Valentino Pagano
Je suis à mon bureau, n'ayant pas eu le temps de manger, je monte dans la mezzanine de mon bureau où se trouve ma pièce privée avec ma chambre avec le matelas a peine au sol. Faudrait vraiment que je m'achète un réel lit, ce n'est pas comme si je n'avais aucun moyen financier. Je suis à la tête de plusieurs milliards d'euros personnellement. Donc ce n'ai pas un lit qui va me ruiner.
Au moment, ou je veux allumer ma plaque, mon téléphone vibre. Je ne réponds pas mais il re-vibre à nouveau dans ma poche arrière. Je balance ma tête en arrière en soupirant en prenant mon téléphone pour répondre.
Il n'y a qu'une seule personne qui peux me rappelais lorsque je ne réponds pas. Ma mère. Je décroche mon téléphone et mets le haut parleur mais je n'ai pas le temps qu'une petite voix réponds. Je suis très surpris de l'entendre mais elle râle dans son petit italien car elle ne me voit pas sur l'écran. Je ne peux pas m'empêcher de sourire en me mettant en visio pour la rendre heureuse.
- Va-a !
- Bonjour petit cœur, tu n'es pas censé faire la sieste toi ?
- Non, non, non, non, veux pas dodo moi
Je continue de couper mes courgettes en gardant mon petit sourire. Cette petite fille est le trésor de la famille depuis deux ans. Et je plains celui qui osera la faire pleurer. Avec ses deux frères, son père ainsi que ses oncles, la personne ne va plus jamais l'approcher. Je me ferais un plaisir de le ou la torturer jusqu'à qu'elle me supplie d'arrêter.
Petite Camille, appelée ainsi par mes parents car son prénom est signe de femme guerrière et de combat dans l'empire romain. D'après la mythologie, Camille pratiquait les arts depuis son plus jeune âge. Mon grand père ainsi que mon oncle n'étaient pas réellement d'accord avec se choix. Pour eux, avoir une fille est signe d'héritiers donc, comme nom, ils voulaient lui donner Juno, protectrice des femmes, déesse des mariages et des grossesses ou bien Maïa, figure de la maternité par excellence. Mais pour mon père, celui qui est signe d'héritier est le premier né, c'est-à-dire, moi.
A vrai dire, ma mère me râle dessus depuis un moment. Valentino, quand est-ce que tu nous ramène une fille, Valentino, tu commences à te faire vieux, Valentino ci, Valentino ça.
Mais Valentino hait l'amour. Il ne veut plus tomber amoureux. Je ne peux pas faire un enfant avec quelque dont je n'ai pas, n'est ce qu'un peu de sentiments. Olivia avait réussi à entrer en moi, et arrivée jusqu'à mon cœur. Je l'ai rencontré à l'université, on a fait nos classes ensemble jusqu'au doctorat, que je suis toujours entrain de faire. Mon père trouve ça idiot d'ailleurs.
Ma mère était heureuse lorsque Olivia lui annoncée être enceinte. Lorsque j'ai appris par la pire des façon sa trahison dans mon lit, j'ai reçu toutes les foudres de ma famille. Pour mes parents, c'était impensable de vouloir se séparer et encore moins torturer son ex fiancée alors qu'elle était enceinte de quelques semaines. Mais ils savaient que je ne l'ai écouterais pas.
Avoir trouvé sa future mariée dans son propre lit avec quelqu'un, autre que moi était la chose à ne pas faire. La seule demande de mon père a été de ne pas la touché. J'ai hoché simplement les épaules avant de lui tourner le dos.
Je ne l'ai pas touché mais je l'ai détruit mentalement. Il m'a fallu plusieurs jours, j'ai même cru que je n'allais jamais y arriver mais elle a cessé le huitième jour en parlant du bébé. Je savais qu'elle voulait se bébé depuis des nombreuses années. Durant nos années, elle me le demander de nombreuses fois mais je refuser. Je voulais d'abord finir mes études. Elle m'avait d'abord expliqué que les accidents sous contraception existent et j'ai moi-même fait des recherches. Alors je n'ai rien dit et accepter mais elle m'a avoué que ce n'était pas mon enfant. Que lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte, elle a tout fait pour qu'on couche ensemble pour que je ne me doute de rien.
![](https://img.wattpad.com/cover/336459391-288-k289613.jpg)
VOUS LISEZ
L'internat
RomanceJe suis le directeur d'une école, celle de la dernière chance pour les parents démunis. Cette école à pour réputation de transformer ces petits monstres en de parfaits humains. Je n'ai jamais, ni moi, ni mes prédécesseurs échouer à ce devoir. Chaque...