Se fixant mutuellement. Le temps s'arrêta. Aucun des deux n'osèrent reprendre la parole en premier. Caleb fatigué de ce blanc pris la parole.
-Qui est-tu ?
-Ça n'a pas d'importance. Est-ce que tu vas bien ?
-Pourquoi ? Pourquoi m'as tu stopper dans mon élan ?
-Je ne sais pas. Je devais t'arrêter c'est tout.
Caleb s'en alla insatisfait de ça réponse, en laissant ce garçon tout seule. Il trouva bizarre que ce garçon ne voulut pas lui donnez son nom. Mais il préféra oublier cette personne. Qui lui créa un sentiment bizarre.
Une semaine plus tard :
Sur le chemin de l'école avec ces écouteurs. Caleb eu une soudaine crise d'angoisse. Regardant les alentours, pour ne voir si il n y'a pas un endroit ou se réfugier. Il en trouva un. Son cœur battait de plus en plus vite. Caleb essayant de tout faire pour l'arrêter en vain.
-Je vais mourir. Je vais mourir. JE VAIS MOURIR. pensa t-il très fort dans ça tête.
Cette phrase ne fessait que résonner encore et encore dans ça tête. Après un moment, cette crise d'angoisse venez enfin de se finir. Il décida en suite de sécher les cours. Cela lui fera encore une journée injustifié, mais il s'en fouta royalement. Il rentra chez lui. Ça mère étant au travail. Il s'en réjouis-sa.
A surfer sur son téléphone. Caleb pleurait encore et encore. Pour ensuite avoir se regarde avide de bonnes ondes et remplie de mauvais ondes. Il n'en pouvais plus, alors... Il alla dans la salle de bain et se scarifia. Il resta immobile dans sa baignoire. Comme si son âme était partie et qu'il ne restait qu'un corps vide.
Après tout c'est péripéties quotidienne, son ventre s'est mis à gargouiller. Il sortie de la salle de bain. Pour s'habiller chaudement car il fessait froid cette soirée là. A marcher dans la rue avec ça paire d'écouteurs. Un panneau luminescents lui fessant mal au yeux se mets devant son chemin. C'était une pizzeria. Il décida dit rentrer.
- Bonjour, y'a t-il quelqu'un ? dit-a Caleb. Tout en balayant la salle complètement vide de son regard.
-Oui excusée moi, j'arrive dans un instant. Répondit le vendeur.
Pendant ce temps là Caleb s'était assis et lisait un livre qu'il avait amené. Le vendeur arriva. Tous les deux se taisaient pendant un court moment.
-Toi!
-Toi!
-C'est toi le mec qui n'a pas voulu donnez son prénom.
-Et c'est toi le gars qui essayée de se suicider.
Caleb se taisait suite à la remarque de jeune homme sans nom.
-Oh non merde, je suis vraiment désolé d'avoir dit ça. Dit-a le garçon totalement gêné par la galère dans la quelle il s'est mise.
-Ne inquiète pas, tu l'as pas fait exprès. Répondit Caleb d'un triste.
-Je sais. J'ai une idée.
-Laquelle ?
-Pour me faire pardonner, je vais te faire 2 cadeaux. Le premier sera mon nom et le deuxième sera une pizza offerte.
-Ouah vraiment ?
-Oui vraiment, ok je me lance? Je m'appelle...
-Attend. Je veux la pizza tout d'abord.
-Oh euh, ok pas de problème tu veux quoi ?
-Une pizza capricciosa s'il te plaît.
- OK, elle sera prête dans quelque minutes.
En attendant la pizza, Caleb reprit ça lecture. Il lisait l'autobiographie d'un célèbre biologiste qui s'appelle Emmanuel Lusa.
-Voila ta pizza.
-Merci beaucoup
-Je t'en prie. Bon avant que tu me coupe, j'étais sur le point de te dire comment je m'appelle. Donc mon nom c'est...
Le téléphone de Caleb sonna.
-Allô ? Mon ami, comment tu vas depuis. Je suis trop content que tu m'appelle. Attend 2 secondes. Bon je te laisse au revoir et merci encore pour la pizza.
Il s'en alla tout souriant. En ayant complètement oublié qu'il était sur le point de connaitre le nom de cette inconnue.
En voyant, Caleb partir comme ça. Le garçon était tellement abasourdie et choquée qu'il ne prononça plus rien.
-Il est sérieux là?!
Voici la fin du deuxième chapitre un petit peu plus court cette fois et j'en suis désoler. J'ai essayer de mettre plus de dialogue. En espérant que sa vous plait😁.
VOUS LISEZ
Pourquoi moi ?
Teen FictionQui suis-je vraiment ? Pourquoi dois-je subir tout ça ? Des multiple questions qui tourmentes notre adolescents âgé de 15 ans. Nous suivons l'histoire de Caleb. Un jeune garçon noir qui doit survivre a ces démons du passé, a ces problèmes du présen...