« Pardonne moi
Pardonne moi de n'avoir pas su
Préserver la chance d'être deux
Amoureux en quête de l'absolu
 que mon coeur est douloureux
Au loin de toi vit ma souffrance
Fidèle fardeau lié à nos vœux
Je suis porteur de cette a...
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J'ouvrais les yeux doucement sentant les mains de Ambre sur mon corps. Je la déplaçais, me retirant de son emprise. Je l'avais appelé hier après avoir été avec Inaya. Il fallait que je passe mon envie de sexe sur quelqu'un. Je me levais nue, me dirigeant vers la douche. L'eau coulait le long de ma nuque, me laissant une sensation d'apaisement. Je sentais des mains et une tête se poser sur mon épaule.
- Salut, babe, dis la voix insupportable de Ambre.
- Combien de fois ai-je dit d'arrêter de m'appeler babe, enlevant ses mains.
Je voyais ses yeux me regarder tristement. Elle savait pourtant que nous deux s'étaient que de la baise. Nous nous côtoyons à cause de la nouvelle femme qui servait de copine pour mon cher père. Une copine assez croqueuse de diamant à vrai dire.
- Pourquoi tu ne me laisses pas une chance ? Dit-elle en colère.
- Tu es trop simple, tu ne me donnes aucun challenge, dis-je en sortant de la douche à l'italienne. Le premier soir en même pas 2 mots, j'ai réussi à t'avoir dans mon lit. Et te faire tomber amoureuse au point d'être à ma disposition en 1 semaine, dis-je de façon arrogante.
Je me brossais, rasais simplement en attendant sa réaction. Elle sortit de la douche puis se mit en face de moi, le visage noyé par les larmes.
- Je ne suis pas ta pute Case ! Dit-elle durement.
- L'ai-je dit ou le penses-tu, lui chuchotais-je de façon moqueuse dans l'oreille.
Elle prit son élan et était sur le point de me gifler avant que je lui bloque le poignet.
- Ne me pousse pas à bout Ambre, lui dis-je sur un ton menaçant.
Je libère son poignet, retournant vers la chambre. Je me vêtis d'une chemise noire, un pantalon en lin noir et une montre de luxe. Je laissais un parfum assez fort sur mon cou et sorti sans prêter attention. Il fallait que je part voir Shawn pour régler quelques affaires. Je pris la direction de mon bureau quand j'aperçus la chambre de Inaya ouverte. Était-elle réveillée ? Pourquoi je voulais la voir ? Je me posais toutes ses questions quand je poussais la porte de sa chambre. À peine entrer, je l'entendais criée.
- ON T'A JAMAIS APPRIS À TOQUER CONNARD ! Cria-elle embarrassée.
Je ne répondais rien, analysant chaque recoin de son corps. Son corps était parfait, ses vergetures étaient comme des dessins sur sa peau ébène. Elle avait des hanches, fesses et une poitrine incroyable. Je sortais de mon analyse en ne laissant rien paraître.
- T'entends pas où quoi ! Répétait-elle de nouveau.
Je finis par rencontrer enfin ses iris, mes sourcils s'étaient rapidement froncés.
