Laura

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Nous étions maintenant en septembre, mon ventre était très apparent et mes symptômes aussi! Je vomissait a tous les matins et des fois plus durant la journée. Les odeurs et la nourriture m'affectais beaucoup a ce niveau là. J'étais a mon sixième mois maintenant Ben et moi avions visiter quelques maisons et nous avions enfin trouvé notre maison de rêve! C'était a la sortie de la ville vers chez la grand-mère de Ben, un jolie maison de deux étages avec trois chambres a coucher et le sous-sol a rénover, on pourrait facilement y faire deux pièces de plus avec les rénovations. Nous avions été acceptés pour un prêt immobilier assez facilement et avons eu la maison facilement aussi car les autres acheteurs n'étaient pas aussi sérieux que nous.

Se soir j'étais seule dans l'appartement car Ben travaillais, de mon côté je ne travaillais plus, mon médecin m'avait fait arrêter plus tôt du a la grosseur de mon ventre et de mes énormes douleurs au dos. J'avais évidemment de l'argent du gouvernement du a mon arrêt forcé. Ben travaillais plus fort pour qu'on ait assez pour tout ce qui nous manquait pour les bébés. J'avais aussi presque doublé la grosseur de mes seins. Au lieux de porter du 34 comme d'habitude je portais désormais du 38 des fois 40. Ben ne s'en plaignait pas mais moi c'était plus dur a porter. Plus aucun de mes vêtements ne m'allait donc il m'arrivait régulièrement de mettre des chandails a Ben et aussi de porter des pantalons jogging 24/7.

J'étais sur le sofa quand j'ai entendu cogné a la porte extérieure. Je me suis donc levé pour aller ouvrir et vit avec effroi Jason Vaillancourt devant moi. Le policier qui avait tenté de me violé l'an dernier. Il était avec 3 hommes que je ne connaissais pas. J'étais trop terrifié pour faire quoique ce soit et il me poussa donc je tombai par terre.

- Comme on se retrouve Laura. James Arnaud avait raison tu est seule et très enceinte. Ça va donc être facile. me dit Jason en souriant machiavéliquement.

Il fit signe aux autres et ils commençaient a me rouer de coups. J'eu le temps de me tourner sur le ventre pour ne pas qu'ils ne fassent de mal a mes enfants. Je recevais des coups si violents que je sentais mes os du visage et mes bras craquer. Alors que je perdais conscience ils ont cessé et Jason me pris par les cheveux pour me forcer a le regarder. Mon visage en sang le convaincu que c'était suffisant. Et ils partirent alors que je perdit conscience.

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Je repris conscience dans un lit d'hôpital, la lumière du plafond m'aveuglait. Je commençai a regarder autour de moi et vis immédiatement Ben a mon chevet, il me tenais la main. Il appuya sur le bouton de la corde d'urgence. Il avait les yeux rougis.

- Enfin tu es réveillé ma princesse. J'ai eu si peur quand je t'ai trouvé. Qu'est-ce qui s'est passé? me demanda-t-il inquiet.

J'allais parler mais un infirmier entra dans la salle avec deux agents de police. Une femme et un homme. 

- Madame Bégin, bonsoir. Je me prénomme Mohamed, je vais être votre infirmier cette nuit. Ces deux agents aimeraient vous poser quelques questions concernant votre incident, mais avant je veux savoir si vous avez mal a quelque part. Vous vous sentez bien? Me demanda l'infirmier a la peau basané.

- J'ai vécu pire, j'ai un peu mal au dos mais ça doit être dû a ma grossesse. Est-ce que j'ai été inconsciente longtemps?  dis-je la voix pâteuse.

- Une heure ma chère, c'est seulement du a votre douleur et votre peur durant votre attaque. Vous n'avez rien de grave et le médecin va venir vous voir bientôt avec les résultats de l'échographie pour savoir si vos bébés sont corrects. S'il y a quoique ce soit appuyer sur la sonnette et je vais venir vous voir. me dit l'infirmier avec un beau sourire rassurant.

Puis il sorti et les deux policiers s'approchèrent de mon lit.

- Bonsoir madame Bégin. Je suis l'agente Moreaux et voici mon collègue l'agent Gérard. Nous voulons prendre votre déposition sur ce qui vous est arrivé. Prenez votre temps et si vous ne vous souvenez pas de tout ce n'est pas grave.

- Bonsoir a vous deux. Alors j'étais chez moi tranquille et ça a cogné a la porte. L'officier Jason Vaillancourt était devant ma porte avec trois hommes que je n'avais jamais vus. Jason avait déjà été mon propriétaire et j'avais eu quelques petits problèmes avec lui dans le passé du a son tempérament colérique. Il avait tenté de me violé par le passé. Puis il m'a dit qu'un homme l'avais informé que j'étais seule et où j'habite présentement avec mon conjoint. Puis ils ont commencé a me tabasser. Après qu'ils eurent terminé alors que je perdais conscience ils sont partis, puis je ne me souviens plus de rien jusqu'à il y a quelques minutes quand je me suis réveillée.

Le policier prenait des notes alors que la policière m'écoutait attentivement. Elle hocha la tête et puis me dit que si je savais qui était cet homme de les avertir immédiatement. Elle me donna un numéro où appeler pour la joindre puis ils sont partis.

Ben était hors de lui en silence a coté de moi. Il flattait ma main de son pouce.

- Je sais qui a donné au policier les informations. dis-je en fixant nos mains.

Ben resta silencieux, s'il parlait il allait exploser de rage, je le savais.

- Ben promets moi de ne rien faire de stupide, les policiers ont ma déposition et vont arrêter les coupables... Mais pas celui qui leur a dit... Ben, c'était ton père.

Il releva les yeux vers moi et J-M entra a ce moment là avec trois cafés.

- Oh. C'est pas un bon moment pour que j'arrive. nous dit J-M surpris.

- J-M c'est le policier qui m'a fait ça... Et c'est James qui leur a dit où j'étais se soir. Jason me l'a dit. avouais-je en regardant ce dernier.

Ben se leva d'un bon et sans rien dire il sorti de la chambre.

J'espérais sincèrement qu'il ne ferait rien de stupide.

This life ||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant