Chronique de Neyla : On a souffert pour s'aimer...

6.

Je me stoppe direct et regarde la conversation.

Ibtissem : bah quoi ?

Moi : euh rien j'vais juste au toilette attends

Je part vite au toilettes et attends ces messages. J'en reçois plusieurs. J'avais troooooop peur. J'ouvre les messages.

Aymen : sah nan

Aymen : questu veux jte dis frrr ? J'ai aucun compte à te rendre

Aymen : t la tu te barre sans raison frR j'ai fait quoi ?

Aymen : attt zebi tmaime ?

Aymen : Starf' sale keh même pas jte cala

Aymen : va la bas

Aymen : t'était qu'une bouche trou

Aymen : j'voulais te ken

J'voulais mourir. Jsp je l'aimais pas forcément fort fort mais y'a eu de l'affection et recevoir ce type de message en sachant que je le considère énormément ça fait mal. J'vois qu'il ma bloqué de partout... j'essuie les larmes qui commencer à tomber sur mon visage je souffle et ressort des toilettes. Sa me soule psk je suis une personne qui s'attache énormément au gens Y'avait Sarah et Ibtissem qui était toutes bizarre.

Moi : quoi ?

Sarah : y'a Youssef il veut qu'on parle

( pour celles qui ne ce souviennent pas de lui c'est le bail à Sarah )

Moi : pourquoi ?

Sarah : je sais pas...

Ibtissem : imagine il va te parler d'une meuf un truc comme ça

Moi * le cœur qui ce serre * : mais nan...

Sarah : bah...allons y

On sort de la maison et on ce dirige vers le city de la ville. Y'avait des gens de mon lycée et quelques autres personnes. Au loin ne vois Alya et Neyla qui arrivent vers nous.

Moi : selem

Leyla : salut

Alya elle disait rien elle regardais juste mal.

Moi : ta quoi ?

Alya : ta gueule

Ibtissem : mais oh c'est pas gentil

Elle nous regarde mal et va s'asseoir sur un banc. On la regarde partir et on ce regardent toutes.

Ibtissem : eeeh ?

Moi : même moi je sais pas

Leyla : je sais pas elle a quoi

Moi : hmmm...

Sarah : EEEEH IL EST LA

On lève toutes la tête et on voit Youssef au loin avec un shab à lui. Il arriver vers nous.

Sarah : wili je dis quoi ? Je fait quoi ?

Moi : respire juste et voilà

Ibtissem : il est là

Youssef : selem bien ?

Nous : ouiiii.

Il nous tcheke lui et son shab et personne ne parle.