16: (T/P). Juste. Calme-toi.

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FRANCOIS BONNEFOY

L'inquiétude et la déception se lisent sur son visage, te voyant soupirer dans tes mains alors que tu te débats avec le travail qui t'attend. Tu t'efforces de trouver un mot qui conviendrait à la dissertation que tu es obligé d'écrire. STUPIDE dissertation à rendre demain, STUPIDE professeur qui te torture ainsi et STUPIDE école qui est l'enfer absolu. [Vrai, (T/P), tellement vrai]

Tu passes une main dans tes cheveux (*insérer la couleur des cheveux) et tu pousses un autre gros soupir. François t'entoure de ses bras, ce qui t'oblige à t'éloigner de ton ordinateur. Tu fermes les yeux tandis qu'il dépose des baisers sur ta tempe. "Chérie, fais une pause, d'accord?" Il frémit tandis que tu absorbes son odeur masculine, les yeux toujours fermés. Il sent fortement le vin cher et le café noir qu'il boit dans son bureau, ainsi qu'un lointain arôme de cigarettes brûlées. Un souffle lourd s'échappe de tes lèvres et tu secoues la tête en signe de désaccord.

"Je ne peux pas, c'est pou--" les mots ne sortent pas complètement car il dépose un long baiser sur ta bouche. "Je sais, mais tu as besoin d'une pause... Tu as travaillé sur ça depuis que tu es arrivée ici... Fais-moi confiance, je m'en occupe..." Tu le regardes, incertaine, alors qu'il prononce ces mots, mais c'était vrai. Tu es fatiguée d'avoir tapé tout cela pendant quatre heures d'affilée.

"Comment peux-tu gérer tout cela? Je dois encore faire cinq pages complètes..." interroges-tu, inquiète pour ta rédaction et pour François. Comment peut-il faire cela avec le minimum de temps qu'il lui reste?

"Ferme les yeux et dors, mon amour," dit-il en t'allongeant sur le lit qu'il partage avec toi et en t'emprisonnant dans ses bras, tandis que sa présence t'endort lentement.

[Oh, bon sang... Pourquoi ai-je fait de François un petit pain à la cannelle paresseux mais avec un business mortel? Oh... attendez]

AMERICUH! Ahem. Je veux dire...


ALLEN JONES

"Gahghh," gémis-tu en frappant doucement ta tête sur ton bureau. Un soupir s'échappe de tes lèvres alors que tu te redresses, essayant de te remettre les idées en place. Tu essayes de t'encourager tout en essayant de rassembler tes affaires à tâtons.

Bon, d'accord, T/P.

Travail administratif.

À rendre demain.

Tu comprends.

Tu te souris franchement en hochant la tête. Pendant ce temps, les yeux rubis d'Allen fixent ton visage en détresse depuis l'autre côté de la pièce. Cela fait maintenant deux heures que tu es dans cet état. Des sueurs froides roulent sur ton front tandis que tu grommèles, ce qui le déroute car il faisait plutôt froid. Hmm... Peut-être qu'il est aussi chaud que ça, hein?

Oui, bien sûr. -_- [Bon sang, pourquoi suis-je si amer XD? *l'humeur change plus vite que... Je ne sais pas... l'éclair?*]

La première chose qu'il remarque ensuite, c'est la façon dont ta poitrine se soulève avec ton corps lorsque tu prends une grande inspiration et que tu la retiens, comme si tu réfléchissais à quelque chose. Ce qui est vrai, parce que tu as besoin des mots appropriés pour la paperasse.

Mais vraiment, Allen?

Il suffit de regarder les seins. -_-

OK. Continuons.

Une autre expiration bruyante se fait entendre. Tu passes tes doigts dans tes cheveux (couleur) et tu parcours les mots que tu as récemment employés, en essayant de trouver la correspondance parfaite pour le texte que tu dois rendre le lendemain. Bon sang, je répète encore les mêmes scènes avec des mots différents :P Mais bon, oui, une fois de plus, tu n'as rien tiré de ton cerveau.

2p!Hetalia Boyfriend ScenariosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant