𝐚𝐧𝐝 𝐥𝐨𝐯𝐢𝐧𝐠 𝐲𝐨𝐮 𝐰𝐚𝐬 𝐞𝐚𝐬𝐲.

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Enfoiré de maquereau,

Je me rappelle de ce moment comme-ci c'était hier.

C'était un soir d'été frais, un 22 juin tout frais.

Le soleil descendait lentement au sein de la petite ville métropole dans laquelle j'habitais.

Les arbres se caressaient leurs feuilles à travers le doux vent frais de cette future nuit.

C'était surement la dernière nuit ou je dormais dans le calme,en pensant à toi sereinement ce qui est extremement ironique vu la façon dont on se traite mutuellement sous la forme d'insultes, de provocation et autre.

Mais cette nuit restera gravé dans ma mémoire aussi longtemps surement que le souvenir de ma première cigarette.

Au moment ou j'écris je dois avoir surement fait un nombre incalculable de brouillons de ces fichues et stupides choses qu'on appelle des "lettres".

Pourtant c'est ce qu'il m'était conseillé de la part de ma débile de therapiste.

Peut-être qu'en écrivant ce qui me chagrinait d'après ses soi-disants études scientifiques ridicules et débiles ,ce qui n'allait pas au plus profond de moi et tout mon ressenti envers la situation actuelle dans laquelle je me trouvais.

Et c'était bizarre de broyer la langue de Molière à travers ma bouche pour toi, toi qui a mes yeux n'est qu'un enfoiré qui n'a pensé qu'a sa propre part et moi qui était toujours d'une energie pour ce qui fut de t'engueuler et dont la definition "calme" ne fut point dans mon vocabulaire et qui faisait de courtes sentences pour m'exprimer et simplement pour te montrer à travers ses mots tranchants envers toi oh combien je te deteste.

Mais il fallait que j'en parle, que j'arrete de fuir tout ça, que j'arrete de me refugier sous ce bouclier que je me suis créer, que je dise surement la verité et tout ce qui s'était passé.

Je t'ai encore trouvé près de ta fenêtre
en regardant par dehors, moi qui connaissait si bien ton adresse alors que tu fus mon partenaire de l'epoque, regardant les feuilles virevoltants au contact de l'air frais, doux et chaud, ainsi que tomber par terre au sein du dur contact de la terre.

Un contact auprès de la realité

Un déclic au loin de l'utopie devenue invisible.

Et c'était comme dans un rêve, j'aurais voulu que ca soit un rêve.

Wow, tu étais si parfait a travers cette angle, tu l'as toujours été a mes yeux malgré cet air d'enfoiré que tu montrais si bien de haut devant tout le petit monde qui t'entourait, meme si je ne le disais pas, meme si je ne l'avouais pas et pourtant je te le jure : tu es un ange démoniaque descendu de mes reves les plus fous et doux, sous cette terre sale ou je résidais moi. Ta belle chevelure d'un teint châtain des plus foncés resplendissait au soleil, et tes yeux noisettes d'un foncé aussi profond que ta cheveulure furent si hypnotisants et ravissants qu'ils me faisaient fondre en un instant comme une glace au contact des rayons chauds de la lumière.

Tu es si beau, si rayonnant. Drole venant d'un maquereau.

Tu ne pouvais pas me parler car je n'étais surement pas encore arrivé vers le champ de tes pensées.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 12, 2023 ⏰

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-𝐑𝐮𝐧𝐧𝐢𝐧𝐠 𝐀𝐰𝐚𝐲 [soukoku angst os]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant