L'eveil

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Il n'existe que deux type de femmes dans ce monde. Celles qui sont des membres productifs pour la société, et celles qui ne sont nées que pour être de vulgaires sac à foutres déstinés à être utilisés sans limite. Et même si le monde essayait de lui dire le contraire, elle de devenir ce vulgaire objet toi même.

Tout à commencé par simple curiosité, en tendant l'oreille. Lea était friande des histoires sulfureuses qui couraient les couloirs de son université. Épiant du coin de l'oeil ce fameux groupe de filles habillées comme de vulgaire traînées, constamment démaquillées par leur utilisation anormale des toilettes des hommes. Elle y avais même passé un après midi, apercevant l'une d'elles se faire prendre vigoureusement par deux élèves entre les urinoirs. Cette scènes inconnues jusqu'alors, la vue des sextoys de toutes sortes qui jonchaient le carrelage souillé et ces bruits de plaisir assourdissaient son cerveau qui ne pouvait plus contôler sa mouille coulant encore, parfois pendant les heures suivantes.

Un jour, alors qu'elle avait profité de ramasser discrètement un gode du sol, elle avait entendu parler des « sextapes » qui tournaient dans l'université. Elles devinrent vite le contenu idéal pour se toucher le soir grâce aux jouets que Lea reconnaissait, employés dans ces vidéos remplis de visages familiers. Après quelques semaines, avais même commencé à voler directement dans les sacs des élèves avant de rentrer précipitamment dans son petit studio en ville, variant le choix de gadgets pour libérer tes orgasmes gourmands de réalisme dès qu'elle n'avait plus cours.


C'était un de ces soirs, chargée d'un sac remplis de nouveau jouets, que Lea l'avait croisé. La Brute, un grand et bel homme, la peau basanée et le regard remplis d'une perversité sombre. Il n'avait pas bougé alors qu'elle lui était rentré dedans, la tête pleine de ce qu'elle allait regarder ce soir là. Le son sourd de son front tapant conte la poitrine large de la brute la fit sursauter, lâchant ce qu'elle tenais dans les mains. Les avait alors balbutié des excuses ridicules quand le regard de l'homme s'était baisser pour constater le gode rotatif tombé derrière elle. Tout ce vent sans succès car, malgré ses explications confuses, la brute avait parfaitement compris le but de tous ces objets qui roulaient maintenant sur le sol échappant au mains maladroites de la jeune étudiante qui tentais de les ramasser.

Ainsi, comme cela devait arriver, Les était entrée dans l'appartement de ce voisin colossal, pour qu'il « l'assiste » dans l'essai des nouvelles acquisitions de la jeune femme.

Elle avait fini la soirée remplie de boules de geisha et hurlant de plaisir, la bouche pleine de la queue veineuse, jouissant sur les vibros lancés à pleine vitesse.  Depuis ce jour, Lea viens régulièrement toquer à sa porte lui assurant que c'est « que pour essayer un truc». Pour finir quelques minutes plus tard étouffée par mon tronc palpitant, des larmes de joies coulant sur ses joues et déchirant presque ses vêtements pour donner accès à sa petite chatte dégoulinante d'impatience pour sa Brute.

Tous les soirs il la défonce jusqu'à ce qu'elle rentre en boitant dans son petit studio qui tombe peu à peu en ruine, tant elle préfère passer son temps à découvrir les nouvelles manières de te faire pervertir par cet animal sans pitié.
A partir de ce là ils ont tout fait ensemble. Depuis les marathons du cul sur les toits des immeubles du cartier, jusqu'au balades dans les parcs de la ville en pleine nuit, où il la promenais nue au bout de sa laisse.

La jeune étudiante a même insisté pour qu'il visite son université. Le faisant entrer aux heures de cours pour remplir ses trou, allant jusqu'à la forcer à bouffer la chatte d'une petite chienne fraîchement démontée par un groupe d'étudiants heureux d'être enfin déviergés dans ces toilettes légendaires.

Lea est finalement arrivée à la fin de son processus de dressage, transformée par ses nouveaux kilos voluptueusement répartis, et l'esprit libéré de toute pudeur et timidité. Remplissant cette lingerie noire et trépignante d'excitation en attendant que sa brute appuie sur le bouton d'enregistrement de sa camera. Elle saute directement sur sa queue, salivant en la gobant au plus loin que sa gorge désormais entraînée le lui permet. L'odeur des lourdes boules de ce monstre qui l'avait d'abord dégoutée est maintenant profondément ancrée dans son cerveau qui déclenche des torrents de cyprine dès qu'elle la perçois.

Les murs sans isolation du bâtiments transportent les cris de chaleur de la jeune étudiante et nourissent les chuchottements des voisins choqué par cette intensité, pourtant secrètement terriblement jaloux.

Une fois vidé, la brute traverse la chambre au sol recouvert de jouets, accessoires et fouets de tout genre pour mettre son peignoir. Épuisée, elle traîne sur le sol, térassée par des convulsions d'orgasmes qui continuent de la secouer. Le jus fertile et épais de sa brute coule de ses trous béants désormais incapable de le retenir. Posant un genoux à terre, il tire sur ses cheveux pour cadrer son visage qui résume l'euphorie profonde dans laquelle elle est plongée. Elle prononce alors la phrase qu'ai sait désormais par cœur:

"J'AIME LA QUEUE DE MA BRUTE ANIMALE. IL EST LE SEUL
QUE JE VEUX AIMER ET SERVIR A
VIE. SI VOUS REGARDEZ CETTE
VIDEO, EMBRASSEZ VOTRE VRAI
NATURE ET FAISONS DE CE MONDE, UN MONDE MEILLEUR.

FIN

Bien dressée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant