𝖀𝖓 é𝖙é 𝖎𝖓𝖔𝖚𝖇𝖑𝖎𝖆𝖇𝖑𝖊, 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖈𝖔𝖒𝖒𝖊 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖑𝖊𝖘 𝖕𝖊𝖗𝖘𝖔𝖓𝖓𝖆𝖌𝖊𝖘
La Provence un véritable paradis. Tout annoncé un été parfait au soleil, à la plage, dans les petits restaurants. Tout était préparé pour que je p...
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-Inès ! Je sursaute au cri de rage de mon frère et fait un trait de travers en écrivant le "e" de « Provence » dans mon carnet. Avant que je ne puisse prendre conscience que j'avais un frère à bout de nerf à coter de moi.
-Pourquoi tu cries comme ça ? Demandais-je en me tournant vers lui et pouvant ainsi observer chaque parti de son visage. Ses sourcils noirs sont épais et brun à l'inverse de ses cheveux qui ont, il y a quelques mois changer de couleur pour devenir blond sur les « recommandation » de sa copine. Je ne l'ai jamais trop apprécié, mais encor plus depuis qu'elle a forcé Bryan à perdre ses beaux cheveux brun d'autrefois. Il a de fine lèvres et un nez imposant. Ses yeux comparé aux miens sont marrons.
-Lâche-moi ce putain de carnet merde ! J'écarte les yeux surprise par son reproche, moi qui penser que c'était quelque chose de grave ou d'important ! Il me reproche d'écrire ?
-Tu me reproches quoi là ? Demandais-je d'un ton las et légèrement irrité.
-Vire ton satané carnet ! Je soupire et me reconcentre sur mon écriture, essayant de rattraper le trait de travers. Mais avant que je ne puisse faire quoique ce soit, mon stylo se retrouve arraché de ma main, m'arrachant un « hé » au passage.
-Rend le moi ! Maman !, criai-je depuis le siège arrière.
-Laisse maman en dehors de ça tu veux !
- Alors rend moi mon stylo !
-Pourquoi faire ? Dit-il avec son air provocant, ma parole, il cherche déjà à me rendre dingue alors que nous sommes à mi-chemin de notre maison de vacances.
-Bryan... Commençais-je les dents serrées, garde ton calme Inès, ne t'énerve pas maintenant alors que les vacances n'ont pas débuté.
-On se calme les enfants. Intervint mon père à l'avant de la voiture derrière le volant.
-Voyons chérie, laisse les se chamaillaient, ils sont toujours comme ça et puis ils animent un peu la voiture ! S'esclaffa ma mère toujours de bonne humeur.
-Tu as raison, mais ne vous entretuez pas hein ! S'esclaffa-t-il a son tour. Un peu énerver de ne pas avoir le soutien de mes parents, je prends un autre stylo dans ma trousse, ignorant ainsi mon frère. Et dès qu'il me le pique à nouveau, j'en prends un autre et ainsi de suite jusqu'à qui ne m'en reste plus et dans ce cas, je range mon carnet et me concentre sur la route sans m'énerver.
Je contemple le paysage tandis que mon exécrable grand frère ne cesse de tirer sur des mèches de mes cheveux. Pourquoi est-il si chiant aujourd'hui ?
-Tu ne veux pas jouer avec le chien aux lieux de m'embêter ? Dis-je en soufflant d'agacement, le voyage s'annonce long, très long.
Hoku aboie, comme pour adhérer à mes propos. Mais malheureusement pour lui, Bryan ne le prête pas la moindre attention et continue de plus belle.
Après de longues minutes, il arrête enfin et je peux enfin me consacrer à la vue que m'offre le paysage incroyable de la Provence. J'ai hâte, d'y êtres ! La maison, l'air frais, le sable, les marchés ! Que rêver de mieux !
