sans frontières.

prologue

Salut ! Voici mon wattpad que j'essaye tant bien que mal de faire et de me satisfaire( parce que a chaque fois, je sens que c'est mauvais alors j'efface).

Bref, bon lecture !

Prologue : sous l'eau.

Est-ce que vous savez que j'aime mettre ma tête sous l'eau.
La sensation de nous faire piégé, de nous étouffé, de ne plus avoir a lutter face au force qui nous dépasse.

Quand je suis sous l'eau j'ai l'impression de ne plus existé.

Je replonge ma tête encore plus, plus encore. Ma respiration est coupé, je n'entend plus rien. mes yeux pique a cause de l'eau salé. Mais j'aime ça.

Encore un peu. Encore un peu.

Et je meure.

Mais mes plan furent anéanti par une main forte qui agrippa mon avant bras et le sortis la tête de l'eau.

‐ Non mais t'es taré ou quoi  !?! T'avais te tué. Fit la voix offusqué.

— Bah, c'est que j'avais prévu. Répondis-je calmement.

‐ Quoi !?! Tu a dis que tu arrêterais de faire ça ! Tu m'a promit ! Dit-elle avec une expression inquiète.

Je ne sais pas quoi dire. Je ne la regarde pas dans les yeux car je sais qu'a la seconde où je le ferais, tout mes résignation s'envolérent.

‐ quoi ? Et alors ? C'est pas comme si tu étais ma mère a ce que je sache. Retorque-je sèchement.

Elle sembla blessé mais reprit son expression d'avant.

- Mais je dois veiller sur toi ! C'est ce que font les amis ! Que tu le veille ou non je serais toujours la pour toi. Dit-elle en le prenant par le bras.

Je veux le nier mais je ne peux pas. Je veux ne plus le ressentir mais c'est impossible.

Quand elle dit ce genre de chose. Je ceux y croire. Y croire encore. Plus. Mais le vie n'est pas si simple même loin de la. Je dégage ma main sans douceur et part.

Elle me suit toute suit après, l'eau atteint nos cuisse qui peigne a bouger, la nuit est calme et le silence règne. J'aime me noyer la nuit. Car je suis presque sûr que personne ne peut m'atteindre. Bon presque parce que elle arrive toujours a me retrouver.

Je l'entend m'appeler.

- Attends moi s'il te plaît ! Tu sais que si tu a un problème tu peux me le dire, ne garde pas tous ça sur tes épaules. Je suis ton amie, fais moi confiance !

Je m'arrête, et je me retourne pour la toiser. C'est justement ça le problème.

- justement, je ne te vois pas comme une amie ! Criais-je. Je fléchit un peu en voyant sa mine blessé mais garde une expression dure.

Mais elle n'abandonne pas.

Elle n'abandonne jamais.

- Je m'en fiche ! Pour moi tu es mon amie et je vais t'aider coûte que coûte. je sens un sentiment de rage et de frustration monter en moi. Je fais un rictus,je m'approche d'elle a toute vitesse et je prend son menton entre mes mains.

- je ne te vois jamais comme une amie et je ne te verrai jamais ainsi. Dis-je d'une voix mélancolique.

Puis je scella nos lèvres. Elle se figa, surprise puis elle répondis à mon baisers. Nos lèvres se mouvaient au rythme, parfois rapide, parfois en lenteur pour apprécier le moment puis nous nous séparâmes a bout de souffle.

L'eau de la mer était gelé mais une chaleur sans nom envahissait mon corp et mon cœur.

Elle me regarde, de ses yeux Ambre, ses beau yeux, ceux même qui me fait voire la beauté des étoiles. Je me rapproche d'elle et lui murmure :

" je ne te vois pas comme une amie. Accepte le ou laisse moi tranquille "

Je la regarde. Mais elle ne répond pas.
Je me retourne et sourit tristement.

Comme si elle allait accepter pensais-je.

Mais a ce moment deux lèvres maladroite s'écrasèrent sur ma bouche mais nos deux dent s'entrechoquent.

- AÏE !!!!! Mais qu'est que tu fais ! Criais-je on mettant ma main sur ma bouche.
- désolé je...je voulais..t'..t'embrasser Dit-elle en cachent sa tête entre ses mains. Elle sembla embarrasé.

Attend, elle a dit qu'elle voulait m'embrasser ?

Sans plus attendre je pris ses poignées pour la rapprocher de moi.

Je l'a regarde encore ses yeux, qui me regarde en retour intensément.

- Accepte tu ? Demande-je. Accepte te tu de tout de moi. Je ne te repousserais pas, toi non plus. Tout sera différent, toi et moi. Je ne sais pas ce qui adviendra mais Accepte de découvrir cet inconnu ?

Elle baissa le regard.

- Oui. C'est la seul chose qu'elle dit mais c'est suffisant. Suffisant pour me faire sentir un bonheur, un bonheur irréel.

- Ne m'abandonne jamais. Dis-je les yeux des larme. Jamais.

Elle hocha la tête puis enfouie celle-ci au creux de mon cou.

- Ace, je crois qu'on va attraper un ruhm demain.