Cafuné Pedro&Pablo

13. -Ouverture des portes.

Auteur : fcloverofmine
Traductrice: fan_de_Pedri_8
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Lorsqu'ils atteignirent le rez-de-chaussée et s'approchèrent de la salle à manger, ils trouvèrent beaucoup de monde à la réception, principalement des journalistes. Ils sont venus dire bonjour et les ont laissés poser quelques questions avant de poser ensemble et à part pour des photos qui étaient demandées partout. Enfin, ils entrèrent dans la salle à manger où il y avait encore plus de monde et Gavi colla instinctivement le canari alors qu'ils se dirigeaient vers un coin où se trouvaient déjà Jordi et Morata.

-Eh bien- Siffla Alvaro en les regardant avec un sourire. -Comme les enfants sont devenus beaux.

Ils rirent tous les deux et regardèrent autour d'eux, la salle à manger avait été légèrement décorée et il y avait des serveurs avec des plateaux qui proposaient des boissons et de la nourriture. Luis Enrique était au centre en train de parler à des gens qui semblaient importants et ses coéquipiers entraient petit à petit, remplissant la salle. Ferran s'approcha d'eux et ils se rendirent compte qu'il menait Sira par la main.

-Sira!- Gavi s'exclama en la voyant aller la serrer dans ses bras dès qu'ils furent devant eux.

-Bonjour, les gars- Elle rit, retournant le câlin et faisant de même avec Pedri avant de saluer les autres.

-Je ne savais pas que tu venais- Dit le canari pendant que Sira retournait sur le côté de Ferran et lui passer un bras autour de sa taille.

-J'ai dû convaincre mon père de me laisser venir- Répondit-elle en roulant des yeux et en pointant la tête vers Ferran. -Il est obsédé par le fait de ne pas distraire celui-ci.

-Celui-ci? Hé, je suis ton petit ami- Il a protesté en faisant rire les autres et elle lui a donné un baiser sur la joue.

Ils passèrent le reste de la nuit à parler entre eux et avec leurs compagnons, Luis Enrique venait de temps en temps pour les présenter à quelqu'un et ils enfilaient leurs bottes avec toute la nourriture qui sortait de la cuisine. Après quelques heures, les journalistes sont partis et l'atmosphère s'est détendue lorsque les joueurs ont cessé de se sentir surveillés. Pedri parlait avec Carvajal et Éric lorsqu'il s'est rendu compte qu'il avait perdu le sévillan parmi la foule. Il le chercha et ressentit un pincement à la poitrine lorsqu'il le vit de l'autre côté de la pièce parler à une fille blonde. Il serra la mâchoire et dit au revoir à ses compagnons en traversant la salle à manger vers eux. Il ne pensait pas clairement à ce moment-là et ne s'est arrêté qu'à quelques mètres de lui. Il réalisa alors que c'était la même fille de la piscine et il continua à les regarder, essayant de contrôler le sentiment de jalousie qui le consumait à l'intérieur. Ils ne faisaient que parler et Pablo se déplaçait mal à l'aise d'un pied sur l'autre, les mains dans les poches, comme s'il ne savait pas quoi faire. Mais alors la fille se pencha vers lui, posant une main sur sa poitrine avec un sourire, et il put voir Pablo déglutir, faisant un pas en arrière. Pedri sourit quand il vit qu'il ne semblait pas du tout intéressé par la conversation ou par elle, mais il ne pouvait pas supporter de le voir si mal à l'aise. Il continua donc à marcher vers eux jusqu'à ce qu'il puisse s'approcher du sévillan par derrière et poser une main sur sa taille. Gavi se tendit quand il le remarqua mais se détendit dès qu'il entendit sa voix.

-Bonjour- Dit-il en collant sa poitrine au dos opposé et en tenant sa taille avec sa main, de telle manière qu'il savait qu'il semblait possessive, tout en étendant l'autre. -Ils ne nous ont pas présentés, je suis Pedro, ravi.

-Oh, bonjour, enchantée- Répondit-elle avec un sourire en levant la main pour serrer la sienne en forme de salutation. -Je suis Claudia, je travaille ici. Mon père est le chef de l'organisation des transports de l'équipe nationale.