Leçon de violon.

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L'immense porte vernis boisée qui se trouvait en fasse de moi me bloquait le passage pour accédé à l'autre pièce du château. Je déposais ma main sur la poignée puis la tourna. Dans un grincement raugue, la porte s'ouvrit laissant place a une immense pièce tapissée de bronze métisse, un piano, seul comblait la pièce. Il faisait presque pitié seul au milieu de ces quatres mûrs dont l'uns d'entre eux était simplement un alignement de fenêtre, elle avait une vue sur la cours et le jardin de château.
En contemplant chaque recoin, un bruit se fit entendre.
-Tututu...
Je tournai la tête en direction de cette voix masculine puis je vis un homme tout-petit, le cheveux noirs plaqués et une expression du visage très insatisfait.
- Sortez je vous prie.
-que...quoi ? Dis-je interloqué. L'homme posa sa tasse de thé, se leva et allongea ses bras le long de son corp.
- On dis comment. Et ensuite, je vous ai demandé de sortir. Vous toquer a la porte et vous attendez que je vous donne l'autorisation de rentrer.

Il avait son regard rivé sur moi, je suis sur que si il avait des missiles a la place des yeux je serais déjà morte.
Je sortie de la pièce, retourna dans le couloir et referma la porte puis je toque. Une fois, rien. Deux fois,rien. Je crois qu'il se moque de moi là, Marta ne m'avait pas raconté de salade en me disant qu'avec Mr Schmitt se ne serais pas une partie de plaisir.
Je retoque une troisième fois et la j'entends enfin l'autorisation pour rentrer. Je poussai la porte puis entra, je l'entendis soupiré.
- Un problème ?
- Tenez vous droite mademoiselle ! Droite ! Pas avachie ! Un peux d'élégance tout de même.
Je me redresse donc a ça demande.
-Bon, Piano. Dit-il en pointant de son index la direction du piano boisé.
- Quoi ?
-Comment ! On dit comment ! Il souffla un bon coup et reprit. Veuillez m'excuser mais vous avez le dont de me m'être hors de moi. Rétorqua le nain en passant en coup dans ces cheveux lisses.

Bon...il semblerait que j'ai a faire a un nain aussi petit que ma grand-mère qui est aussi lunaire que le changement lui même des lunes.
- Je vous attends mademoiselle. Veuillez vous asseoir au piano.
- Eu..oui. Oui oui j'arrive. Mes pieds marchèrent en direction de l'instrument puis m'assieds sur le siège en cuire noirs. Bon dieux qu'il était confortable mais petit bémol, le corset me gênait. Il m'empêchait de me courber pour être plus à laise. Je pris alors une grande inspiration puis courba mon dos d'un coup sec, mais a se derniers gestes, un bruit de déchirement se fit entendre puis un cri extrêmement aigu résonna dans la salle.
- SACRILÈGE ! BONTÉ DIVINE..! Aidez moi a respirer s'en ai trop...
En me retournant je vis le major inconscient face contre sol. Je crois qu'on devrait parler de ça position plus que incroyable.
En réalisant ma bêtise, je me leve et appele a l'aide dans les couloirs.
Une équipe de domestique et d'autres majordomes étaient tous réunis autour de Mr Schmitt en train de le ventilé avec des éventails.
- Mademoiselle ?
En me retournant je vis une des domestiques de château me demandant de la suivre pour changer de toilettes.
Mes leçons de toute l'après-midi on été suspendu se qui fait que j'avais tout le reste de la journée de libre.
Après m'être vêtu de vêtements amples, la domestique me laissa a mon propre arbitre me demandant seulement de ne pas quitter l'enceinte du château et de partir en direction du marché et de la forêts.
De toute évidence, je comptais aller visiter le jardin immense que renferme le château.

Je parcourais chaque recoin plus somptueux les uns que les autres. Les roses blanches sur les parois des buissons donnaient un air monotone au jardin. Plus j'avançais plus l'air et l'ambiance changaient. Cette fois ci, c'était des roses rouges sangs qui trônait sur les buissons et avait changé l'air monotone en une ambiance plutôt angélique.
La jardin était tellement grand que mes jambes fatiguères. Il faut dire que les robe de cette époque ne sont pas si légères. J'avais l'impression que plus je m'enfonçais dans la verdure qui m'entourait, plus les rose étaient belles et encore plus rouge jusqu'à ce que je vie une balançoire.
Quand j'étais plus jeune j'avais aussi une balançoire, mais un jour de terrible tempête, elle c'était cassé.

