Micochevick

Lalya

Philadelphie, Amérique. 12h37

Et me voila dans la voiture qui me mènera à ce foutu
mariage.
A vrai dire je n'aurais jamais cru que mon propre père, était réellement désespéré au point de me vendre au premier venue.

Ce cher Ivan Micochevick.

Je connais de lui uniquement son nom et à vrai dire il ne m'aspire rien de bon.
J'espère cependant que ça sera un bon mari, mon père dis que oui, mais je sais qu'il veut juste me rassurer.

Je stresse de plus en plus j'ai l'impression que je vais étouffer dans cette grande robe et cette maudite coiffure qui me fais mal même si je dois bien l'avouer elle a était bien réaliser.
Il semblerait que mon père a du goût. C'est lui qui a tout organisé, ma mère comme à son habitude n'a rien fait. C'est toujours lui qui s'occupe de moi et même si il m'a vendu je dois bien reconnaître que je l'aime plus que tout.

On dit souvent que les cérémonies de mariages reflètent assez bien le caractère de ceux qui se maris.

Dans mon cas, ce mariage reflète le caractère de mon père.

La voiture s'était arrêté depuis un moment déjà.
Je ne l'avais pas remarqué étant donné que je suis dans mes pensées. Je pense toujours trop et ça m'agace.

A peine que la portière s'ouvre que j'entends de grand applaudissement.
Tout ces gens étaient venue pour me voir me marier. Je ne connais aucune de ces personnes, ça doit être des amis et collègue de mes parents.

Mon père n'a pas voulu que je m'occupe au moins des invitations il a tout préparer lui même comme à son habitude.

Ces gens, ils me donnent la migraine et leurs sourires sont faux et hypocrites.
Je n'aime pas ça.

Il a bien deux choses que je déteste c'est bien les hypocrites et les personnes indécises.

Ici ces gens reflètent le premier caractère.

Arriver à l'entrée de l'église, je me statufie.
C'est donc là que tout va commencer.
J'ai si peur.
Mon père l'a bien remarquer, il m'a lancé un regard remplis de compassion et me serre l'avant bras.
Comme le veut la tradition c'est le père qui accompagne sa jeune fille tout le long du trajet jusqu'à ce que on arrive devant le pape.
Et aujourd'hui c'était moi.
Je suis celle qui est censée vivre son conte de fée.

J'avance avec toujours cette sensation de mal respirer, j'ai mal au ventre.
Tout le long du trajet je me contentais de regarder mes pieds.
Je ne voulais pas croisé le regard de celui qui désormais fera partis de ma vie. Il en est hors de question.

Je sens la pression de mon avant bras s'évaporer.
Signe que j'étais arriver à destination, livrer et sans armes face à ma nouvelle vie.

Salut ! J'espère que vous avez appréciez ce chapitre. Donner moi vos retours en commentaires ! N'hésitez pas à me dire si il y a des fautes je tenterais de les corriger!
Aussi les changements de pov's se feront via à ce symbole :*
Il vous indiquera quand je changerais de pov's voilà tout.
Bonne lecture !