∆ Désolée, cela est un chapitre court ∆
Ce matin, je me lève tôt comme à mon habitude pour me préparer à une réunion. Alors que je suis en train de prendre le petit-déjeuner mes pensées sont tournés vers elle, j'ai lu la note d'expulsion et je ne souhaite pas qu'elle se retrouve à la rue. Je souhaite qu'elle vienne chez moi pour plus de sécurité et de confort. Je sais que je lui en parle maintenant, elle va sûrement refuser immédiatement mais bon qui ne tente rien n'a rien. Je décide de me rendre au travail afin de coordonner ma réunion.
Une fois cette dernière terminée, je décide de l'appeler pour savoir s'il serait possible de rencontrer cette dernière.
— Oui allô,
— Comment allez-vous mademoiselle Charley ?
— Je vais bien merci et vous ?
— Moi je me porte bien merci.
— Que puis-je faire pour vous ?
— Mademoiselle Charley, acceptez-vous de déjeuner avec moi toute à l'heure ?
— Déjeuner avec vous tout à l'heure ?
— Oui
— Excusez-moi mais puis-je savoir à quel sujet ?
— Ne vous inquiétez pas, nous en parlerons une fois que nous serons face à face.
— D'accord.
— Très bien, je vous envoie mon chauffeur afin qu'il vous conduise au restaurant.
— OK.
Finalement, j'ai changé d'avis à la dernière minute, je suis passé la prendre à la fin de son cours avec mon chauffeur. Nous sommes installées confortablement au restaurant et elle déguste son assiette avec appétit. Assise en face de moi, elle relève la tête et s'excuse de s'être endormie hier soir. Je ne m'y attendais pas, ce qui s'est produit hier ne m'a guère dérangé. Et cela n'était pas vraiment de sa faute. Je ne lui en veux pas au contraire, j'ai trouvé cela mignon mais je ne le lui dirai pas.
— Je vous conseillerais de ne pas travailler autant
— Je le sais mais je dois bien gagner ma vie.
— Je n'en disconviens pas, je sais que vous devriez gagner votre vie mais vous devez aussi penser à l'état dans lequel vous êtes.
— D'accord,
Je pense que c'est le bon moment, je décide alors de le lui annoncer.
— Mademoiselle Charley est-ce que ça vous dirait d'emménager chez moi ?
— De quoi parlez-vous ?
— Je parle de votre avis d'expulsion, je sais que vous devez quitter l'immeuble dans lequel vous êtes dans deux semaines et je ne pense pas que vous aurez le temps de trouver quelque chose d'assez bien pour vous en si peu de temps.
— Je suis désolé mais je ne peux pas accepter, je vais trouver une solution par moi-même ne vous en faites pas.
— Je n'en disconviens pas, je sais que vous êtes une femme forte mais je préférerais vous ménager et pour cela je préfère vous inviter à venir habiter chez moi. Le temps qu'il faudra.
— D'accord, mais je vais trouver par moi-même mais si au bout de deux semaines je n'ai... je n'ai rien trouvé. Je vais donc accepter de venir vivre chez vous.
— C'est le plus important.
Deux semaines plus tard...
Point de vue d'Aelys :
Je suis au pied du mur et bien les deux semaines sont écoulées et je n'ai rien pû trouver. Je suis donc obligé de déménager de cet appartement pour emménager chez lui aujourd'hui. Là, nous sommes en train de faire le déménagement. Les dernières semaines ont été des semaines vraiment très compliquées et éprouvantes. Je n'ai pas pû trouver quelque chose de vraiment abordable sans oublier le fait que j'étais malade. Je vous assure que ç'a été vraiment chaud.
Je finis de boucler le dernier carton en regardant cet appartement vide.
— Puis-je entrer ?
— Oui allez-y, répondis-je en me levant.
— Avez-vous bientôt terminé ? Me demande-t-il en me regardant.
— J'ai fini, c'était le dernier carton.
— Très bien, pouvons-nous y aller ?
— Alors ils vont continuer de transporter le reste ?
— Oui ne vous en faites pas.
Je regarde le petit ami de Jessica qui est lui aussi en train de déménager les affaires de cette dernière. Jess et lui ont leur voiture, les voitures pleine, c'est le moment de se dire au revoir.
— Tu vas me manquer ma belle, me dit-elle en me prenant dans ses bras.
— Toi aussi,
— J'espère que tu arriveras à t'adapter à ta nouvelle maison et que tu n'hésiteras pas à m'inviter. Me dit-elle en étant encore accroché à elle.
— Ne t'inquiètes pas, nous nous séparons l'une de l'autre.
— Ça y est c'est le moment d'y aller, lance Galt.
Je me dirige vers la voiture de monsieur Koen et et lance un dernier regard à cet immeuble qui nous a abrité. Les portières refermée, les voitures démarrent en direction de mon nouveau chez moi.
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Un Merveilleux Miracle
Roman d'amourAlors que Aelys s'est résignée enfin à ne pas pouvoir donner la vie on lui annonce qu'elle porte en elle la vie. Confuse et perdue elle ne sait que faire et redoute de rencontrer celui avec qui elle va devoir partager cet enfant. Koen Reeves est un...