Chapitre 14 : La vente aux « enchairs »

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Salut les copssss ! Nouveau chapitre !  En espérant qu'il vous plaira . N'oubliez pas de commenter et d'aimer mon chapitre ! En ce moment je réécris un peu plus vite mes chapitres donc les poste seront peut être plus abondant .

Bonne lecture !

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« L'espoir est souvent la dernière chose qui s'éteint »

                                  Nerée

Je n'étais donc qu'une pute, quelle ironie. Cet imbécile heureux m'avait fait passer pour une grosse conne devant tout le monde.

Je m'assis sur l'une des chaises présentes devant la scène et observais les gens discuter de tout et de rien.

Je fus interrompue dans mes réflexions par le blond qui s'assit sur une chaise à côté de la mienne en passant son bras sur mes épaules.

Il se mettait à l'aise, le monsieur.

- Puis-je faire quelque chose pour vous ? demandai-je à l'homme.

- Ne fais pas l'innocente, j'ai vu le regard que tu m'as lancé quand tu es venue t'asseoir sur cette chaise.

Je regardai furtivement derrière moi et vis le lunatique me fusiller du regard, comme il savait si bien le faire. Ce qui me poussait à le provoquer d'autant plus en me servant de cet homme.

Je me levai donc de ma chaise, et écartai les jambes du blond qui était jusque-là l'une au-dessus de l'autre. Il me regarda faire avec cette lueur d'excitation, ce qui me dégoûtait et me rappelait de lointains souvenirs.

Quand je sentis encore le regard du taré sur moi, je refoulai ce sentiment et continuai. Je m'assis alors de profil sur ses genoux tout en passant un bras autour de son cou, sans oublier de lui lancer un regard provocateur.

Il me donna en retour un regard noir, mais je fus prise d'un hoquet de surprise quand je sentis une bosse sous mes fesses.

Oh purée... il faut que je me lève.

Prise d'une profonde angoisse, j'essayai de me lever, mais le blond me prit par la taille afin de me bloquer sur ses genoux.

- Qu'est-ce qu'il y a, ma belle ? Tout à l'heure, tu étais toute chaude à me lancer des regards sexy, et maintenant que tu m'as excité, tu veux m'abandonner. Me chuchota-t-il avec une fausse moue triste.

Mes yeux étaient inondés de larmes, mais je refusais de les laisser sortir.

La main du blond se posa soudainement sur ma cuisse, avant de la remonter de plus en plus haut, en n'oubliant pas de me faire bouger sur sa bosse pour l'exciter encore plus.

Je n'arrivais pas à bouger à cause de son autre main qui me tenait à la taille. Des larmes, cette fois-ci, que je ne pus retenir, coulèrent le long de ma joue en s'écrasant sur sa main.

- Voyons, ma belle, il ne faut pas pleurer. Mes pleurs redoublèrent en intensité, mais je voulais les garder silencieux pour ne pas attirer l'attention. La mission tenait toujours, non? Rester discrète et ne pas se faire remarquer?

Mon dernier espoir était derrière moi, j'envoyai un regard plein de désespoir.

Quand son regard croisa le mien, il fronça les sourcils, mais comprit vite mon appel à l'aide. Il leva alors les épaules, traduisant le fait qu'il s'en moquait totalement. C'est alors qu'il tourna la tête pour reparler aux hommes devant lui.

La fumée d'espoir qu'il avait créé en moi venait de disparaître dans les airs. Tous mes espoirs venaient de s'envoler aussi rapidement qu'une feuille s'envolant au vent. Le blond monta de plus en plus sa main vers mon intimité.

TEMPTEDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant