Chapitre 1

6 0 0
                                    

TW: agression sexuelle

Il est 3h du matin, quand je me lève en sursaut par un bruit de verre cassé. Je m'équipe de mon pied de biche et la lampe torche de mon téléphone. Je prends mon courage à deux mains et sors de ma chambre pour descendre les escaliers et pour y découvrir mon père. Toujours aussi alcoolisé, il était tombé par terre une bouteille de rhum à la main. Pour une fois dans ma vie,  je suis contente d'y trouvé mon père. Pensant que s'aurait pu être un cambrioleur. Je dépose ce que j'avais dans les mains et pars aider mon père. Comme presque que tout les soirs je dois faire ça. Aider mon père. Je lui donne un somnifère et le pose dans son lit pour repartir me coucher.

Alors que je montais les escaliers, j'avais l'impression qu'on me suivais. Je commençais à avoir des frissons, je continue à monter les escaliers en faisant ce rythme:
1 2 je me stop
1 2 je me stop
1 2 je me stop ...
Quand je fais « 1 2 je me retourne », mon père était entrain de me suivre tel un psychopathe.

B: Mais Liam qu'est-ce que tu fait ?( parlai- je en sursautant )

L: Bah ... j'accompagne ma jolie petite fille pour aller dormir ( dit-il comme si c'est normal de me suivre dans des escaliers)

Le surnom qu'il me donna, me donne envie de gerber dès qu'il sort de sa bouche.

B: Hum ... non merci c'est ... je- je vais me débrouiller ( continuai- je en reprenant mon chemin espérant qu'il retourne dans sa chambre)

En sentant toujours sa présence derrière moi, j'accélère le pas. Et d'un coup, il me prend le poignet violemment. J'essaie tant bien que de mal de me défendre mais en vain. Avec son autre main libre, il prend mon téléphone dans ma main et il le jette au sol. Sa main qui bloquait mon poignet, viens emprisonné ma bouche. Ce qui nous force à être collé l'un contre l'autre. Sa tête viens occuper le creux de ma nuque et il me murmure:

L: Ma jolie petite fille on ne dit pas non à son papa ... c'est malpoli ( murmura t- il à mon oreille)

Après sa phrase, il me force à avancer jusqu'à ma chambre. Toujours sa main droite sur ma bouche, la gauche viens serré mon ventre contre lui. Petit à petit, elle descend sous mon t- shirt. Après avoir compris ce qu'il aller faire, j'essaie de lui donner des coups de coude dans ses côtes et au ventre. Essayant de plus en plus fort; arrivé devant mon lit il avait déjà empoigné un de mes seins. Mes larmes commencèrent à couler sur mon visage.

Je ressentais tellement d'émotions: de la tristesse, de la colère, de la peur, et surtout du dégoût. Comment ... comment un père peut-il faire ça à son enfant. C'est écœurant.

Après lui avoir donné un coup de coude dans les côtes, il me lâcha brusquement sur mon lit. J'avais réussi à le faire mal ... c'était pas fini. Il était plein de sueur et moi je continuai à sangloté sur mon lit. Et puis il viens se positionner au dessus de moi. Je pouvais même pas le regarder dans les yeux.

L: Alala ... j'ai mal fait mon éducation ( dit-il sarcastiquement en défilant ses yeux sur mon corps )

B: lai- laisse moi ... moi tranquille ( murmurai- je d'un sanglots)

Comme si les paroles que j'avais dites ne sont pas sortie de ma bouche. Il pars de la chambre, dans un réflexe je me redressèrent pour me coller au coin du lit. J'entends du bruit de matériel de fer, signe qu'il est pas descendu. Quelque minutes plus tard, il revint avec une corde et un chiffon. Il se rapproche de mon lit et il essaye de prendre mes chevilles pour me rapprocher de lui.

Je bougeais dans tout les sens, l'empêchant de m'attacher au lit avec la corde. Pour que j'arrête mes mouvements, il me donna deux grosses gifles. Mes joues sont devenue toute chaude et rose. Mes larmes
n'arrêtait pas de couler sur mon visage. En profitant de mon choc des gifles; Liam avait réussi à m'attacher au lit, comme une étoile. J'ouvris grand les yeux en voyant qu'il commença à détacher sa ceinture. Ma respiration était très rapide. Comme si il avait pas "manger" pendant des mois, il me saute dessus en m'embrassant sur la nuque. Tout en hésitant pas à me touchés de partout.

J'étais là attaché à mon propre lit. Victime d'agression sexuelle par mon propre père. J'avais honte. J'étais là dans mon lit à crié et essayer de bouger. Personne ne m'entendais, j'étais seule. Il m'a déshabillé.

Après avoir embrassé et touché tout mon corps. Il décida de rentrer en moi de force. Avant, il pars prendre un préservatif et il ... il m'a forcé. A ce moment précis j'ai compris que j'étais faible; malgré tout mes cris et pleure, il continua à faire ce qu'il voulait de moi.

B: Qu'est-ce que tu ... tu fais ( dis-je étonné et apeuré )

Il était agenouillé devant moi sur mon lit entrain d'enfiler un putain préservatif. J'y crois pas, dites moi que je rêve. Bah oui je rêve il ... il faut que je me pince. Vu que ... c'est un rêve ça va fonctionner, sa doit fonctionner s'il vous plaît. Pour- ... pourquoi ça marche pas aller sa doit marcher s'il ... vous plaît sa doit fonctionner. Pas moi, pas moi, pas encore moi putain. J'étais totalement inconsciente.

L: Bah ... je m'apprête à reprendre mon éducation en main ... ma jolie petite fille ( dit-il en détournant son regard pervers sur moi )

Il m'avait détaché les jambes; histoire de rentrer plus facilement en moi. Il écarta mes jambes et ... et il fis de moi son affaire, son jouet.

J'avais tellement mal; une douleur que jamais mais jamais de toute mon existence sur cette planète pensée ressentir. C'est là où j'ai commencé à saigner.
J'étais là entrain de crier comme une folle parce que j'avais mal. Et lui, il était entrain de gémir.

J'HA- LLU- CINE

———————————
Merci d'avoir lu le premier chapitre. Je comprends ça commence très brusquement. Si le premier chapitre t'a plu la suite est pour toi. Et n'hésite surtout pas à partager l'histoire.
☺️

Cœur brisé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant