• Préface •

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Tout d'abord, bien le bonjour/bonsoir chers/chères lecteurs(trices). Je tiens à vous informer que cette histoire est en cours, et je n'ai pas forcément le temps de bien me relire correctement.
Si jamais vous trouvez des fautes d'orthographe, n'hésitez pas à me corriger, ça m'aiderais beaucoup !

N'oubliez pas de me donnez un avis et de votez!

Bonne lecture !

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Cette petite histoire commence le 3 mai 1892, dans une petite maison située en campagne isolée. Mathilde Lalonie, mère d'une famille constituée d'un père et d'un unique enfant de 5 ans, nommé Louis,part au travail comme à son habitude : elle est infirmière dans l'hôpital de la ville côtière. Elle embrasse son mari, Éric, avant de partir. Ce dernier, quitte la maison peu après l'arrivée de la nourrice de Louis, Suzanne. Cet enfant était d'un calme sans pareil, dont les activités préférés se limitait à dessiner sur la petite table du jardin, et faire du tricycle; celui ci était rouge, avec des petites flammes sur le guidon. Certes, il était usé, mais il avait une valeur sentimentale pour l'enfant; il appartenait à son grand père, décédé quelques jours après lui avoir offert.

On toque à la porte. Éric ouvre à la nourrice, prends ses clés et ne pris pas la peine d'expliquer les tâches du jour a Suzanne, maintenant 4 ans qu'elle s'occupait de cette petite famille ! Elle avait l'habitude ! Suzanne était une femme veuve de 52 ans, et durant 24 ans, elle fut marié à Arnold, un homme qui fut charmant. Malheureusement, le cancer pulmonaire dû aux pipes eu raison de lui. La perte de ce fabuleux mari affecta beaucoup Suzanne, mais aussi la famille Lalonie ; cet homme était très apprécié par tout le village, et surtout par Louis. Arnold passait quelques fois chez les Lalonie pour ramener quelques pâtisseries a Louis, et parfois il lui offrait même des sucreries ! Il en profitait pour ramener de fabuleux bouquets de fleurs à sa femme. Arnold était très respecté et apprécié par tout le village pour sa bonté et sa générosité. À son décès, beaucoup de personnes sont venues se recueillir et déposer des fleurs sur sa tombe, qui est toujours décorée de fleurs de toutes sortes ; Roses multicolores, pivoines, orchidées et bien d'autres. Louis pensait parfois à Arnold et posait des questions, mais dû à son jeune âge, il n'y prêtait pas vraiment attention : c'est normal, cela faisait maintenant 3 ans qu'il était décédé.

Louis couru vers Suzanne pour l'embrasser, puis il retourna faire du tricycle dans le jardin. La maison des Lalonie était très belle: celle-ci avait été dessinée par un ami d'enfance de Mathilde, qui était architecte. La magnifique maison était faite de pierres blanches, minutieusement taillées pour s'encastrer les unes dans les autres à la perfection. La maison était munie d'un patio couvert devant la maison, avec deux petites lanternes au dessus de la porte d'entrée. Un chemin de dalles de pierres grises reliaient la maison au portail, puis nous emmenait vers le jardin de derrière. Si l'on passait la porte qui menait à l'arrière de la maison, un grand jardin s'offrait à nous; une balançoire accrochée à une branche de sapin, et un bac à sable y était installé. Les Lalonie aimait beaucoup leur maison.

Un beau jour, lorsque le soleil brillait et illuminait toute la campagne, Louis s'en alla jouer dans le jardin. Il se munit de son cher tricycle et s'amusa à faire le tour de la balançoire, puis passer entre le bac à sable et le grillage, et recommençait sans se lasser de ce jeu.

Soudain,le petit garçon tourna la tête vers le champ de mais qui se trouvait derrière le jardin; le mais était très haut, et un bruit s'en dégageait. Louis, inquiet, s'en alla chercher Suzanne qui faisait la vaisselle dans la cuisine. Cette dernière lui expliqua calmement que c'était certainement un lapin, un lièvre ou encore un oiseau. L'enfant, rassuré, retourna à son tricycle. À peine fut il sur son tricycle que les bruissements recommencèrent de plus belle. Bientôt, les bruits de feuillages furent accompagnés de petits pas furtifs. Louis s'approcha lentement du champ, espérant trouver un petit lapin. Les bruits se rapprochait. Puis, plus aucun bruit ne retentit, tandis que l'enfant avançait vers le mais. Arrivé juste devant le champs, il hésita à regarder entre les tiges. Louis, qui ne trouva pas le courage de regarder, se retourna, et s'apprêta à repartir lorsque qu'il fut emporter dans le champ.

Un peu plus tard, Suzanne interpella l'enfant pour manger, mais celui-ci ne répondit pas. Après plusieurs longues minutes, Suzanne commençait à s'inquiéter : Pourquoi ne venait-il pas? Peut-être était-il parti ? Soudain une voix d'enfant se fit entendre:

« Je suis caché ! Viens me trouver haha! »

Suzanne, réalisant qu'elle s'était inquiétée pour des sottises, se mit à le chercher dans toute la maison en entrant dans son jeu. Elle commença par la cuisine, puis le salon et fit de même dans toute la maison jusqu'à ce qui ne reste plus que la chambre de Louis inexplorée. La nourrice ouvrit la porte et avança ; l'enfant n'était ni derrière les rideaux, ni sous le lit ou dessous la couverture. Elle détourna alors son regard vers l'armoire au fond de la chambre, puis avança. Arrivée devant la porte, elle s'exclama, victorieuse :

« Je t'ai trouvé Louis ! »

Elle enclencha la poignée, ouvrit la porte, et poussa un cri déchirant...

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Bonjour chers lecteurs et chères lectrices !

J'espère que cette petite introduction de mon premier livre vous a plu !

Des questions vous ont-elles parvenues?
Qu'est il arrivé au petit Louis?
Vous le saurez, mais il faudra patienter !

En attendant, je vous propose de lire la suite !

A bientôt !!

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