Chapitre 32

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/!\ WARNING /!\ , ce chapitre contient un scène hard, un peu (beaucoup) dégueulasse. Âmes sensibles, prenez une bassine à côté de vous. Simple mesure de précaution, ahah. Love <3


« Claire, ouvre les yeux. Je veux que tu me regardes. »

Douleur.

« Claire. »

Mortifiée.

C'était mauvais.

C'était extrêmement mauvais.

Je pouvais sentir la bile qui remontait dans ma bouche, la douleur me faisait grimacer et mes doigts se tordaient et tremblaient. Mes joues étaient rouges à cause de mes larmes sèches, et mes yeux étaient à présent totalement déshydratés, comme si je n'avais plus de larmes pour pleurer.

« Putain de merde, » Grogna Nathan en plongeant ses doigts dans mes cheveux, mon crâne me brûlait, et mes yeux s'ouvrirent en tant que réaction, et je me levais les yeux pour les plonger dans ceux, bleus, de Nathan, dont le visage s'illumina d'un sourire mesquin. « Bonne fille, mais si je te dis quelque chose, je veux que tu le fasses sans que je n'ai à te forcer. » Ses doigts se serrèrent autour d'une poignée de ma chevelure, ce qui me causa encore plus de douleur, et ma bouche s'ouvrit pour laisser un silencieux cri s'échapper, mes mains tentèrent de retirer les siennes dans l'espoir de diminuer le mal que je ressentais, cependant, sa prise était ferme et ses yeux brillèrent d'amusement à la vu de la douleur qui pouvait se lire dans les traits de mon visage. « Je veux une réponse, Claire. »

Je savais que si je parlais, j'allais bégayer. Je commencerai à le prier, lui dire d'arrêter. Et je savais qu'il ne le ferait pas, peu importe combien je pourrai pleurnicher.

Il aimait juste me voir souffrir.

« A ce que je vois, Harry ne t'a pas bien éduquée. » Déclara Nathan en fronçant les sourcils, secouant la tête. « Perrie, prend la taille au-dessus. »

« N-Non, » dis-je, ma voix tremblait et était grave.

Je tendis le cou pour regarder vers le bas pour voir mes jambes écartées. Mon estomac était en chute libre lorsque je vis la blonde retirer le gode de ma féminité. Je haletais maintenant, et je me serais probablement laisser écrouler sur le sol si Nathan ne tenait pas mes deux poignets, me tenant en place.

Le visage de Perrie était vidé de toute émotion, tout comme hier, et elle prit en main l'autre gode qui était beaucoup plus large que le précédant, et je pouvais sentir mon corps tout entier se figer dans l'horreur à la vue horrible de sa taille intimidante. Mais je n'eus pas le temps de dire quoi que ce soit avant qu'elle ne presse l'objet en plastique contre mes plis intimes, mes genoux commencèrent à trembler violemment lorsqu'elle poussa l'objet en moi, le forçant à étirer mes parois vaginales, qui avaient du mal à s'habituer à sa taille massive.

« Et qu'est-ce que je t'ai dit à toi, putain ? » Cracha-t-il à Eleanor. Je ne pouvais pas regarder par-dessus mon épaule parce que mes yeux étaient hermétiquement fermés, et Nathan libéra mes poignets, qui tombèrent mollement sur mes côtés alors que Perrie continuait à pousser le sextoy en moi. Elle eu la courtoisie de le déplacer lentement, donnant à mon corps le temps de s'adapter, mais ça me faisait un mal de chien. J'avais l'impression que mes entrailles étaient en feu.

J'entendis un gifle suivie par le cri de douleur d'Eleanor, et ma tête fouetta instinctivement l'air pour la voir sur le sol, la main sur sa joue alors que Nathan était debout devant elle.

