Épisode 56 : C'était l'énergie de Gu Kaifeng.

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L'image dans le miroir du plafond rendit le visage de Lin Feiran rouge et son cœur battait fort. Lin Feiran haletait de manière erratique, ses doigts pâles atteignaient les cheveux noirs de Gu Kaifeng. Dans un excès de passion, il pressa la tête de Gu Kaifeng vers le bas ; de l'autre main, il contunia à préparer Gu Kaifeng...

« Dans un moment, tu pourrais voir des choses très effrayants. »

Gardant son visage rouge vierge, Lin Feiran passa d'une petite pomme à une petite pomme grave.

Gu Kaifeng le regarda. Avec un sourire, il tira la langue et lécha la couche de tissu en demandant:

"Cette petite chose effrayante ?"

C'était en fait si dur que c'en était effrayant.

"Non !"

Tout le sang dans le corps de Lin Feiran se précipita vers la moitié inférieure de son corps, et il avait complètement perdu le point.

"Qu'est-ce qui est petit ? Je suis parfaitement proportionné. Tu penses que tout le monde est comme toi..."

Les mots suivants se transformèrent en gémissements hésitants et haletants.

Une dizaine de minutes plus tard, ils dirent une pause et changèrent de position.Gu Kaifeng s'appuya contre la tête du lit, ses jambes fines redressées et nonchalamment écartées, des bras allongées nonchalamment à ses côtés sur l'oreiller et le monticule de la couverture. Lin Feiran s'agenouilla entre des jambes, et à l'instant où leurs regards se rencontrèrent, Tu Kaifeng leva un sourcil en disant :

"Bébé, viens, allonge-toi sur moi."

Il n'avait jamais pu supporter de laisser Lin Feiran faire quoique ce soit, alors dans ces circonstances, ils s'embrassèrent juste et laissèrent Lin Feiran utiliser sa main pour finir les choses.

"Aujourd'hui, je vais l'utiliser aussi..."

Considérez cela comme un avantage acquis avant qu'il n'ait à voir les fantômes ! La voix de Lin Feiran était si douce qu'on ne pouvait que voir ses lèvres bouger. Les yeux fermés, il toucha ses lèvres avec un doigts, puis fit glisser les vêtements qu'il avait jetés de côté et dit :

"Je vais d'abord mettre des vêtements."

"Tu ne vas pas mettre tes vêtements."

Tu Kaifeng saisit le morceau de tissu, le porta à son nez et inspira profondément en disant :

"Juste comme ça. Je veux te voir."

Par réflexe, Lin Feiran dit : "Ne sens pas mes vêtements..."

"Quels vêtements ? Sois plus précis."

Gu Kaifeng fit tourner les « vêtements » deux fois tranquillement, le cœur léger alors qu'il taquinait le petit gâteau collant Lin.

Lin Feiran se mordit la lèvre et ne répondit pas. Mis à part un pull fin, il ne portait rien du tout, et le col de ce pull avait été désordonné par Gu Kaifeng, révélant sa clavicule et son cou bordés de marques rouges. Lin Feiran tira fort sur le bas de son pull pour le baisser, couvrant à peine un peu plus son corps. Puis, tandis qu'il se baissait, le chandail ample glissa vers sa tête et ne couvrait plus rien du tout.

Gu Kaifeng regarda les endroit que le pull ne pouvait pas couvrir, les yeux crachant du feu. Dans le miroir au plafond, il pouvait clairement voir les fesses rondes et pâles de Lin Feiran et la taille fine qui en sortait. Par nervosité, les prteils de Lin Feiran se recroquevillèrent et se détendirent. Tous les petits détails que Gu Kaifeng ne pouvait pas voir de son point de vue avaient été capturés par le miroir et fidèlement affichés.

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