.Chapitre 1.

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Point de Vue Kou.

- Bon sang !

Je suis en retard ! Il est actuellement 17:37 et je dois être au lieu du récital à 18:00. Evidemment vue que je suis très chanceux, il y a des embouteillages, sortez le violon s'il vous plaît ! Je vais sérieusement déprimer. Cela fait deux mois précisément, que je m'entraîne nuit et jour pour ce jour, qui est aujourd'hui, et en plus d'être en retard, tout est de mon côté comme par exemple, le temps, il fait extrêmement nuageux, niquel il va pleuvoir, il y a une énorme circulation sur la route, forcément sept jour sur sept il n'y a pas un chat sur cet route et comme par hasard aujourd'hui y'a un troupeau ! C'est la fin de l'hibernation ou comment ça se passe ? Why, Why, Why ? Pourquoi aujourd'hui ?! Mes nerfs commencent à chauffer à une température non recommandable. Mon professeur va sûrement réussir à changer mon ordre de passage, mais bon, quand même ! Je regarde dehors pour passer le temps et me calmer par dessus tout. Le taxi avance ! Hallelujah ! En quelques minutes j'arrivais au hall où se déroulait le récital de piano. C'est assez grand, mais bon j'ai déjà joué dans des hall bien plus grand que celui là. J'accélère mon pas, fixant mes pieds pour ne pas croiser les regard réprobateur de tout les pianistes qui paniqués et qui n'était toujours pas passés. J'arrive donc au toilette des hommes et me fixe dans le miroir, je ressemblerais presque à un vieux sage de film chinois. J'aurais quand même aimé passer une journée sans encombre.

Quelques heures auparavant.

Aaaah, les cours de français sont tellement passionnant et enrichissant, mais tellement. Tout ce que je dis n'ai que purement ironique. Surtout lorsque votre voisin de table persiste à vouloir taper la causette avec vous, mais surtout le pire dans tous ça, c'est qu'il ne me lâche pas, il me fixe depuis le début du cours, et cela en devient plus que stressant. Ai-je un bouton sur toute la partie droite de mon visage ? Non je ne crois pas, j'ai encore vérifié ce matin. Serait - t'il bigleux ? Surement. J'écris au coin de la page de mon cahier, "Arrête de me fixer". Il secoue ça tête de droite à gauche en signe de refus, je soupire de désespoir et essaye d'écouter ce malheureux cours de français qui n'intéresse que le professeur. La sonnerie de la fin des cours retentit et je sauta presque de ma chaise et pris mon sac, et je partais directement à mon casier, ce soir c'est enfin mon récital pianoooo. Je suis super content, et surtout soulagé, je ne pense pas que j'aurais tenu plus d'une semaine sans dormir et faire subir à mon piano les pires souffrance, je suis à ma limite. Je ferme mon casier. Mon regard se posa sur la jeune fille au sourire sadique qui se trouve à mes côtés. Elle me pris par les bras comme une marié et me tira jusqu'à la cours, elle m'assit sur le banc, toute excité même trop, c'est très suspect.

- Hm ? Tu es bien excitée aujourd'hui, ta manger des sauterelles ?, demandais-je en me désinfectant les main.

- Ouiii ! Devine qui j'ai invité pour venir à ton récital ?, cria t-elle toute enjouée.

- Ton frère ?

- Nope, j'ai invité le mec le plus sexy, beau et badass du lycée !

Je me gratte l'arrière de ma nuque.

- Tu as invité euhhh.. H-Haru machin chose, j'articula après quelque instant de réflexion.

- Tu es vraiment un cas pour ne pas connaître Haruse, soupira t-elle de désespoir.

- C'est dernier mois j'avais d'autre truc en tête.

- Ah ben tiens quand on parle du loup !, s'exclama t-elle en se levant.

Je relève ma tête pour être éblouis et même aveuglé par le soleil, mais une ombre se plaça devant moi me faisant de l'ombre, mes yeux s'y habituèrent et je pu fixer normalement la personne en face de moi. Il avait des cheveux brun, rasé sur les côtés, le genre de coiffure que quasi tout les garçons possèdent, et des yeux vert clair totalement glaciale.