Je m'assois sur la balançoire suspendue par des cordes et commençe a basculé mes pieds d'avant en arrière.
Soudain, je me laisse replonger dans mes précieux souvenirs d'enfance, ou j'étais encore innocente et insouciante de la vie injuste qui allait arriver. Ou je ne me souciais pas de prendre du poids, de mon style vestimentaire, de l'avis d'autrui.
Je fixais le sol, le gazouillis des oiseaux, le bruissement des feuilles rendait l'atmosphère de se jardin...spéciale. Les questions sans réponse s'envolent dans les courants d'aires, mes pieds continuaient de basculer et des papillons nacrés s'envolaient autour de moi.

J'étais en pleine réflexion, comment je pouvais faire pour retourner dans mon époque ? J'avais perdu la montre, donc aucun moyen de rentrer chez moi.
Je me souvenue de ce que la domestique m'avait dit, de ne pas aller en dehors du château. Elle avait mentionné qu'il y avait un marché pas loin, peut-être que en y allant, je pourrais retrouver un exemplaire de ce fameux bijou.

Je me leve de la balançoire et commença a me faufiler discrètement vers le grand portails de la forteresse. Je pousse la porte mais elle etait malheureusement fermée a clé. Du coin de l'oeuil, je vis une calèche. J'entre a l'intérieur et me cache dans le tas de foins.
Au boue d'une demi-heure, je sentie la calèche bouger et commencer a rouler.
Je sortie la tête pour jeter un coup d'oeil a l'extérieur et descendi de la calèche dans une magnifique chute silencieuse.
J'étais enfin de l'autre côté de ces grande porte et je remarque immédiatement la ville avec le marché et ces stands de trocs et de marchandises rayonnantes.
J'avance vers la foule et me fondis dans le décors.

- Attention ! Fis un cris nonchalant.
Je me décale voyant une grande charrette tiré par un homme d'allure usée et éteint. Je m'excuse dans un murmure qui, je pense, n'a pas atteins ses oreilles. Cette place était bondée de monde. Des enfants, des animaux, des véhicules de bois tirer par des malheureux, qui promenaient certainement des bourgeois. Les Marchands déambulais dans les rues pleine de vie. Criant pour vendre leurs quelques produits et marchandises. Je me sentit petite, pas dans mon élément. Voire les gens marcher aussi aisément, sans pourtant prendre attention a la mort qui manquait de les écrasés avec leurs chevaux.
Je tente a mon tour de passer sur la route craquelée et usée mais pris d'une malchance, je heurte des tonneaux de bois en essayant d'éviter une calèche. Ses derniers tombes et roules laissant s'échapper leurs contenus. Moi qui essayait de passer inaperçu, c'est perdu.
Je me penche pour ramasser les pomme de terre sur le sol quant une main se tend vers moi.
- Laissez moi vous aidez, jeune demoiselle.
Je regarde l'étranger se tenant face a moi. Habiller en exhibant sa fortune dans ses bijoux de soleil et ses manières trop polies.
- Merci. Dis-je sans bafoué. Une pensée me traversa l'esprit. Je venais de parler a une personne qui avait surment existé il y a plus d'un millénaire. Un frisson ma passe par la colonne vertébrale.
- Je vous en pris. Vous semblez embêter, vous n'êtes pas d'ici ? Son sourire était transmissible. Je retrousse mes lèvres a mon tour et sourit
- Disons ça comme ça oui. Lui répondis-je en ramassant la nourriture au sol.
- Quand êtes-vous arrivé dans ce quartier ? Si vous le souhaitez je pourrai vous faire une visite ? Vous savez les gens ici ne sont pas très aimables. Enfin, il faus rencontrer les bonnes personnes voyez vous.
- J'espère alors que vous faîtes partie de ses bonnes personnes ? Dis-je sous le ton la rigolade. Ses yeux me scrutaient ouvertement et il fis un rire chaleureux.
- Vous avez face à vous la personne la plus fiable et honnête de tout Paris !
Paris....Paris ?....Je suis a Paris !?
Je me fige. Telle un glaçon, le regard posé sur lui. Il me regarda perplexe et agite ses mains face a mon visage.
- Mademoiselle ?
- Paris ! Je suis a Paris ... Prise d'une réalisation incroyable je me tourne vers le jeune homme.
- Oui, Paris. Vous ne le saviez pas ? Paris ses architecture grandioses !
- Non je... je n'avais pas pris conscience que je me trouvais dans les quartiers de Paris. Avouais-je perplexe. Le jeune au bijoux d'or me toisa puis ris.
- Vous êtes marrante mademoiselle.....
- Anne....? Dis-je sûr un ton pas certain.
- Enchanté, Auguste. Il me tendis sa main. Je pensais que c'était pour une poignée de main, mais il saisit ma paume et dépose un baisé sur le dos de ma main. J'inspire assez surprise.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 30 ⏰

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