un seul espoir, un seul sorcier

deuxième journée à l'école

six pov

Yes, me voilà à ma deuxième journée d'école, super ! La première ne s'est pas passé comme prévu du tout et voir la tête de merde de Bakugo ma couper toute envie d'assister a ses cours de merde, je déteste ce type, ma classe, cette école. Mes seules véritables motivations pour m'avoir inscrit à ce merdier, c'est devenir plus forte et être là pour protéger mon frère. Je suis contente d'avoir fait ce choix, car sinon il s'aurait fait manger tout cru par Bakugo, le mec a une puissance magistral, mais ce con se laisse tout de même marcher sur les pieds. Il faut que je sois là pour lui, sinon Mono ne tiendrait pas le coup et je m'en voudrais pour l'éternité. Tout a coup, j'entend une notification de mon cell, je le sors et vois que ma mère me texte.

ma mère : ça va chérie ?

moi : ouais

ma mère : Tu me promets de te tenir à carreaux ? Hier t'a foutu la merde en attaquant Bakugo et rappelle toi ce que le psychiatre a dit, si tu te conduis, que ta santé mental reste stable bien tu ne retournera pas a l'hôpital. Aussi assure toi d'avoir une collation avec toi en tout temps et a tu penser a prendre tes pilules ?

moi : oui, maintenant j'dois y aller, bye

Je pousse un soupir agacé et range mon cell en marmonnant des sacres, elle me pompe l'air défois. Aussi, j'ai menti au sujet des pilules, depuis un bout de temps j'ai arrêté de les avaler et mentit a ce sujet et je ne regretterais jamais cela. La raison à ça, je suis persuader que je ne suis pas folle et que shadow Six est réelle, mon frère m'affirme qu'il la voit et je crois qu'il ne ment pas. Je ne sais pas pourquoi seulement nous 2 pouvons la voir, qui elle est ou plutôt qu'est-ce-que cette chose est, mais je sais que cette entité est réelle et je ne pourrais croire autrement. Anyway, je ne fais pas confiance au docteur, je ne l'ai jamais aimé et depuis que j'ai arrêté de consommer c'est foutu pilule, je vais beaucoup mieux. Prendre ces médoc me causait des hallucination que je n'ai plus désormais et ces substance me rendais plus folle qu'autre chose. Bref, je me replonge dans ma musique alors que je marche dans le corridor de l'école et bizarrement je remarque que le monde me regarde de travers et semble chuchoter. Damm, ca fait 2 journée que je suis la et on dirait que ma réputation est déjà taché, ca été rapide et ca m'inquiete un peu, est-ce-que quelqu'un aurait dit de la merde sur moi ? Je sens que les regards sur moi se multiplient et le monde me dévisage clairement, bon sang ! J'ai rien fait à date dans ce foutu établissement à part attaquer Bakugo ! Bakugo, ça doit être lui qui a parlé dans mon dos et a été le début de rumeur à mon sujet ! Fait chier ! Je pourrais pas être tranquille pour une fois !? Je sens la colère faire pousser mes griffes et serrer mes crocs, il va le payer ! D'un pas déterminé je me rend au cour sous le regard surpris de Mono que j'entraîne avec moi, main dans la main . Je pousse la porte de la classe à la volée et pointe Bakugo en criant " toi ! " . Celui-ci me dévisage et se lève d'un coup, irrité. " Quoi ? qu'y a-t-il la folle !? " crie-t-il. Je sens l'énervement me faire encore plus serrer les dents, je le regarde les yeux rouge d'une lueur enflammée et sans que je ne contrôle des ombres commence à s'élever et tourner autour de moi faisant trembler le sol, activant mes pouvoirs. " Six, calme toi " dit Mono. Mais je l'écoute pas et m'avance mon regard perçant dans lui de Bakugo. " Ta dit quoi sur moi !? Tout le monde me regarde bizarrement !" dis-je. Les autres élèves nous regardent avec curiosité ou inquiétude et certains tentent de calmer la tension. " Il nous a dit un peu sur ta vie personnelle, désolé pour son indiscrétion " dit avec politesse un mec avec des lunettes. Un autre gars au cheveux rouge s'approche en posant sa main sur l'épaule de Bakugo. " Ouais, il a été pas super discret, mais t'inquiète et de toute façon, ca serai mieux que vous vous battez pas nespas ? " dit-il en souriant nerveusement. J'allais répliquer, mais Mono m'arrête. " Six, s'il te plait, calme toi " dit-il avec insistance. Je cède à son ordre, me montrant raisonnable pour une fois et a contre cœur abandonne l'idée de lui casser la gueule. Je pousse un long soupir et d'un pas nonchalant, m'assit à ma place. Un autre jour à l'école qui commence comme de la merde. Voulant être dans ma bulle je mets ma musique à fond en mettant mes pieds croisés sur le bureau en me penchant un peu arrière et scrolle sur tiktok , signe que je veux être tranquille. Mais alors que je mâche ma gomme en paix, quelqu'un vient déranger ma tranquillité, je regarde à ma droite pour voir a ma droite pour voir qui me parle et m'aperçois que c'est Izuku. Je remarque qu'il semble me parler, mais je n'entend rien à cause de ma musique et j'enlève mes écouteurs en soupirant. " Quoi ? " dis-je d'un ton amer de mauvaise humeur. Midoriya semble un instant surpris de mon agressivité, puis nerveux et bafouille des excuses. " J-je su..suis désolé, je sais que tu n'aime pas qu'on te parle, c-c'est juste que ça faisait longtemps qu'on s'était vue et je..je me demandais comment tu allais". Ouais c'est vrai que ça faisait un bail, la dernière fois que je lest vue c'était avant que je me fasse interner et j'avoue que ca me fait un peu plaisir qu'il soit dans ma classe. On s'est rencontré pour la première fois quand on était enfants, j'avais 10-11 ans, je venais d'être adopté et j'étais complètement perdu avec Mono. Les plus vieux souvenir que j'ai c'est moi et Mono dans une rue au japon près d'une télé abandonnée, absolument paumé et ne nous savons pas où nous étions, comment on s'était retrouvé là, d'où nous venons et même pas qui nous sommes. Nous nous rappelons seulement notre nom , que nous sommes très proche, si proche que nous nous considérons frère et soeur, même si on ne les pas biologiquement. De plus, lors de ce plus vieux souvenir, j'avais un sac avec moi avec lequel il y avait des objets intrigants. Ce sac contenait un petit miroir rond, pourquoi ? Je ne le sais pas, il y avait aussi une boite a musique qui émet une mélodie qui me rassure a un point immaginable et un masque blanc avec des traits de visage féminin graver, ansi que des formes de yeux peinturer noir au complet . J'aime beaucoup ce masque et je le déteste à la fois. Quand je le porte je me sens assez cool, badass, ce masque est assez cool, joli, mais j'ai aussi ce frisson qui me parcourt le dos, comme si ça me rappelle ce mauvais souvenir. Enfin bref, revenons à nos moutons. Izuku, on s'est connu après mon adoption et il a été tout gentil, il ne m'a pas jugé comme les autres. A la place il m'a expliqué des trucs sur ce monde, m'a aidé à m'intégrer, à mieux comprendre ce pays qui m'était étranger et à vivre une vie plus normale, malgré mon trou de mémoire. Moi, Mono, Izuku on est vite devenu un trio de meuilleur amis, il était super attentionné envers et franchement je l'aime assez bien malgré sa naïveté débile, son optimisme défois gossant et son côté pleurnichard. A vrai dire il me fait penser a mon frère, les 2 se rassemblent beaucoup et j'avoue que parfois j'en n'avait marre de ces 2 peureux, mais je les adore pareille. Il est une des rares personnes que j'arrive a supporter, mais je n'arriverais jamais a comprendre comment il fait pour aimer Bakugo. Je sais qu'ils étaient amis étant gosse, mais ce connard la intimider et ce con d'Izuku  l'apprécie tout de même. Il est beaucoup trop gentil, je lui ai reproché de beaucoup de fois et lui ai rappelé tant de fois, que Bakugo ne changera pas. Mais il reste accroché à lui, Izuku m'exaspère ! Cependant au-delà de cela, de ses défunts peu nombreux en toute honnêteté, ça me fait plaisir de le revoir. Tellement que je fais quelque chose qui est très rare. Soudainement je me lève et le serre dans mes bras. Je ne vois pas son visage, mais je me doute pas qu'il est tout rouge vue comment il est géné avec l'agente féminine et je m'attend a ce qu'il répond a mon calin, mais ce idiot reste figé. Je me décolle et remarque que sa face est rouge tomate, que ses yeux sont ronds comme un sous et qu'il semble paniquer intérieurement. Mon ami est marrant à voir comme ça, on dirait qu'il fait un bug mental et je ne peux retenir un rire, il est trop craquant ! Alors que je m'esclaffe de rire, Izuku semble prendre contact avec la réalité et me regarde confus. "Q-quoi, po..p-pourquoi tu..t-tu ? Tu ne m-m'a..avait ja..jamais f-fait de d-de calin avant " dit-il l'air perdu. " Parce que, anyway, toujours embarrassé avec les filles, a ce que je vois hein tapette ? " dis-je en souriant et en tapant amicalement sa tête. Le timide me regarde un instant surpris, puis sourit nerveusement avec un sourire autant cute que celui de Mono. " Ouais...j'ai pas changé comme toi d'ailleur et c-comment va-tu ? " dit-il. Comment vais-je ? Pas si pire, revoir sa mine mignonne me remonte un peu le moral, mais la présence de Bakugo gâche cela. " Correcte, moins pire qu'avant. Mais je ne m'attendais pas à ce que Bakugo soit dans ma classe " dis-je en fronçant les sourcils, la colère revenant. " Moi non plus, c'était une grosse surprise et comment Mono se porte ? " demande-t-il avec gentillesse. En parlant du loup, je me retourne et le vois au fond au coin gauche de la classe près de la porte. Il a la tête baissé et sa main tremble moyennement et il se gratte l'autre frénétiquement en se balançant d'un pied à l'autre. Chose qu'il fait lorsqu'il est stressé. Fuck, Mono doit être inconfortable pogner dans une classe avec plein d'inconnus, mais il arrive à gérer son stress relié à ça d'habitude, sauf que Bakugo soit là doit être si difficile pour lui. Heureusement ce fils de pute laisse mon bro tranquille pour l'instant, mais il lui jette des regards noir de temps en temps. Pauvre Mono, je suis sur qu'il doit s'inquiéter de ce que les autres pense de lui, tourmenté par ça et qu'il s'imagine que tout le monde le regarde ou d'autre truck irrationnel, toxique que son anxiété lui chuchote à l'oreille. Mono est sûrement en train de se faire envahir par ses pensées nocives, je devrais faire quelque chose pour le ramener sur terre et le réconforter. " Pas super, je vais aller le voir avant qu'il fasse une crise " dis-je avant de partir. " Hey " saluais-je Mono. Celui-ci lève son regard vers moi et je glisse mes mains sous son masque sous ses joues et colle mon front contre le haut de son sac, front contre front. " Ça va aller, je suis la " chuchotais-je en souriant légèrement. Je sens Mono poser sa main sur mes épaules et je l'entend murmurer " merci ". Après ce moment de réconfort, je pris la main de mon meilleur ami pour l'amener doucement à son bureau et une fois assis, je ne lâche pas mon étreinte en le regardant avec un sourire. Après quelque instant, les tremblements arrête et je le lâche, le sachant plus stable, puis je retourne à ma cell alors que Mono fait discrètement ses exercices de respiration.