Supernatural

Chapitre 1: Mon rêve

Comme tout les matin, depuis deux longue semaine de vacance d'été, je me réveille en sursaut.
Des perles de sueur coule sur mon front, cette sensation d'être perdu, et de regarder nos alentours.
Rien d'extravagant... Mais c'est ce qu'il ce passe dans ma tête qui me tourmente autant.
Cela fait deux semaines. Oui, chaque nuit je subis ces rêve...
Cette homme qui arrive à rentré dans ma tête.
Il m'est inconnue. Je n'arrive pas à distinguer son visage parfois, mais j'arrive quand même à l'apercevoir. Il est sublime, avec un charme ravageur...
Je n'est jamais vue un individu, un être humain aussi beau que lui.
Beau est un faible mot.
Quand je me rendort, je plonge dans un profond sommeil, et peut de temps après, je le voie. Il s'approche de moi, calmement, le sourire au lèvre, mais la noirceur m'empêche de voir tout son visage. Je distingue sa bague, en or massif, avec un espèce de petit dessin sur celui-ci que je n'arrive pas à bien voir. Je pense que ce sont des initiales.
Dans mon rêve, je suis clouer au lit, façon de parler bien sûr. Incapable de bouger, mise à part un peut ma tête et mes bras. Tout a l'air si vrai. Mais ce n'est qu'une illusion. Voilà qu'il s'approche encore plus de moi, m'examinant de la tête au pied.
Il s'assoie sur le côté. Je peu même entendre sa douce respiration.
Il continu de me fixer et avec une magnifique voix il me dit:

-"Bonsoir ma douce."

Je peu en déduire d'après sa voix qu'il doit être jeûne.
Dans la vingtaine ou plus. Cette phrase se répète plusieurs fois dans ma tête.
Ce magnifique son.
Tien, j'arrive à bouger mon corps.
Le voilà qu'il se met au dessus de moi. Je suis effrayer, mais tellement curieuse de savoir qui est cette personne étrangère, et méconnaissable. Je sais que je suis dans un rêve. Je le sais. Dans nos vie, nous avons tous fait des rêves aussi bizarre, glauque, ou parfois même farfelu. Je connais de nombreuse personne, qui comme moi, rêver d'être nue, en pyjama, ou en culotte dans un collège, ou bien un supermarché.
Ainsi que quand tu te fait poursuivre par une personne n'étant pas assez fort pour courir plus vite, alors tu marche d'un pas lent. Tout sa, ce sont des rêves normal, qui ne reviennent pas toute les nuits pendant deux semaines.
Est bien c'est ce qu'il ce passe. Et je ne peu rien faire, ni essayer de faire une nuit blanche, ni tenter de me réveiller. Je m'endors dans les 23h 30 pour me réveiller automatiquement à 7h.
J'aimerai que sa cesse, je n'en parle pas non plus, à personnes. Sa ne servirai à rien, et on me prendrai sûrement pour une folle. Alors que ce belle individu, ce parfait inconnu, continu à me fixer, je ne peu non plus pas détacher mon regard du sien. Ces yeux sont étincelant. Je n'arrive toujours pas vraiment à apercevoir sont visage. Il est à quelque centimètre près.
Soudain il approche sa main de mes cheveux.
Nous sommes très proche.
Je sens une odeur exquise qui pénètre dans mon nez. J'aspire. L'odeur de la rose.
Je suis consciente d'être dans un rêve, que ce n'est pas la réalité, c'est pour cela que j'ai cette sensation de sécurité. Il ne m'arrivera quoi que se soie.

Quand son doigt à fini de jouer à enroulé ma mèche de cheveux autour de sont index, il caresse délicatement, au bout des doigts, mon épaule dénudé.
Cette sensation de fraîcheur quand il me touche.
Un picotements tout le long de mon corps, et une petite décharge électrique qui passe entre moi et lui. Il arrête, retire sa main, et descend à la hauteur de mes lèvre. Je suis incapable de prononcer un seul mot. Aucun son n'en sort. Il caresse de sont pouce ma lèvre inférieure. Je ferme les yeux. Mon coeur s'arrête. Quand je les ouvres, ces lèvre sont plaqué contre les miennes.
Il m'embrasse vigoureusement.
D'une main, il tien ma joue, qui même dans un rêve, doit être rouge tomate. Et de l'autre main, il me tien par la taille. Je me laisse bercer par ces douce lèvre. Quelque larme coule sur mes joue.
Je pleure ? Pourquoi je pleure ?
Il se met aussitôt à arrêter.
Il essuie de son pouce, une goûte qui glisser sur ma joue.
Il fronce les sourcil. J'arrive un peu plus à le voir.
Je n'est pas les mots devant une tel beauté... Il est très blanc de peau, même très pâle. Il à une fine lèvre, des yeux de couleurs jaunes foncés, un visage fin et lisse, des cheveux d'une noirceur.
Son expression du visage, je n'arrive pas à le cerner.
Il passe sa langue sur ses lèvres.
Il s'approche de mon coup, et soudain je sent une douleurs atroce. Je crie, et me débat. Afin d'étouffer le son, il met sa main contre ma bouche tout en continuant de boire mon sang.

C'est un putains de vampire.

Il se retire délicatement, avec du sang qui coule sur son menton.
D'une voix douce, les sourcils froncé, il prononça ces mot:

-" C'est impossible que tu puis pleurer dans un rêve."

Soudain. Tout s'efface. Il disparaît, me laissant seul, gisant sur mon lit, perdu, la sensation d'être abandonnée, car c'est le cas. Et je sursaute, dans la vrai vie, dans mon lit.
Il fait chaud, les fenêtres sont ouvert laissant un trait de lumière à travers les volet. Je m'attrape le coup, et vérifie bien si j'ai une trace ou quoi que se soie. Ma couverture à fini par terre. Je n'arrive toujours pas à bien me rappeler de ce qu'il c'est passer, mais quelque chose me tracasse le plus, ce sont mes joue, pleine de larme sec, et la sensation que quelqu'un était avec moi dans ce lit.