Ville désuète

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❝ Halo oppressantqui m'étouffe,et me pousse,m'enserre,et me presse,vers son humain carcan

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Halo oppressant
qui m'étouffe,
et me pousse,
m'enserre,
et me presse,
vers son humain carcan.

Foule de Piaf,
signe de l'épitaphe,
d'une ville autrefois,
calme sous ses toits
Ou mon âme esseulée,
ne peut se réfugier,
que dans les eaux crevassées,
D'une Seine déguenillée.

Cette locomotion bruyante; le métro,
Voit sans cesse êtres murmurer sous ses longues jambes de fers
le même refrain: métro, boulot, dodo...

Et l'on se tue, et l'on s'affaire,
Pour se défaire de cette routine sempiternelle,
qui laisse à ses soupirants le privilège d'une monotonie criminelle.

Ici, on ne vit pas,
on suit les exigences laconique,
d'une routine despote.

Ville lumière,
ou ellipse d'une époque charnière,
Amas confus de Scarron,
Tu vois sans cesse bafoué ton nom.

Mais n'est ce pas là une vérité proclamée,
qui voit en Paris, l'obscurité
d'une cité florissante désormais destituée.


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𝐴 𝐹𝐿𝐸𝑈𝑅 𝐷𝐸 𝑀𝑂𝑇𝑆Où les histoires vivent. Découvrez maintenant