« Je t'ai dit de te déshabiller, » Hurla Nathan, sa voix faisait écho dans la pièce vide. « Alors dit moi ce que tu faisais. Me désobéir, huh ? »

« S-S'il vous plaît, »

Je ne pouvais pas pas regarder le visage de Perrie alors qu'elle commençait à faire des vas et viens à l'intérieur de moi, non, ça me rendait malade, c'était dégueulasse, horrifique. Je ne serais probablement plus capable de la regarder de la même manière désormais.

Je ne savais même pas combien de temps était passé, tous ce que je savais était que ces heures, ces minutes ou jours - peu importe, étaient les pires que je n'avais jamais vécu. J'avais toujours pensé qu'Harry était tordu et instable, mais non, Nathan était tellement pire. Il venait de le prouver.

« S'il vous plaît ! Non ! » La voix perçante d'Eleanor résonnait dans l'air, sa voix était rauque à cause de ses pleurs, elle aussi. Et je savais qu'elle était dans la même situation que moi quand vient le moment ou on est incapable de pleurer.

« Ta gueule ! » Siffla Nathan.

« Je suis enceinte ! »

La nouvelle fit arrêter tout mouvement à Perrie, et ma bouche tomba dû au choc tandis que je me tournais pour regarder Eleanor, qui regardait le sol, ses cheveux tombaient en vagues sur son visage, le cachant de quiconque.

« Je suis enceinte. » Elle répéta doucement, ses mains se posèrent inconsciemment sur son petit ventre.

Quand est-ce que c'était arrivé ? Est-ce qu'elle mentait - disant ça pour que Nathan ne la touche plus ?

« Laisse-la tranquille, » je me força à finalement parler. « Tu l'as entendu ? Elle est enceinte. »

Nathan était penché et je savais qu'il la regardait, son dos nous faisant face. C'était un moment étrange, ses yeux étaient finalement hors de moi, et je regardais finalement son dos. Il ne pouvait pas voir ce que je faisais.

Mon instinct me donna un coup de pied à ce moment précis. Perrie attrapa mon regard et secoua la tête, mimant « non » mais je l'ignorais, mes yeux parcoururent les alentours, à la recherche de quelque chose qui pouvait me servir.

Et c'est là que je vis le couteau, posé sur la table.

« Tu es enceinte ? » Demanda doucement Nathan.

« O-Oui. »

Perrie tentait de me dissuader, secouant la tête plus vite avec maintenant plus de désespoir, mais je l'ignorais une nouvelle fois et me traînais jusqu'au couteau, mes doigts s'enroulèrent autour de l'objet métallique, pour une fois, j'étais confortable avec, et je le serrais fort entre mes mains, ma mâchoire se contracta dans un mélange de peur et de colère, mes yeux tombèrent sur Nathan, que ne me regardait toujours pas.

« J'ai eu une femme, une fois, » Dit Nathan alors que je prenais de grandes respirations. « J'avais une magnifique femme, nous nous sommes mariés à la fin des études. Elle était l'une des plus belles femmes que je n'avais jamais vu, et je ne pouvais pas comprendre pourquoi elle avait accepter de se marier avec moi. Je travaillais en tant que caissier dans une épicerie, et ma femme a commencé à s'engueuler avec moi quand elle est tombée enceinte parce que, allez, nous savons tous que travailler dans une épicerie n'était pas assez bien payé pour un enfant. »

Je serrais le couteau entre mes doigts alors que je me relevais péniblement, mais l'adrénaline qui brûlait mes veines m'aidait amplement. Perrie ne me regardait même plus maintenant, elle regardait ses genoux, mordant durement sa lèvre inférieure.

« Je ne la rendait pas heureuse. Elle avait besoin d'un mari qui pouvait être à la hauteur. » Murmura Nathan. « J'ai essayé de mon mieux d'être d'une bonne aide, j'ai vraiment essayé. J'étais si désespéré d'obtenir un job qui payait bien que j'ai essayé de me joindre à un gang. Je voulais joindre One Direction parce qu'ils étaient les plus puissants, mais dès que j'ai essayé, Harry m'a instantanément rejeté. »

Je m'approchais silencieusement de lui, mes yeux ne lâchaient pas son dos. Maintenant, je ressentais tellement de dégoût pour lui qu'il m'était impossible de penser clairement. Je n'avais jamais ressenti une telle chose pour quelqu'un auparavant - jamais.

« Elle m'a laissé. Dès qu'elle a entendu que je voulais rejoindre un gang, elle a fait ses valises et elle m'a laissé sans même essayer de comprendre. » La voix de Nathan sonnait terriblement triste, et si j'avais été dans un état d'esprit acceptable, j'aurai certainement eu de la pitié pour lui.

« Elle t'a laissé, » dis-je soudainement, atteignant son épaule pour laisser l'extrémité de la lame toucher la peau de son cou, « parce que t'es un putain de malade mental. »

Et avec ça, j'appuyai sur la lame, ajoutant le plus de pression que je pouvais. Nathan s'éloigna de moi en toussant violemment. Cependant, je fus instantanément recouverte du sang qui jaillissait de son cou, colorant mes mains et mes avant-bras, et je le regardais, le sang crachant de sa gorge, trempant ses vêtements. Je me sentais comme dans un film d'horreur, je pouvais voir le trou dans son cou du au couteau, et je pouvais voir la douleur clignoter dans ses yeux, l'aveuglant.

Oh mon Dieu.

Je lâchais le couteau, le laissant frapper le sol, et Nathan crachait du sang et toussait, ses mains tremblaient en tentant de couvrir le trou. Le sang giclait de partout, et son corps tomba à la renverse tandis que des spasmes prirent possession de son corps.

Il crachait en vomissait son propre sang, et la liquide rouge coulait sur son visage, et quelques secondes plus tard, son corps se calma, il cessa de trembler et sa poitrine relâcha tout l'air que ses poumons retenait.

Il était mort.

Je l'avais tué.

« Oh putain de merde, » Perrie fut la première à parler, ses yeux sur moi, ses lèvres se courbèrent dans un sourire frénétique, choquée. « Claire ! Tu l'as fait ! »

Je ne pouvais presque pas l'entendre, mes yeux fixaient son corps dans vie, à l'affût du moindre mouvement qui prouverait qu'il revient à la vie.

Et c'est là que j'ai commencé à hurler.

Je pris conscience de ce que je venais de faire, et je hurlais à m'en arracher les poumons, observant le sang sur mes mains, réalisant que j'étais couverte de son sang.

Réalisant que je venais de tuer un humain - avec un couteau.

Mes genoux devinrent soudainement faibles, et tombais au sol en continuant de crier, mes cris faisait écho dans mon esprit, et j'étais sûre que quelqu'un allait m'entendre, et que les hommes de Nathan allaient débouler et nous tuer pour avoir tuer leur leader.

« Claire, » Eleanor était à genoux en face de moi, elle pleurait, même si un léger sourire se soulagement était présent sur ses lèvres, elle me prit dans ses bras. J'étais complètement nue mais je ne le sentais pas, peut-être parce que ma peau était recouverte d'une couche de sang qui commençait déjà à coaguler.

Un fort et étrange bruit se fit entendre derrière nous, la porte s'ouvrit et claqua, et je sus que c'était la fin. On allait mourir. Mais je m'en foutais, je reniflais hystériquement contre la poitrine d'Eleanor, mais elle se retira, et son corps disparu.

Et tout à coup :

« Louis ! » Elle cria, visiblement heureuse, et elle me laissa sur le sol. J'étais noyée dans mes larmes, mon cerveau tentait de se remémorer ce qu'il venait d'arriver, jusqu'à ce que je le vois.

« Claire, » Il murmura, et je fermai les yeux et me poussai dans ses bras. Je me sentais tellement mieux dans ses bas, alors qu'ils me tenaient, me pressant contre son corps ferme, et pendant un moment, j'ai pensé que c'était sûrement le paradis. Que peut-être que les hommes nous auraient tuées si rapidement qu'on n'aurait senti aucune douleur. Et j'aurai accepter cette mort, excepter pour le fait qu'Harry avait ses bras autour de moi, et que je pouvais entendre son cœur battre contre mon oreille pressée contre sa poitrine.

