6 : Traumatismes

712 48 23
                                    


Inaya

- Allez Gua' et Inaya faites un salto, nous criait la capitaine

Attends j'ai pas signé pour ça. Comment ça, un salto ? J'étais actuellement avec Guadalupe à notre premier entraînement. Je ne comprends rien, la moitié des pirouettes qu'elles font, sont difficiles.

- Franchement à quoi je pensais ? Gua', je sais même pas faire le grand t'écart, dis-je à bout de souffle.

Je pense que mon dos, c'est bloqué putain.

- Ina' arrête de te plaindre, regarde tu débrouilles mieux que moi, dit-elle morte de rire.

- Pourquoi les tenues sont aussi courtes et sexy ? Demandais-je à la capitaine.

- Pourquoi les tenues sont aussi courtes et sexy ? Demandais-je à la capitaine

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

J'arrive toujours pas à croire que Gua' est réussi à me faire rentrer dedans.

- Parce que - , était-elle sur le point de me dire.

- Pour attirer l'attention des spectateurs du match, disait Calista sévèrement. Tu devrais arrêter de poser des questions inutile.

- Qui t'a demandé ? Quitte là-bas, lui dis-je ennuyée. Premièrement on est vêtu comme des putain de stripteaseuses, dis-je

Cette phrase avait mis certaines des cheerleaders d'accord avec moi.

- Deuxièmement, repris-je, je trouve ça encore plus dérangeant de devoir attirer l'attention en se dénudant. Lui dis-je d'un ton nonchalant.

- Écoute la sainte nitouche, soit tu bouges dénudé comme tu le dis soit tu dégages du groupe, me dit-elle d'un ton haineux.

- Personne va dégagé, dit une voix qui coupa la tension qui s'installait. Calista, je te rappelle que JE suis la capitaine et non toi. Ensuite Inaya, je suis d'accord avec toi au sujet de la tenu mais elle a été imposer par le directeur.

- Okay, mais pourrait-on essayer de lui faire changer d'avis ? Persistais-je

D'autres filles étaient d'accord avec moi.

- Bon vous m'avez convaincu, Inaya vu que l'idée t'appartient, je te laisse t'en charger. Me dit-elle

- Bien sûr, compte sur moi, lui dis-je simplement.

***

J'étais devant la porte du bureau, le stress me prennait. Je tapais doucement et ouvrais la porte après confirmation.

Don't let me love youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant