l'amour et ses fins

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Sur le chemin du retour on s'arrête devant un parc. Elle habite dans un immeuble avec ses deux parents. Son immeuble est en face de l'entrée de ce parc. On rentre dans celui-ci. Le parc est splendide, il y avait toutes sorte de fleurs et de plantes. Il sentait l'odeur, une odeur assez particulière que j'ai énormément de mal à décrire. On va dire que c'est l'ensemble d'énormément de pollen et de toute la senteur de différentes fleurs. Ça sent bon mais en même temps l'odeur est assez forte et on va dire à c'est perçante au niveau des narines. Il était immense, dedans il y avait un coin pour enfant, avec plusieurs aires de jeu et des balançoires point vers la droite, on pouvait y apercevoir une sorte de snack, il vendait des glaces sandwich et toutes sortes de gourmandises. On alla s'asseoir sur un banc et elle me remercie d'être avec elle . Elle m'expliqua alors qu'elle pouvait en parler à personne de ce qu'elle traversait ,à cause de sa réputation, si elle le sait en parler, tout le monde la détestait. Je la comprends. Elle se cache de sa réalité horrible et moi je fugue la réalité .On a plein de points communs. Triste mais on en a. Son téléphone vibre. Ce sont ses parents qui l'appelle. Elle rentre chez elle, mais avant elle me sert à dans ses bras et me remercia. Le jour suivant, elle m'attenda devant le lycée. Elle me disait salut d'un air heureuse. Mais qui peut la croire maintenant . Tout le monde, sauf moi ! Bref, on retourne en cours .A la fin des cours, on retourne au même parc d'hier .Sur le chemin, elle me raconta que ça n'allait pas mieux et qu'elle avait recommencé. Ses parents ne sont pas au courant de ce qu'elle traverse. Elle a une petite sœur disparue. Ça nous faisait une sorte de point commun . Elle s'appelait Rachel. Le fais de me parler de cela comment ça lui faire couler des larmes. Son visage avait deux très marquants, le premier c'est sourcils courbé mais qu'elle cachait avec son maquillage et le deuxième ça arrive au niveau des fossettes. Ma mère appelait ça la rue du bonheur. Je l'ai aussi. Mais elle est énormément complexée que ce soit son corps ou son visage, elle se déteste .Elle avait de plus en plus de les humides. J'avais du mal à apercevoir sa pupille tellement il y avait d'eau. Je lui parle alors de ma vie horrible. Je déteste en parler mais je sais pas c'est venu naturellement j'en avais besoin, et elle aussi pour moin se sentir seule. Je lui parle d'abord de mon enfance. J'en avais les larmes aux yeux. Je continue avec le foyer .Avant la fin, elle se jeta dans mes bras avec des larmes qui cette fois ont coulées. Elle s'approcha de mon oreille droite, en me faisant toujours un câlin .Elle me chuchota ça va aller, courage. Elle me disa ensuite : j'aimerais te parler d'un truc, alors voilà, je t'aime pas. Je préfère que l'on soit simplement amis. je lui raconta alors que moi non plus On devient alors amis ce qui est vraiment mieux.

La trahison des étoiles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant