Il soupira. "Est-ce que tu te fais du mal ?" me demanda-t-il.
J'ai versé quelques larmes. "Un peu".
Il pencha doucement sa tête vers moi. "Où ?".
Je soupirai. Je savais que c'était une erreur de lui dire et secouais la tête.
Il s'approcha de moi.
"Montre moi", grogna-t-il, plus violemment, voyant mon manque de réaction."Non, s'il te plaît. C'est rien".
Il saisit mes poignets dans ses larges mains musclées, puis me rapprocha gentiment mais fermement de lui.
"Je t'aime", a-t-il murmuré. Ses mains sont descendues jusqu'à ma taille, puis ont attrapé mon sweat et l'ont fait passer par-dessus ma tête dans un mouvement brusque. Il étudia mes bras attentivement, ses yeux s'assombrissant de plus en plus.
"Où d'autre ?
J'ai secoué la tête mais c'était trop tard, il avait déjà vu la gaze qui dépassait de mon pantalon. Il m'a allongé amoureusement sur le lit, avant de remonter ma chemise et baisser mon pantalon."Non, non, putain non !!" Il a remis mes vêtements en place mais m'a maintenu sur lit, à califourchon sur moi.
"Tu m'avais promis, putain, pourquoi tu as fait ça ?" Il fondit en larmes et me murmura cent fois "je t'aime".