Il était là.

Il était venu.

Il nous avait trouvées.

« Tu es venu pour moi, » dis-je finalement, mes mains agrippaient son t-shirt, le serrant entre mes doigts.

« Bien-sûr que je l'ai fait. » Il répondit d'une voix rauque, me redressant de manière à ce que je sois assise sur ses genoux. Je me blottis tel un bébé, non, s'il pensait qu'il allait me laisser partir une fois de plus, il avait terriblement tord.

« Je pensais que j'étais morte, Harry, je pensais que j'étais morte. »

Harry s'éloigna, mais il me força à le regarder dans les yeux. Et ses yeux prirent un air horrifié quand il vit le sang qui me recouvrait, et ses yeux devinrent noirs quand il me vit nue.

« Putain, qu'est-ce qu'il s'est passé ? »

« Claire l'a tué. » Perrie parla. « C'est ce qu'il s'est passé. »

Sa mâchoire me contracta quand il entendit l'information, et il marmonna, « Ça explique le sang. »
Mais il enroula ses bras une nouvelle fois autour de moi, comme s'il essayait de cacher mon corps nu des yeux des autres. Je pouvais entendre les gens murmurer des choses derrière nous maintenant, mélangé aux spasmes d'Eleanor, mais je m'en foutais.

« Là, » Harry se retira après un moment, passant son t-shirt par-dessus sa tête, « enfile-le. » Sa voix était rude maintenant, et j'avais l'impression qu'il tentait de se contrôler. Je tremblais, et mon dieu, je pouvais goûter le sang sur mes lèvres, et ce n'était même pas mon sang.

« J-je devais le tuer, » je commençai à dire rapidement. « I-Il essayait de- »

« Ne me dis pas ce qu'il essayait de faire. » Me coupa brusquement Harry, passant son haut sur ma tête. Je me sentais en sécurité blottie contre son torse. Et il murmura, « Je pense que je sais ce qu'il essayait de faire. »

Je sentis Harry se déplacer et je me remis à pleurer, mon dieu je me sentais pathétique, mais mon corps se sentait comme hors de contrôle. Je pouvais même voir le sang de Nathan sous mes ongles de mains, et ça causa à mon estomac de se retourner.

« Shh bébé, » chuchota Harry, me regardant dans les yeux. « Je me relève juste, okay ? »

« N-non. »

Harry soupira et resserra sa prise sur moi avant de lentement se mettre sur ses pied, me tenant dans ses bras. J'enroulais mes bras autour de son cou et je calais ma tête contre sa poitrine.

« Tu es en sécurité maintenant, » il murmura, « c'est terminé, Claire. Nous rentons à la maison. »

La maison.

« Oui, » Je murmurais finalement, reniflant, « ramène-moi à la maison. »

~

L'eau était chaude et apaisante contre ma peau, et avec les doigts d'Harry qui courraient dans mes cheveux, je pouvais sentir comme si toute l'horreur dont j'avais été témoin ces dernières heures s'en allait, tout comme le sang.

« Comment tu te sens ? » demanda doucement Harry derrière moi, pétrissant mon cuir chevelu. Son toucher était si différent que lorsque Nathan avait attrapé mes cheveux un peu plus tôt, et au début, je craignais qu'Harry soit dur, mais je me suis rappelé qui il était. Il ne ressemblait en rien à Nathan.

« Tellement mieux, » murmurais-je, et ce n'était pas un mensonge. Prendre un bain calmait toujours le passé, mais ça allait tellement mieux, spécialement avec Harry me lavant.

« Harry, » dis-je soudainement, me tournant pour le regarder par-dessus mon épaule, il était toujours avec son t-shirt et son jean, et ses mains étaient mouillées et pleines de savon, « viens avec moi ».

