Après une année tumultueuse marquée par des épreuves personnelles et professionnelles écrasantes, Megan réalise qu'il est temps pour elle de reprendre le contrôle de sa vie. Déterminée à changer son image et son environnement, elle se lance dans une...
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Une heure plus tard, Megan sortit de la douche, venant de terminer son déjeuner. Elle saisit son portable, composa le numéro d'Alexander, puis appuya sur l'icône du téléphone pour lancer l'appel.
De l'autre côté de la ville, Alexander se trouvait en pleine réunion avec quelques actionnaires de son entreprise lorsqu'il fut interrompu par un appel provenant d'un numéro inconnu. Il se doutait que c'était Megan qui l'appelait.
"Excusez-moi, je dois répondre, c'est urgent", s'excusa-t-il auprès des actionnaires présents. Ce n'était pas dans ses habitudes d'interrompre des rendez-vous professionnels pour répondre aux appels de ses conquêtes, mais avec Megan, c'était différent. Elle avait un effet particulier sur lui qui lui donnait envie de faire des efforts pour elle.
"Allô".
"Hum. Salut, c'est Megan".
"Hey Megan! J'ai reconnu ta voix ne t'en fais pas. Comment tu vas depuis hier?"
"Je vais bien et toi? Je ne te dérange pas?
"Je vais bien et non, tu me déranges pas. Je suis content d'entendre le son de ta voix".
Un large sourire illumina le visage de la jeune femme, s'étendant jusqu'aux oreilles.
"Je voulais te remercier pour les roses, elles sont magnifiques".
"Avec plaisir. J'espère que ça ne t'a pas dérangé que je te les ai envoyé chez toi directement".
"Non, non. Au contraire j'apprécie le geste. En plus, les roses blanches sont mes préférées".
"J'ai suivi mon instinct en les choisissant. Il semblerait que j'aie eu raison." Dit-il, fier de lui. Il savait qu'il avait marqué des points auprès de la jeune femme. "Alors, ton appel signifie que tu es d'accord pour qu'on se revoit ?"
Megan s'est légèrement raclé la gorge avant de répondre, mais son sourire était évident à travers le téléphone.
"Oui, j'aimerai te revoir".
"Parfait! Je m'occupe de tout. Je viendrai te récupérer à huit heures ça te va?"
Cette facette entreprenante de lui faisait battre le cœur de Megan un peu plus fort.
"Ça me va. Est-ce que j'ai besoin de m'habiller d'une façon particulière?"
