4- beautiful day

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—𝓘𝓷𝓮𝓼—

Cher journal, ce matin, j'ai....

Je m'arrête net, que suis-je en train de faire ?

Tu écris ta colère envers ton voisin, ma vieille.

Cette abrutie a osé me mouiller dès le matin !

Je soupire en regardant mon cahier, quelques goute de mes cheveux trempés, on dégoulinait sur la page ou j'étais en train d'écrire.

Enfin où je m'apprête à écrire toute la haine que je ressens actuellement pour lui. Il ne semblait même pas désoler, et puis son sourire !

Étai juste magnifique.

Argh, non, même si je dois avouer que ses beaux yeux bleu polaire qui ont examiné mon être, voire même mon âme, me hante. Ses cheveux noirs tombés sur son front et qui était un peu en pétard, mais ça le donner un air mystérieux. J'ai remarqué aussi que lorsqu'il sourit, il avait des fossettes qui apparaissaient.

Arrêt ça Inès ! tu fantasmes littéralement sur un sombre crétin. Je suis sûr qu'il s'entendrait bien avec Bryan. Quoique deux ingrats ensemble ne ferait que rendre ce monde deux fois plus invivable que quand un seul est dans les parage. Je décide de continuer ma phrase sans mentionner ce "voisin" car je ne veux pas me souvenir de lui quand je relirai mon journal.

Mon stylo en mains, j'entame la suite de ma phrase :

Cher journal, ce matin, j'ai eu l'envie d'allé me promener dans les paysages de mon enfance, à commencer par la plage.

Atchoum !

Cet éternuement fait voler et s'écraser plusieurs gouttelettes d'eau sur mon journal, et merde.

Je le ferme et le dépose sur mon lit.

Je devrais aller le changer au risque de tomber malade. Je cherche une tenue quelconque dans mon armoire et file dans la salle de bain afin de me préparer.

Une douche chaude, enfilage des vêtements et remise à jour de ma coiffure plus tard, me voila prête.

Je me regarde dans le miroir à pied, vêtu d'un short en jean bleu et d'un débardeur blanc, je décide finalement de laisser mes cheveux libres et non attacher en queue de cheval. Lorsque j'entends une porte claquer et ce fredonnement familier de "for me formidable" je me dirige vers la cuisine sachant que ma mère se prépare à faire le petit déjeuner pour notre petite famille.

-Salut maman. Je lui plaque un bisou sur la joue et récupère au passage un verre moyen de croquettes pour Hoku, qui se manifeste dès que le sachet émet un petit bruit.

-Et bien en voilà un qui vient prendre son petit déjeuner sans qu'on ait à l'appeler à plusieurs reprise. Pouf ma mère, et oui dans notre famille, il faut qu'on ait appelé au minimum cinq fois chaque personne pour qu'elle se manifeste, à l'inverse d'Hoku bien sûr ce chien est un vrai ventre sur patte !

-Petit ventre sur patte. Dis-je à l'intention du chien en lui donnant une caresse sur la tête après avoir vidé le contenu du verre dans sa gamelle.

-Tu sors ? M'interroge ma mère dès que je me redresse.

-Oui, je vais à la plage d'ailleurs, je compte emmener Hoku. Il faut qu'elle fasse un peu de sport avec tout ce qu'il mange. Et puis je n'ai pas vraiment envie d'être seule, Hoku est un peu comme mon meilleur ami ici. Je ne connais personne dans le coin, pas étonnant vue mon niveau de timidité avancer.

-Ne rentre pas trop tard, et ramène ton téléphone, je serai plus rassuré. Je lève les yeux au ciel, pourquoi me voit-elle encor comme une enfant de sept ans, alors que j'en ai est dix de plus ?

Dear summerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant