LE VÉNÉRABLE SAINT GABRIEL
Premier Mars 1838, C’est Assise qui te voit naître,
Toute ta famille en ce jour était heureuse,
Qui parmi eux connaissait le secret de ton être,
Sinon ce choix de vie douloureuse.
Tu mènes une jeunesse très parlante,
Très proche de tes ami(e) s en colonie,
Ton bon comportement sait qui tu hantes,
À chaque fois tu aimes sans félonie.
Le bon exemple de vie que tu montres,
La belle image en signe de ta vie,
Sont les bonnes minutes de ta montre,
Quiconque te croise, te regarde et t’envie.
Toujours attaché à la prière,
Celle-ci te montre la vierge Marie,
Devenue pour ta vie une guerrière,
Tu deviens à ton tour son mari.
Ton engagement à suivre la passion,
Ton choix du sacerdoce comme vocation,
Te conduisent à une vie de compassion,
Car tout n’était qu’une réalisation.
Flatté par l’humilité du crucifié,
Aimé par la mère de 7 douleurs,
Te présentant à Jésus pour te confier,
Tu te retrouves pris comme couleur.
Cette humilité t’a conduit à la sainteté,
Tu as imité le plus grand abaissement,
Tout en faisant preuve de chasteté,
Devant le difficile tu priais doucement.
Devenu L’homme du 27 février,
Auprès du Christ pour nous tu intercèdes,
Lui pour qui tu es passé pour ouvrier,
À chaque demande eh bien, il cède.
Patron de la jeunesse passioniste,
Conduit tous les jeunes vers le père,
Pour pérenniser cette œuvre passioniste,
Qu’ils travaillent sans avoir peur.
Que la passion du Christ notre seigneur,
Appelée à être dans nos cœurs éternellement,
Soit la voie qui nous mène vers le seigneur,
Pour ainsi vivre avec lui éternellement.
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LE VÉNÉRABLE SAINT GABRIEL DE LA MÈRE DE DOULEURS
PoetryLE VÉNÉRABLE SAINT GABRIEL Premier Mars 1838, C’est Assise qui te voit naître, Toute ta famille en ce jour était heureuse, Qui parmi eux connaissait le secret de ton être, Sinon ce choix de vie douloureuse. Tu mènes une jeunesse très parlante, Très...