.
Je ne sais plus ta question, ni ce que je t'es répondu mais je sais que j'ai été incapable de faire une phrase logique.
Ça a commencé comme ça, tu me fascinait. Tu étais tellement brillant que ça ma aveugler.
Puis tu as ris et pour la première fois, j'ai arrêté de penser.
Quand tu as appris pour ma condition, tu ne m'a pas jugé.
Tu m'a trouvé "trop cool" est tu m'a questionner toute la nuit.
Je me souviens de toutes ces nuits blanches sous un plaide à vider les chocogrenouilles de Peter.
Grâce à toi, je connais toutes les constellations.
Tu m'a écouté, je t'es écouté.
Et pour la première fois, je me sentais à ma place. Je parlais sens me soucié du temps.
Au début, j'ai eu peur d'être trop "barbant" mais tu as souris et tu as suivis.
Tu m'a fait découvrir ton monde et je t'es fait entrer dans le miens.
Petit à petit, t'es barrière sont tombé et j'ai pue voir un nouveau toi. Dans tes bons et mauvais moments. Je me suis sentis privilégié.
Tu as fait tellement pour moi. Je ne m'imaginais plus faire mes pleines lunes sens toi.
Puis, je t'es vue enchaîner les conquêtes.
Tu n'étais plus là certains soirs. Tu n'étais même plus seul. Je devais être trop "coincé", plus assez "cool".
Alors je me suis effacer.
Mais, comme un éments, tout me ramener à toi. Ton sourire avec cette fossette si parfaite, tes yeux pétillents de malices, ton corps parfait, ton rire, tes cheveux toujours impeccable, tes blagues. A tel point que tu as finit par hanté mes journées en plus de mes nuits.
Même après cette "farce", je ne pouvais te détesté.
Puis il y a eu ces vacances, pour fêter ta vie chez les Potter, au bord de l'eau. Je ne voulais pas me begner mais tu as insisté.
Toute la confiance que j'avais perdue cette année là m'est revenue.
On as ris, danser.
Et on c'est embrasser.
Et tout à changé. L'année d'après, c'était à celui qui oubliait le premier.
Mis à part le malheur, j'ai rien gagné. Est-ce parce que je n'arrivais pas à oublié ?
Malgré tout, tu n'a jamais arrêté de venir l'ors de ces nuit sombres dans la cabane. Et cela n'a jamais touché notre groupe. On a continuer les blagues, les nuits blanches, les confessions.
Même après ton anniversaire. Ce jour où tout c'est accélérer.
Tu étais saoule mais tellement beau sous la lumière de la lune. Tu étais là, à fumée. Puis tu as disparu.
En montant dans le dortoir, je t'es vue. Encore plus beau.
Dès que nos yeux ont accroché, tu m'a enlacés, et tu m'a embrasser. C'était la deuxième fois.
Tu as mit un disque de Queen et on a danser.
Tu as mit un disque de Bowie et on a chanté.
Tu as mis un disque de KISS et tu me l'a avouer.
Tu m'a confiés tes peur et que tu risquerait de faire des erreurs mais que tu voulais quand même essayer.
Mon cerveau est rester bloqué sur le "veux tu de moi", la suite je m'en moquait, tu m'aimait et c'était le principal.
Alors j'ai accepté. Sens réfléchir, je t'es enlacés et ont c'est embrasser, pour la troisième fois. Ce fut le meilleur jour de ma vie et ça l'ait encore aujourd'hui.
Puis, on a quitté Poudlard. On a emménager ensemble, on a sauvé James à sont mariage, on c'est battu.
Et on c'est éloignées.
C'est normal, on était jeunes. On avait peur. Harry venait de naître. Alors on c'est plonger corps et âme pour cette putain de guerre.
Au point de s'oublier.
Quand le drame est arrivé, je me suis perdu. J'ai abandonné toutes les promesses que l'on c'était fait et je suis parti.
Je n'ai même pas pu avoir Harry.
Le temps est passé, et plus j'avançais, moins j'y croyais.
Pour la deuxième fois, j'ai essayé de t'oublier sens même y arriver.
J'ai espérer.
A tel point que.. j'ai finit par ne plus savoir quoi espérer.
Puis je t'ai revu. Dans cette cabane délabrée. Tu ne sintillait plus comme avant. Tes cheveux étaient ternes et ton regard n'était qu'espoir et vengeance.
Ce jour là, tout ce en quoi je croyais, c'est effondré. Pour la deuxième fois.
Tu as fuit, puis on c'est fuis. Et tu est reparti, trop vite. Sens même avoir pue discuté convenablement avec moi.
J'en veux encore à ta cousine.
Aujourd'hui, je vais avoir un enfant et malgré tout, j'espère que tu veilleras sur lui. Même si ce ne cera pas le tiens.
Sirius, soit ça bonne étoile pour moi.
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