- Kou, Haru et Haru, Kou, dit t-elle en nous présentant l'un à l'autre.

- 'Lut, prononça sèchement Haru.

- Hey, répondis-je.

Quasi la totalité des gens présent dans la cours nous fixait, nous zieutant. Je soupire et me lève prenant mon sac.

- Où vas tu ? me questionna Haruse d'un air toujours aussi sec.

- J'ai des occupations après les cours qui sont bien plus intéressant que rencontrer un coureur de jupon, au revoir.

Oui Haruse était l'un des plus grands dragueur de ce lycée, des coups d'un soir, ça il en a eu bien plus qu'une en un soir. Cela me répugner, ce genre de personnes que je n'arrive pas à cernés, je sentais sont regard peser sur moi jusqu'à ce que je sorte de son champ de vision, je regardais l'heure et je viens 17h00. Je sursauta, déjà !!?? Je cours jusqu'à chez moi pour me changer et me préparer, manger un truc et je partis à mon récital.

Moment présent.

Je rince à plusieurs reprise mon visage pour me rafraîchir je déteste la pluie, l'air devient humide et je déteste ça. J'entendis une personne du personnel m'appeler.

Kou Hevia veuillez venir vous préparer.

Youpi tralalala, le stresse monte, je me dirige vers les coulisses et attend que la personne présente sur scène finissent ça prestation. J'avais mis mes lentilles de contact pour ne pas m'énerver sur mes lunettes qui glissait sur mon nez. Ce fut enfin à mon tour, je m'avance sur la scène m'arrête et salut le public et croise le regard de mon amie Illya qui me fixait avec son grand sourire. Je me dirige enfin vers mon amour, le piano. Je m'assois et règle le siège à ma hauteur, et m'installe correctement, je respire un grand coup. Je commence enfin le morceau, Chopin, opus 10 numéro 4, (musique présente en haut de la page). Chopin l'un de mes compositeurs favoris, certes c'est œuvres sont dur à apprendre, mais cela est tellement, tellement, beau. Je ferme les yeux, m'épanouissant sous le sons du piano. J'adore le piano, l'une des rares choses dont je suis passionné, je n'aime rien d'autres. Je suis quelqu'un de très peu bavard, sans émotion devrais-je dire. Mais Illya me dit que c'est ce qui fait mon charme, Illya est l'une de mes amies d'enfance, elle est née en Allemagne et a déménagée au Japon, nous sommes sortis ensemble durant un an et demi mais avons décidé de resté seulement amies. Depuis on se parle normalement, enfin rien n'a changé en tout cas. Je finis enfin le morceau et pose mes mains sur mes cuisses, j'entendis les spectateurs applaudir, je me lève et salue le public et part dans les coulisses, sur le chemins du retour on me félicita, je pouvais enfin dormir !!! Oui dormir et l'un des autres rares passe temps que j'ai. Forcément, tout le monde aime dormir. Entre temps j'ai remis des vêtements adéquat comme un skinny en jean gris, des converses blanches ainsi que un pull et une écharpe car j'avais mal à la gorge depuis quelques jours, encore une fois, merci la météo ! Et c'est fake de merde. Bon du coup il pleut et j'attend que Illya vienne me secourir avec son parapluie, elle arrive après 5 minutes d'attente avec Haruse. Elle me félicita encore et encore durant tout le chemin du retour, qui se fit à pied en compagnie de Haruse qui apparemment n'habite pas loin de chez moi tout comme Illya. C'est vraiment super de le savoir. Encore une fois c'est de l'ironie bien sur ! Je sens que ces prochains jours vont être fantastique.

Fin du chapitre.

Mot de l'auteur : Toutes mes excuses pour les fautes mais j'ai vite tapé tout ça avant d'aller manger, je relirais surement plus tard !

J'espère que vous aurez apprécier la lecture :)


Le Génie {BoyxBoy}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant