Le Gentilhomme

L'entre-deux

Je ne sais pas ce qu'il c'est passer ou combien de temps ce sont écoulé, je me suis réveillé au milieu des tombes avec un mal de crâne indescriptible. Je m'étais dis que j'avais encore abusé sur la bouteille  mais je sentais que quelques chose clochait. Cette endroit ressemblais très pour très au cimetière dans lequel je travail. Devant moi s'erigais une sépulture énorme mais dénouer du nom de son défunt et au sommet étais assis le gentilhomme du pub, il me regardit en ricanant.
《Je t'avais pourtant prévenu, pourquoi personne ne m'écoute jamais...》
《Que veux tu de moi gentilhomme, pourquoi m'avoir emmener dans un cimetière !?》
《Je comprends ton désarrois mortel, bienvenue dans mon humble royaume... L'entre-deux...》m'expliqua t-il.
《Ou ça ? Bordel je comprend rien !》
《Tout d'abord ne sois pas vulgaire ! Tu est mort Jacoby, mort ! Tu es dans ce que j'appelle l'entre-deux, cet espace autour de toi à pris la forme d'un endroit où tu sent bien, c'est parce ton esprit de mortel est trop faible pour concevoir ta propre mort. Et en toute honnêter je trouve assez surprenant que tu ai imaginé un cimetière...》dit il d'un ton surpris. Je le regardis avec de grand yeux, j'étais dans l'incompréhension totale.
《Je vais reprendre depuis le début, hier tu est mort. Le verre que je t'avais dis de ne pas boire à été ton dernier et quant à moi je suis ce que vous appelez vulgairement un passeur. Ton boulot c'est d'enterrer les cadavres et bien moi c'est de juger et d'escorté les âmes damnés... Et ici c'est l'entre-deux, une dimension consu par ton esprit, une zone de transition entre la vie et l'au-delà...》
Je suis resté sans vois, mais étant élèver dans la tradition chrétienne je demandit quand même.
《Ma femme est aller en enfer ou au paradis ?》
《Voyons... Oublie toute ta conception de la vie et de la mort, oublie dieu, satan, l'enfer le paradis... tout ça ce n'est que du vent !》dit il d'un ton agressif.
《Vois tu mon chère ami, tout ce que tu sais ou meme pence savoir sur la mort n'es que mascarades.》
Le Gentilhomme sautit de son pieds d'estale et s'avança vers moi.
《J'ai crû comprendre que mourir n'étais pas dans tes plan, n'est-ce pas ? J'ai un marché à te proposer.》
J'étais apeuré mais étrangement je me sentais en confiance.
《Dis moi tout gentilhomme.》
《Je peux t'aider à te vanger... Mais à quelques condition...》
《Je t'écoute Gentilhomme !》
《T'a vengeance en échange de ton bien le plus précieux...》
J'avais une vie assez modeste mon salaire de fossoyeur me permettait à peine de louer une petite chambre de bonne à withchapelle, que pouvais t-il me prendre de plus.
《J'accepte !》ai je dis avec ferveur.
《Parfais... Voilà une affaire conclu》me dit il en me serrant la main.
《Et ensuite ?》
《Et ensuite ? Je te souhaite une bonne vendetta ma jeune ami.》Je me suis senti tombé et tout ce qui ce trouvais autour de moi disparus en une fumée épaisse.