Valkyrie Apocalyspe x oc

Promesse éternelle

OC :
Prénom : Leilin
Taille : 1m72
Déesse : Hindou
Pouvoir : Esprit ( ex : télékinésie... )

Ces bâtards de dieux ! Qu'est ce qu'ils m'énervent, il vont arrêter de m'embêter oui ? Je marche dans les couloirs de ma demeure en pestant contre ces crétins de dieux ! M'interroger sur mon mari, qu'est ce que j'en sais moi ?! Et puis qu'ils se débrouillent non ?

???? : Leilin-chou, qu'est ce que les dieux ont encore fait pour que tu soit autant en colère ?

Un homme de grande taille avec des cheveux blancs, noirs derrière les oreilles. Il a un grand chignon aplati qui amènent ses cheveux vers l'arrière, seule une longue mèche blanche passe sur son visage. Une autre mèche semblable s'échappe de son chignon. Il porte des boucles d'oreilles dorées et des lunettes de soleil dorées avec des verres aux reflets rouges sur ses yeux bleu ciel profond. Il est actuellement entrain de sucer une sucette.

Il porte un débardeur bleu marine avec un dessin d'une tête de lapin, portant un bandeau sur l'œil gauche. Il y aussi écrit le mot "USACHAN" en-dessous. Un très long tissu doré s'enroule autour de chacun de ses robustes bras et autour de sa taille. Il porte un large pantalon violet sombre descendant jusqu'au bas des genoux, une ceinture de bandes de tissus blanches et violet clair, et il est constamment pieds nus ce qui est assez gavant. Il porte presque toujours avec lui son grand bâton de prieur qui lui permet d'utiliser le pouvoir des Six Destinées.

Si cette description ne vous as pas aidé je ne peux plus rien pour vous...je vous présente donc Bouddha, mon mari. Oui j'ai bien dit mon mari, vous n'êtes pas sourd ( NDA : Plutôt aveugle du coup ) Il y a bien longtemps Bouddha posait problème aux dieux idem pour moi, pour se "débarrasser" de nous les dieux nous ont unis. C'est sûrement la pire erreur qu'ils ont faites, parce qu'on a fini par s'apprécier et même s'aimer. Dites vous que je l'aime vraiment et que c'est réciproque, à tel point que même sans cette histoire on se serait marié.

- Ils m'ont fait passé un interrogatoire ces crétins ! Un de ces jours je vais les tuer ça sera bien fait pour leur gueule.

Bouddha : Toujours aussi râleuse.

- Je te demande pardon ?!

Bouddha : J'ai jamais dis que j'aimais pas ça.

- Mouais...je t'aime.

Bouddha : Je t'aime aussi Leilin-chou. Un interrogatoire sur quoi d'ailleurs ?

- Si tu les avait pas trahi un truc comme ça, j'ai arrêter d'écouter dès qu'ils ont commencé à me gaver.

Il ne répond pas bizarre. Je me tourne vers Bouddha avec une mine inquiète.

- Quoi tu les as vraiment trahi ?

Bouddha : Leilin-chou...

Je le regarde choqué.

Bouddha : Je n'ai jamais étais d'accord avec eux...je le fais pour l'humanité, et surtout je le fais pour toi, pour nous.

- Bouddha...

Bouddha : Je sais que c'est risqué mais...je t'en prie n'essaye pas de m'en empêcher.

- Tu compter me le dire quand si je n'avais pas était interrogé ?

Bouddha : Jamais...?

Je sens mes muscles se tendre, ma mâchoire se crispe et je sens la colère me monter à la tête. Je vais le tuer c'est décidé, "mais il te manquerai trop", foutu conscience ! J'en ai marre il faut que j'extériorise c'est important là !

- BOUDDHA ! ESPECE D'IMBÉCILE ! TU COMPTAIS RIEN ME DIRE ? ET SI TU MOURRAI ? TU PENSE UN PEU À MOI SAC À MERDE ?! "JE LE FAIS POUR TOI" POUR TOI MON CUL, TU CONNAIT LES RISQUES QUE TU PRENDS ? SOIS MAUDIT GROS CON ! JE ME FAIS DU SOUCIS POUR TOI ET TU T'EN FOUT C'EST ÇA ?

Bouddha : Leilin...

- JE TE DÉTESTE ! TU NE M'AIME PAS EN VRAI HEIN C'EST ÇA ?! TU VEUT ME LAISSER SEULE ICI ?! T'A QU'A ME LE DIRE SI TU EN AS MARRE DE MOI. C'EST ÇA VA T'EN PUISQUE C'EST COMME ÇA !

Je sens les larmes couler, je lui tourne le dos et part en courant. Je refuse de l'affronter dans cette état, avec le temps mon amour pour lui n'a pas cesser d'augmenter...ça fait si mal...si il mourrait je me retrouverais à nouveau toute seule.

J'arrive dans...notre chambre. Je me couche et je pleure contre l'oreiller. J'entends la porte s'ouvrir puis se refermer mais je n'y fais pas attention. Je m'appuie encore plus contre le coussin, il est trempé maintenant mais je m'en fiche.

Bouddha : Leilin...

Il s'approche et me caresse les cheveux...son contact stabilise mon cœur et calme mes larmes. Je déteste tout autant que j'adore l'effet qu'il a sur moi. Il me chuchote des paroles douces à l'oreille et sèches mes dernières larmes.

Bouddha : Leilin...je ne vais pas te laisser, je tuerais les dieux si ils se mettent en travers de mon chemin. Je te promet de rester en vie, mon cœur. Je tiens bien trop à toi pour te laisser, et je n'ai pas oublié la promesse que je t'ai faites. Tu t'en souviens ? Celle de te faire des enfants et de fonder une famille.

Je souris légèrement contre le coussin, oui je m'en souviens de cette promesse. J'en avais pleurer de joie...je ne peux m'empêcher d'imaginer cette vie de famille avec Bouddha. Je sors ma tête de l'oreiller et je le regarde. Il colle nos front et me regarde dans les yeux.

Bouddha : Je t'aime Leilin, bien plus que tu ne l'imagine.

- Je t'aime aussi.

On s'embrasse sous le clair de la lune...sa lumière passe à travers la fenêtre et nous ébloui. Sous sa lueur je remarque un détail qui m'étais impossible de voir.

- Bouddha tu pleure ?

Je ne l'ai jamais vu pleurer, jamais. Il affiche toujours un style nonchalant, arrogant et décontracté. Je ne lui connaissais pas cette sensibilité.

Bouddha : Comment puis je rester de marbre, face à ma femme qui pleure pour ma vie ?

Sans hésiter une seule seconde, je l'embrasse comme je ne l'ai jamais fait auparavant. Ce baiser est rempli des émotions qui nous traverse ; la colère, la tristesse, le soulagement, la joie et surtout l'amour. Je sais ce qu'il ressent et il sait ce que je ressens.

On s'éloigne un peu et je prend un mouchoir pour me moucher. Je me tourne vers lui, et je le vois avec son fameux sourire arrogant. Il tend devant moi la fameuse et l'unique...

Bouddha : Une sucette ?

- Avec plaisir.

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Fin. 1044 mots
avec l'explication