Chapitre 27 : le tout premier

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Ma mere ne perd jamais le contrôle. Sigma vit non pas dans le présent mais dans le futur. Chaque gestes, paroles sont fait avec réflexion. C'est pour ça qu'elle est aussi détestable.

-ON Y VAS ! JE RAMÈNE AVEC MOI UNIQUEMENT EUX PRÊT. CHARLOTTE DÉPÊCHE TOI ! JOHNNY ON S'HABILLE MEME SI ON EST INVISIBLE ! Crie Sigma dans le hall.

Ce soir ça allais être la première sortie de tout les enfants, elle voulait que ça soit parfait dans les moindre détails. Jusqu'à meme cacher la vérité à ses enfants.

-Wendy et Charles vont faire l'appel pendant que je peaufine les détails.

-En dirais qu'on est dans une école.

-Lysa si tu es un troll, tu ne viens pas et tu reste avec ton père qui préfère fuir le monde. Dit Sifma avant de disparaître.

Elle apparaît au chemin de traverse, avant tout était si lumineux, si joyeux et tellement féerique. Chaque enfants avaient les yeux scintillant, tandis que maintenant tout était gris et tristesse. Presque toute les boutiques avaient fermés leurs portes.

-Je les est ramenée, eux tous. Dit Scabior en sortant d'une ruelle.

-Très bien.

-Je pourrais reste...

-Tu as d'autre chose à faire. Comme me ramener des nouvelles victimes intéressants que des petits pauvres sans intérêts. Dégage. Dit durement Sigma le regarder.

Une fois seule, d'un claquement de doigt, des cadavres qu'avait ramener le raffleur, avait pris vit. Tels que des inferis beaucoup plus réaliste, il avait la parole, la penser, il était juste très pâle et garder la marque de la cause de leurs morts. Sigma venait d'utiliser dans les rares cas son pouvoir de vie. D'un coup de baguette, les lumières c'était allumer. Elle allait faire fenêtre cette rue tellement bonne enfants des cendres pour une soirée.

Puis elle, s'arrête devant la boutique des jumeaux Weasley. Il y avait une pancarte sur la porte : « Fermée ». Rien n'était fermée pour elle d'une facilité déconcertante, elle poivre la porte.

-C'est parfait... Interdit au public. Lit Sigma.

Elle monte quand meme, c'était une passage qui mener au appartement des jumeaux. Sigma rentre et tape avec sa canne à la porte d'une des chambres.

-Jumeaux 1 on arrête de s'envoyer en l'air et viens maintenant. Jumeaux 2 on se lève du lit et on arrête de se masturber au crie de la copine de son frère.

George devient tout rouge et se levé précipitamment.

-Qu'est ce que vous faite la ? Je ne faisait meme pas ça ! Sortez de chez nous ! Fred !

Fred arrive muni uniquement d'un sous vêtement remit rapidement. Il regarde Sigma de haute en bas et souffle :

-Faut arrêter de croire que vous êtes la reine du monde. Au revoir...

-Si je serait vous. Je ne me jetterais pas dehors.

-Et pourquoi ?

-Parce qu'on ne me jette tout simplement pas dehors. Et je tue ta copine qui est actuellement dans un sommeil très profond.

Fred et George se regardent avant d'hocher la tête. Il fallait aller dans le sens de Sigma :

-Respirer, je vais pas vous tuez. Vous êtes marrants. Je vous ramène cent enfants qui sont une bourse pleine.

-Quoi ? Demande George.

-Vous faire du profit ce soir. Alors on bouge ! Dépêchez vous !

Quand elle ramène les enfants dans cette rue totalement fausse et si vraie. Chaque enfants avaient des paillettes dans les yeux, un sourire au lèvres. Ils couraient partout. Lucius embrasse la nuque de Sigma qui les observer heureuse de ce magnifique spectacle :

Ma jumelle [en cour d'écriture] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant