Chapitre 5

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"Le doute détruit beaucoup plus de rêves que l'échec."


Maison des Strecker, 4 Décembre 2020

         13h30


13h30. Il me reste donc 30 min pour me préparer. Minho est repartie dans son bureau après le repas. Je monte donc dans la chambre afin de me préparer. Je mets donc un pantalon cargo beige accompagné d'un crop top blanc. J'aperçois alors mon reflet dans le miroir. Et si on maquillait un peu ce visage. Après mon moment à moi, je descends mettre des baskets blanche et attends Rubis dans le salon. 

"TOC TOC"

Je vois Rubis dans l'encadrement de la porte, un sourire plaqué sur le visage. 

- Hey, me voilà ! Prête ?

- Je crois. Je lui souris en retour. Je dois faire des efforts, espérons que ça se passe bien.

- Allez promis on va s'amuser ! Je sens ton inquiétude d'ici.

Elle me prends par le bras et me conduis à la voiture. Rubis prends le volant et nous commençons notre trajet. 

Ce n'est qu'après une trentaine de minutes que j'aperçois un centre commerciale. Let's go !


PDV Minho:


Alice est partie avec Rubis pour passer l'après-midi dehors. Je suis content, j'espère que ça l'aidera à se sentir mieux au sein de la meute. 

Je vais en profiter pour essayer de tirer plus d'information sur ce buveur de sang. Je contacte donc Aeden via le lien de la meute.

- Aeden ? 

- Oui Minho ?

- Rejoins moi à la cabane.

- Tu veux interroger notre invité préféré ?

- Il le faut.

- Ce ne serait pas aussi un désire de vengeance ?

- Je me fiche de ce que tu pense, ce n'est qu'un buveur de sang, il ne mérite aucune pitié.

- Comme tu voudras.

Je coupe le lien et retrouve Aeden devant la cabane. Je retrouve le vampire à l'intérieur, ces blessures commence déjà à guérir. 

- Je te manque déjà ?

- Tu n'es pas vraiment en position de force, alors je te conseille de ne pas trop faire le malin avec moi.

- Ouh, ce n'est pas un jeune toutou comme toi qui va m'effrayer. Et puis soyons franc, si tu avais voulu me tuer on ne serait pas entrain de parler en ce moment même. 

Je m'avance et attrape sa mâchoire.

- Tu crois que tu peux toucher à ce qui m'appartient comme bon te semble ? C'est uniquement grâce à  sa clémence que tu es encore en vie. Si ça ne tenait qu'à moi, tu serais déjà six pieds sous terre. 

Je sens la main de mon béta sur mon épaule comme pour me calmer. Je prends une profonde respiration et me redresse.

- Je veux savoir ton nom, d'où tu viens et pourquoi tu es là.

- Ahah, écoute, ça marche peut-être avec tes chiens de compagnies, mais pas avec moi.

Un sourire provocateur se dessine sur son visage. Je vais le tuer. 

Un pouvoir convoitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant