Sous chaque regard, un feu qui la dévore,
Une douce brise, mais qui l'écorche encore.
Son cœur frémit, tel une aile en détresse,
La sensation de mourir, une réalité qu'elle adresse.
Son souffle encore, caresse ma peau frémissante,
Captive de mes nuits suffocantes.
Ton incompréhension face à mes frissons gémissants,
Le rubis vermeil s'échappe de sa demeure charnelle, l'emportant.
Que ces paroles emportent l'aveu de tes fautes sans fin,
Et que l'écho du pardon résonne en un doux refrain.
VOUS LISEZ
Chrysaoria hysoscella
PoetryDes mots sur mes maux, mais aussi une guérison qui sera je l'espère totale.