Un sourire apparu sur son visage, « Il n'y a pas assez de place, Claire. »

« Je m'en fous, » je fronçais un peu les sourcils. « S'il te plaît ? » Je voulais être aussi proche que possible d'Harry. Et pendant un moment, je pensais qu'Harry allait dire non, mais plutôt, il soupira et commença à retirer son jean. Je me mis à frotter mes bras, essayant de retirer le plus possible de sang avant que je n'entende Harry entrer dans la baignoire derrière moi.

« Avance-toi, » murmura-t-il, et je le fis. Il s'asseyait derrière moi, sa poitrine pressée contre mon dos, et je soupirai de soulagement. Ce moment n'était pas intime ou sexuel, c'était tellement différent, si représentatif pour moi, vraiment. Et je sentis le menton d'Harry se poser sur mon épaule, ses bras s'enroulant autour de ma taille pour me serrer encore plus contre son corps.

« Je suis désolé, » il murmura.

« Pour quoi ? »

« J'ai brisé ma promesse. »

« Quelle promesse ? »

Il fit une pause. « Je t'ai dit que je ne laisserai personne te faire du mal. »

« Tu ne peux pas sérieusement être en train de te blâmer ? » Surprise, je me retournais pour lui donner un regard étonné, et la peine se lisait dans ses yeux, confirmant ma question.

« Je vais prendre encore plus soin de toi maintenant, » il chuchota. « Je ne vais plus laisser quelque chose comme ça arriver, okay ? Je te le promets. » Il sonnait ferme quand il déclara ceci, mais pour moi il semblait se le dire à lui-même.

« Harry, regarde-moi. »

Je me tournais complètement pour lui faire face, l'eau faisant des vaguelettes autour de nos corps nus. Il eu l'air confus, et je me penchais en avant pour l'embrasser doucement.

« Tu m'as sauvée, » je respirais, prenant entre mes mains ses joues. « Alors ne te blâme pas, d'accord ? »

Ses yeux s'embrumèrent à ma phrase et il m'amena à ses lèvres encore une fois, m'embrassant plus fermement et avec plus de passion. Je me laissais succomber au baiser, laissant ses lippes bouger contre les miennes, suivant ses mouvements. Ses bras encerclaient ma taille, mais tout à coup, il s'éloigna de moi.

« Merde, » il murmura. « J'ai oublié, tu vas bien ? » Son regard était inquiet de nouveau, et il semblait sur le point de sangloter.

« Je vais bien, Harry, » dis-je. Je suppose que je devrais être pétrifiée, mais en ce moment, avec Harry, je me sentais beaucoup mieux. Oui, les images horribles de ce qu'ils s'était passé étaient encore claires dans mon esprit, me rappelant la façon dont j'avais eu à faire une fellation après que Perrie m'ait touchée, mais je n'avais pas l'intention de laisser ses souvenirs gouverner ma vie, surtout maintenant qu'ils étaient terminés.

« T'en es sûre ? » Chuchota Harry, douteux.

Je riais, « Juste, tais-toi et embrasse-moi encore. » Les lèvres d'Harry se brisèrent en un sourire à mes mots, et il murmura, « Tellement autoritaire, » avant de m'embrasser. Cette fois il enroula complètement ses bras autour de ma taille, pressant ma poitrine contre la sienne, et mon cœur tomba en chute libre lorsque je le sentis durcir contre mon estomac.

Et c'est à ce moment là que quelqu'un toqua à la porte.

« Bougez-vous les gars, il y a d'autres personnes qui vivent dans cette maison, vous savez. » La voix de Louis était reconnaissable, et sa phrase fut suivit par 3 nouveaux petits coups sur la porte.

« Laisse-les tranquilles, Lou, » Dit une voix, plus basse, probablement l'une des garçons, et Harry et moi souriaient l'un à l'autre lorsque nous entendirent marmonner.

Et ce fut à ce moment là que Harry, les yeux étincelants ce bonheur se pencha vers moi, me sourit et dit de manière suggestive, « je pense qu'on devrait continuer ça dans la chambre. »

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